16/04/2010, 09:12
Bon, à mon tour.
La Cité des Voleurs...
Un point positif : l'ambiance. Elle n'est absolument pas celle qu'on veut nous faire croire. Le Port-du-Sable-Noir n'est pas une ville sombre et pleine de coupe-gorges, etc. C'est une ville de gentils voleurs et petits escrocs. Cette ambiance là rajoutée au côté "grand soleil" (du aux illustrations ?) m'a bien plu.
Je vais finir par croire que j'aime les ambiances de Livingstone.
D'un autre côté, il y a que l'exploration de la ville est soumise à l'impossibilité de revenir sur nos pas, l'horreur. Pourquoi je pourrais pas remonter et descendre une rue comme je veux ? Cette marque de fabrique est vraiment très, très pénible.
Les objets et le tatouage sont simples à trouver. Il suffit d'explorer quasiment tout et de ne pas tenter des trucs idiots. Je n'ai pas remarqué de PFA injustes dans la ville.
Ensuite, au niveau de l'histoire elle-même, c'est vrai que c'est assez ridicule et comique : le coup du tatouage,, énorme. Pourquoi Zanbar Bone voudrait la fille du maire de Silverton ? Aucune logique. Linvingstone ne semble pas s'en soucier. Il y a d'autres incohérences, mais je ne me rappelle pas tout.
La fin est grotesque : ce débile de Nicodème nous envoie à la mort. Le donjon est très simple et on retrouve encore l'objet indispensable tout près du boss final (comme les épées de feu dans L'Île du Roi-Lézard).
Bref, une jouabilité assez mauvaise, comme d'habitude.
D'un autre côté, il est possible de s'en sortir assez facilement (sauf le combat contre les Chiens de Lune). Aucun adversaire n'est difficile à vaincre, on peut en éviter beaucoup.
Je dirais donc que le livre est plaisant à relire pour découvrir toute la cité (je l'ai fait avec grand plaisir, recommencer trois fois pour prendre chacune des trois rues du départ) car j'ai vraiment accroché avec l'ambiance toute tranquille (on ne se sent pas oppressé du tout).
En ce qui me concerne,
Intérêt : 60 % (entre le scénario débile, les incohérences et l'ambiance sympa, difficile...)
Difficulté : 60 % (un seul combat vraiment dur)
La Cité des Voleurs...
Un point positif : l'ambiance. Elle n'est absolument pas celle qu'on veut nous faire croire. Le Port-du-Sable-Noir n'est pas une ville sombre et pleine de coupe-gorges, etc. C'est une ville de gentils voleurs et petits escrocs. Cette ambiance là rajoutée au côté "grand soleil" (du aux illustrations ?) m'a bien plu.
Je vais finir par croire que j'aime les ambiances de Livingstone.
D'un autre côté, il y a que l'exploration de la ville est soumise à l'impossibilité de revenir sur nos pas, l'horreur. Pourquoi je pourrais pas remonter et descendre une rue comme je veux ? Cette marque de fabrique est vraiment très, très pénible.
Les objets et le tatouage sont simples à trouver. Il suffit d'explorer quasiment tout et de ne pas tenter des trucs idiots. Je n'ai pas remarqué de PFA injustes dans la ville.
Ensuite, au niveau de l'histoire elle-même, c'est vrai que c'est assez ridicule et comique : le coup du tatouage,, énorme. Pourquoi Zanbar Bone voudrait la fille du maire de Silverton ? Aucune logique. Linvingstone ne semble pas s'en soucier. Il y a d'autres incohérences, mais je ne me rappelle pas tout.
La fin est grotesque : ce débile de Nicodème nous envoie à la mort. Le donjon est très simple et on retrouve encore l'objet indispensable tout près du boss final (comme les épées de feu dans L'Île du Roi-Lézard).
Bref, une jouabilité assez mauvaise, comme d'habitude.
D'un autre côté, il est possible de s'en sortir assez facilement (sauf le combat contre les Chiens de Lune). Aucun adversaire n'est difficile à vaincre, on peut en éviter beaucoup.
Je dirais donc que le livre est plaisant à relire pour découvrir toute la cité (je l'ai fait avec grand plaisir, recommencer trois fois pour prendre chacune des trois rues du départ) car j'ai vraiment accroché avec l'ambiance toute tranquille (on ne se sent pas oppressé du tout).
En ce qui me concerne,
Intérêt : 60 % (entre le scénario débile, les incohérences et l'ambiance sympa, difficile...)
Difficulté : 60 % (un seul combat vraiment dur)
Au petit matin, le dernier des deux fois nés était deux fois mort...