27/03/2024, 17:00
(Modification du message : 27/03/2024, 17:04 par Voyageur Solitaire.)
Disons que sans aller jusqu'à la gestion d'un cheval, je trouve anormal de ne pas en avoir dans des AVH Fantasy comportant de longs déplacements sur des terrains praticables.
Prenons par exemple Les collines maléfiques : On est quand-même employé par le royaume d'Analand, on imagine qu'on doit faire assez vite pour récupérer la couronne, on est en terrain praticable... Je ne comprends pas qu'on ait pas une monture.
Si on prend Les Maîtres des Ténèbres, c'est pareil : on doit faire vite, prévenir le roi le plus vite possible. Donc logiquement, la première préoccupation de Loulou serait de trouver une monture, quitte à en voler une. Après, je le reconnais, à partir de La Pierre de la Sagesse, Loulou est souvent à cheval quand-même.
La voie du Tigre ? Je sais pas si les ninjas savaient monter à cheval mais bon, on est dans un univers "japonisant", pas historique. Donc je vois pas pourquoi on doit se taper des journées de voyage à pied. Là aussi, il serait plus crédible que le héros cherche à acheter une monture dès que possible, aussi bien pour une question de gain de temps que de confort.
Du côté de l'auteur, c'est vrai, la gestion du cheval peut vite devenir chiante. Mais on n'est pas obligé d'en arriver là. On peut très bien dire au héros qu'il passe plusieurs jours à galoper, s'accordant quelques pauses pour abreuver sa monture, les heures défilant rapidement au rythme du galop de son cheval. On n'est pas forcé de l'obliger à trouver du fourrage chaque soir. Ou alors, un incident une ou deux fois : notre monture a perdu un fer et il faut trouver un maréchal-ferrant par exemple. Ce peut être l'occasion d'une mini-aventure dans l'aventure.
La diligence peut être sympa aussi, Joe Dever s'en est très bien servi dans La traversée Infernale.
Le combat à cheval ne donne pas que des avantages, il faut quand-même savoir gérer sa monture et, ayant fait un peu d'équitation, je pense que ce n'est pas si pratique que ça, en dépit de l'avantage de la position en hauteur. Il est sûrement plus facile de se déplacer rapidement et d'esquiver à pied que juché sur un cheval je pense, surtout si le terrain est difficile.
@ Tholdur (EDIT, j'avais pas vu ta réponse) : je ne vois pas ça irréaliste. Tu es un aventurier, un mercenaire errant parcourant le monde, on peut penser que tu as un minimum de moyens, pourquoi tu te ferais chier à marcher à pied quand tu aurais les moyens de te déplacer à cheval ?
@ Grattepapier : pour mes AVH, comme je l'avais signalé, j'ai arrêté l'écriture pour un bon moment. J'en ai plusieurs sur le feu, quasiment terminées il est vrai et si je dois m'y remettre, je souhaite compléter la saga des Fils du Soleil avant tout. Donc, si je m'y remets, ce sera normalement Le paon aux 1000 joyaux (Parvati la reine des voleurs), La piste du jaguar (Amapaki, celui que les esprits guidaient) et Talishan (Tanit la princesse des dunes).
Mais pour le moment, je me consacre au dessin, donc c'est pas pour demain...
Prenons par exemple Les collines maléfiques : On est quand-même employé par le royaume d'Analand, on imagine qu'on doit faire assez vite pour récupérer la couronne, on est en terrain praticable... Je ne comprends pas qu'on ait pas une monture.
Si on prend Les Maîtres des Ténèbres, c'est pareil : on doit faire vite, prévenir le roi le plus vite possible. Donc logiquement, la première préoccupation de Loulou serait de trouver une monture, quitte à en voler une. Après, je le reconnais, à partir de La Pierre de la Sagesse, Loulou est souvent à cheval quand-même.
La voie du Tigre ? Je sais pas si les ninjas savaient monter à cheval mais bon, on est dans un univers "japonisant", pas historique. Donc je vois pas pourquoi on doit se taper des journées de voyage à pied. Là aussi, il serait plus crédible que le héros cherche à acheter une monture dès que possible, aussi bien pour une question de gain de temps que de confort.
Du côté de l'auteur, c'est vrai, la gestion du cheval peut vite devenir chiante. Mais on n'est pas obligé d'en arriver là. On peut très bien dire au héros qu'il passe plusieurs jours à galoper, s'accordant quelques pauses pour abreuver sa monture, les heures défilant rapidement au rythme du galop de son cheval. On n'est pas forcé de l'obliger à trouver du fourrage chaque soir. Ou alors, un incident une ou deux fois : notre monture a perdu un fer et il faut trouver un maréchal-ferrant par exemple. Ce peut être l'occasion d'une mini-aventure dans l'aventure.
La diligence peut être sympa aussi, Joe Dever s'en est très bien servi dans La traversée Infernale.
Le combat à cheval ne donne pas que des avantages, il faut quand-même savoir gérer sa monture et, ayant fait un peu d'équitation, je pense que ce n'est pas si pratique que ça, en dépit de l'avantage de la position en hauteur. Il est sûrement plus facile de se déplacer rapidement et d'esquiver à pied que juché sur un cheval je pense, surtout si le terrain est difficile.
@ Tholdur (EDIT, j'avais pas vu ta réponse) : je ne vois pas ça irréaliste. Tu es un aventurier, un mercenaire errant parcourant le monde, on peut penser que tu as un minimum de moyens, pourquoi tu te ferais chier à marcher à pied quand tu aurais les moyens de te déplacer à cheval ?
@ Grattepapier : pour mes AVH, comme je l'avais signalé, j'ai arrêté l'écriture pour un bon moment. J'en ai plusieurs sur le feu, quasiment terminées il est vrai et si je dois m'y remettre, je souhaite compléter la saga des Fils du Soleil avant tout. Donc, si je m'y remets, ce sera normalement Le paon aux 1000 joyaux (Parvati la reine des voleurs), La piste du jaguar (Amapaki, celui que les esprits guidaient) et Talishan (Tanit la princesse des dunes).
Mais pour le moment, je me consacre au dessin, donc c'est pas pour demain...
Anywhere out of the world