Aubin observe pendant un instant les yeux de cristal de la créature, ultime témoignage de son existence. L’idée de les prendre l’effleure mais il la chasse aussitôt, se méfiant d’artéfacts qui animaient un être aussi maléfique.
Pendant que chacun reprend son souffle, le prêtre s’assoit en tailleur sur l’herbe de la clairière, ferme les yeux et se concentre sur ses blessures.
Son impressionnante blessure au bras se referme à vue d’œil ; lorsque le prêtre ouvre les yeux, il n’en reste même plus une cicatrice. Aubin se lève alors, se dirige vers Saenad, et lui impose les mains sur son épaule.
Une fois la blessure de son compagnon guérie, et malgré la fatigue qui commence à marquer son visage, Aubin s’approche du chevalier pour tenter de soigner les griffures qu’il a reçues.
Lorsque toute trace du combat a disparu du corps de Sire Flongand, le prêtre s’éloigne de quelques pas et s’asseoit à nouveau afin de récupérer de son effort…
Plus les secondes passent, plus le corps d’Aubin est pris de tremblements. Ils semblent s’atténuer mais reprennent finalement de plus belle. Visiblement au bord de l’évanouissement, le prêtre sort alors de son sac le pot d’onguent que la voyante lui a offert. Il retire sa tunique et commence à appliquer sur lui le baume curatif.
Les effets ne tardent pas à se manifester et, après avoir rangé le précieux pot, Aubin se concentre à nouveau…
Un long moment se passe, puis le visage d’Aubin s’apaise. Il se relève et se rhabille, puis fait signe à ses compagnons qu’il est prêt à repartir.
Désolé, ce fut long…! Je ne vous décris pas le détail des jets de dés, mais je me suis retrouvé avec seulement 1 point d’endurance à un moment et j’ai dû utiliser le pot d’onguent une fois. Heureusement, le dé m’a alors donné 6. Il me reste quatre applications.
P.‑S. : Bien sûr, tout le monde est de nouveau à son total d’endurance maximum.
Pendant que chacun reprend son souffle, le prêtre s’assoit en tailleur sur l’herbe de la clairière, ferme les yeux et se concentre sur ses blessures.
Son impressionnante blessure au bras se referme à vue d’œil ; lorsque le prêtre ouvre les yeux, il n’en reste même plus une cicatrice. Aubin se lève alors, se dirige vers Saenad, et lui impose les mains sur son épaule.
Une fois la blessure de son compagnon guérie, et malgré la fatigue qui commence à marquer son visage, Aubin s’approche du chevalier pour tenter de soigner les griffures qu’il a reçues.
Lorsque toute trace du combat a disparu du corps de Sire Flongand, le prêtre s’éloigne de quelques pas et s’asseoit à nouveau afin de récupérer de son effort…
Plus les secondes passent, plus le corps d’Aubin est pris de tremblements. Ils semblent s’atténuer mais reprennent finalement de plus belle. Visiblement au bord de l’évanouissement, le prêtre sort alors de son sac le pot d’onguent que la voyante lui a offert. Il retire sa tunique et commence à appliquer sur lui le baume curatif.
Les effets ne tardent pas à se manifester et, après avoir rangé le précieux pot, Aubin se concentre à nouveau…
Un long moment se passe, puis le visage d’Aubin s’apaise. Il se relève et se rhabille, puis fait signe à ses compagnons qu’il est prêt à repartir.
Désolé, ce fut long…! Je ne vous décris pas le détail des jets de dés, mais je me suis retrouvé avec seulement 1 point d’endurance à un moment et j’ai dû utiliser le pot d’onguent une fois. Heureusement, le dé m’a alors donné 6. Il me reste quatre applications.
P.‑S. : Bien sûr, tout le monde est de nouveau à son total d’endurance maximum.