01/07/2011, 19:01
Il vous emmène jusqu'à une échoppe du port, où il paie pour cinq tasses de thé vert. Le goût amer de la boisson vous fait grimacer, mais sa chaleur est réconfortante par ce temps froid.
"Explique-toi," demandez-vous.
Auguste secoue la tête et sourit, les yeux pétillant. "Une démonstration sera plus éloquente !" Il clappe des mains et prononce une parole magique. Soudain, lui et vous vous élevez dans les airs, soutenu par un tapis que vous aviez assumé appartenir au marchand de thé. Marins et passants se pressent et vous désignent du doigt avec stupéfaction.
Le tapis laisse le port derrière lui tout en continuant à prendre de l'altitude. Vous vous êtes accroupis, choqués et quelque peu effrayés, mais Auguste vous relève en riant. "Ne vous inquiétez pas, je n'ai jamais encore perdu de passager."
(Le livre n'offre pas la possibilité d'insister pour qu'Auguste vous ramène au port et de choisir un autre moyen de voyager. C'est un peu curieux, considérant le grand nombre de choix qu'on trouve habituellement dans la série, mais c'est comme ça.)
Vous volez à mille mètres au-dessus de la mer, où les bâteaux de pêche ne sont que des points minuscules.
"Vous allez pouvoir atteindre Wyrd en quelques heures," vous dit Auguste, "au lieu des jours qu'il vous aurait normalement fallu."
Un cri exultant lui échappe tandis que les vents furieux font claquer sa cape derrière lui et que le tapis file toujours plus vite au-dessus des flots. Vous vous blottissez quant à vous de votre mieux. L'expérience de voler est excitante, mais le vent vous transit jusqu'aux os.
Vous apercevez bientôt un flamboiement blanc : c'est le reflet du soleil sur la banquise qui couvre l'océan du nord. A l'ouest, vous distinguez la mince ligne grise de la côte de Wyrd. Regardant la mer d'azur avec fascination, vous y apercevez d'immenses icebergs à la dérive.
Auguste murmure quelque chose et touche son amulette blanche. Le tapis entame un virage abrupt vers l'est.
- Vous pouvez protester contre ce changement de direction
- ou l'ignorer.
"Explique-toi," demandez-vous.
Auguste secoue la tête et sourit, les yeux pétillant. "Une démonstration sera plus éloquente !" Il clappe des mains et prononce une parole magique. Soudain, lui et vous vous élevez dans les airs, soutenu par un tapis que vous aviez assumé appartenir au marchand de thé. Marins et passants se pressent et vous désignent du doigt avec stupéfaction.
Le tapis laisse le port derrière lui tout en continuant à prendre de l'altitude. Vous vous êtes accroupis, choqués et quelque peu effrayés, mais Auguste vous relève en riant. "Ne vous inquiétez pas, je n'ai jamais encore perdu de passager."
(Le livre n'offre pas la possibilité d'insister pour qu'Auguste vous ramène au port et de choisir un autre moyen de voyager. C'est un peu curieux, considérant le grand nombre de choix qu'on trouve habituellement dans la série, mais c'est comme ça.)
Vous volez à mille mètres au-dessus de la mer, où les bâteaux de pêche ne sont que des points minuscules.
"Vous allez pouvoir atteindre Wyrd en quelques heures," vous dit Auguste, "au lieu des jours qu'il vous aurait normalement fallu."
Un cri exultant lui échappe tandis que les vents furieux font claquer sa cape derrière lui et que le tapis file toujours plus vite au-dessus des flots. Vous vous blottissez quant à vous de votre mieux. L'expérience de voler est excitante, mais le vent vous transit jusqu'aux os.
Vous apercevez bientôt un flamboiement blanc : c'est le reflet du soleil sur la banquise qui couvre l'océan du nord. A l'ouest, vous distinguez la mince ligne grise de la côte de Wyrd. Regardant la mer d'azur avec fascination, vous y apercevez d'immenses icebergs à la dérive.
Auguste murmure quelque chose et touche son amulette blanche. Le tapis entame un virage abrupt vers l'est.
- Vous pouvez protester contre ce changement de direction
- ou l'ignorer.