En ce qui concerne la cible, il y a quand même un monde entre un enfant de 10 ans et un autre de 14 ans. Pour moi la palette est un peu trop large et à ta place je restreindrai à une tranche d'âge plus réduite (10-12 ou 12-14). Donc soit cibler les "grands" de l'école primaire, soit cibler les pré-ados de début de collège.
Je ne pense pas que le style doive d'adapter plus que çà. A part le tutoiement et l'emploi du style direct qui doivent être de rigueur, et d'éviter de faire des phrases descriptives à rallonge, si un style est bon il passera auprès de n'importe quel type de lecteur.
Pour moi c'est plutôt au niveau de la complexité du vocabulaire qu'il faut porter l'attention, de telle sorte qu'il ne soit pas trop ardu pour conserver la compréhension par le lecteur. Mais il ne faut pas se priver non plus d'employer quelques mots moins courants. Car c'est ainsi que le lecteur va enrichir son vocabulaire!
Enfin, il faut rester au plus près des préoccupations et des envies du public ciblé. Peut-être même glisser certaines références qui leur parleront (séries animées qu'ils regardent, jeux vidéos auxquels ils jouent). Cela fait partie de la connivence qui s'installe avec l'auteur. Le lecteur comprend la référence et s'en amuse.
A une certaine époque par exemple on aurait pu imaginer un jardinier surnommé "Pique-à-choux" ;-)
Ah aussi pour l'inclusivité tu pourrais proposer une version avec une jeune chèvre-pied. Reste à trouver son nom...
Je ne pense pas que le style doive d'adapter plus que çà. A part le tutoiement et l'emploi du style direct qui doivent être de rigueur, et d'éviter de faire des phrases descriptives à rallonge, si un style est bon il passera auprès de n'importe quel type de lecteur.
Pour moi c'est plutôt au niveau de la complexité du vocabulaire qu'il faut porter l'attention, de telle sorte qu'il ne soit pas trop ardu pour conserver la compréhension par le lecteur. Mais il ne faut pas se priver non plus d'employer quelques mots moins courants. Car c'est ainsi que le lecteur va enrichir son vocabulaire!
Enfin, il faut rester au plus près des préoccupations et des envies du public ciblé. Peut-être même glisser certaines références qui leur parleront (séries animées qu'ils regardent, jeux vidéos auxquels ils jouent). Cela fait partie de la connivence qui s'installe avec l'auteur. Le lecteur comprend la référence et s'en amuse.
A une certaine époque par exemple on aurait pu imaginer un jardinier surnommé "Pique-à-choux" ;-)
Ah aussi pour l'inclusivité tu pourrais proposer une version avec une jeune chèvre-pied. Reste à trouver son nom...