Et l'avenir des faux profils (si c'est pas déjà le présent). https://this-person-does-not-exist.com
Et peut être qu'ils spammeront des poèmes de Nosferax (même si chatGPT a parfois du mal avec les rimes)...
Génère un texte sur une clairière verdoyante où coule un petit cours d'eau et où volent des fées dans le style des contemplations de Victor Hugo.
Ô clairière verdoyante, berceau de la nature,
Où le murmure cristallin d'un petit cours d'eau,
S'entend à travers les arbres avec une douceur si pure,
Que l'âme s'émeut, subjuguée par tant de beauté en écho.
Les fées s'y promènent, légères comme l'air,
Leurs ailes diaphanes scintillant sous le soleil,
Dans une danse envoûtante, sans jamais s'arrêter,
Elles enchantent les lieux, éternelles sentinelles du réveil.
Elles volettent de fleurs en fleurs,
Chantant en chœur un hymne à la vie,
Louant la splendeur de la nature, avec leur cœur,
Et glorifiant l'éternité de l'infini.
Leurs voix douces et cristallines,
Se mêlent au chant de la rivière,
Créant une symphonie divine,
Qui ravit les cœurs les plus amers.
Ô clairière verdoyante, je me laisse emporter,
Par la magie de tes fées et de ton petit ruisseau,
Et mon âme s'élève, enivrée par la beauté,
De cet endroit enchanteur, où l'amour règne en héros.
[...]
Un autre sonnet mais qui parle, cette fois ci, du séduisant Nosférax, de mollets croquants, du Phacofouine Fantôme (Zin ba da boum), de goules rieuses, du Graal, et de dentiers chanteurs ; tout ça avec des rimes qui font saigner les oreilles.
Dans l'obscurité d'un monde impénétrable,
Nosférax marche, dévorant sa proie,
Ses mollets croquants, ses yeux insaisissables,
Tout en lui respire une séduction royale.
Le Phacofouine Fantôme, Zin ba da boum,
Rit de son rire démoniaque et malin,
Dans l'ombre, il manigance, trompeur et retors,
Et laisse son empreinte sur tout son chemin.
Les goules rieuses, avec leur fou-rire cruel,
Sont là pour se délecter de toute la misère,
Leur rire est infectieux, leur joie est fatale,
Elles vous attirent, vous aspirent et vous enterrent.
Le Graal est là, convoité par tous les êtres,
Un objet de désir, un but, une fin en soi,
Dans la nuit éternelle, il brille de mille feux,
Attirant les morts-vivants et les êtres des bois.
Les dentiers chanteurs, avec leur voix stridente,
Entonnent leur chant, lugubre et dément,
Leurs mélodies infernales font trembler la lande,
Leur musique funeste inspire l'effroi et le tourment.
Dans ce monde fantastique, où le mal est roi,
Où les ombres s'étendent et les ténèbres règnent,
Nosférax, le Phacofouine, les goules et les chanteurs,
Conspirent ensemble pour étendre leur empire sanguinaire.
Reste, pour conclure, que tout ça a quelque chose de fascinant, je trouve : pas tant ChatGPT que toute sa famille d'IA et leurs potentielles applications, ainsi que la perspective, un jour, de pouvoir passer le test de Turing.
Remarque : chatGPT sait ce qu'est un sonnet, et même un pantoum, mais il n'a pas toujours pris en compte l'intégralité de mes demandes (peut-être que c'était mal formulé).
Et peut être qu'ils spammeront des poèmes de Nosferax (même si chatGPT a parfois du mal avec les rimes)...
Génère un texte sur une clairière verdoyante où coule un petit cours d'eau et où volent des fées dans le style des contemplations de Victor Hugo.
Ô clairière verdoyante, berceau de la nature,
Où le murmure cristallin d'un petit cours d'eau,
S'entend à travers les arbres avec une douceur si pure,
Que l'âme s'émeut, subjuguée par tant de beauté en écho.
Les fées s'y promènent, légères comme l'air,
Leurs ailes diaphanes scintillant sous le soleil,
Dans une danse envoûtante, sans jamais s'arrêter,
Elles enchantent les lieux, éternelles sentinelles du réveil.
Elles volettent de fleurs en fleurs,
Chantant en chœur un hymne à la vie,
Louant la splendeur de la nature, avec leur cœur,
Et glorifiant l'éternité de l'infini.
Leurs voix douces et cristallines,
Se mêlent au chant de la rivière,
Créant une symphonie divine,
Qui ravit les cœurs les plus amers.
Ô clairière verdoyante, je me laisse emporter,
Par la magie de tes fées et de ton petit ruisseau,
Et mon âme s'élève, enivrée par la beauté,
De cet endroit enchanteur, où l'amour règne en héros.
[...]
Un autre sonnet mais qui parle, cette fois ci, du séduisant Nosférax, de mollets croquants, du Phacofouine Fantôme (Zin ba da boum), de goules rieuses, du Graal, et de dentiers chanteurs ; tout ça avec des rimes qui font saigner les oreilles.
Dans l'obscurité d'un monde impénétrable,
Nosférax marche, dévorant sa proie,
Ses mollets croquants, ses yeux insaisissables,
Tout en lui respire une séduction royale.
Le Phacofouine Fantôme, Zin ba da boum,
Rit de son rire démoniaque et malin,
Dans l'ombre, il manigance, trompeur et retors,
Et laisse son empreinte sur tout son chemin.
Les goules rieuses, avec leur fou-rire cruel,
Sont là pour se délecter de toute la misère,
Leur rire est infectieux, leur joie est fatale,
Elles vous attirent, vous aspirent et vous enterrent.
Le Graal est là, convoité par tous les êtres,
Un objet de désir, un but, une fin en soi,
Dans la nuit éternelle, il brille de mille feux,
Attirant les morts-vivants et les êtres des bois.
Les dentiers chanteurs, avec leur voix stridente,
Entonnent leur chant, lugubre et dément,
Leurs mélodies infernales font trembler la lande,
Leur musique funeste inspire l'effroi et le tourment.
Dans ce monde fantastique, où le mal est roi,
Où les ombres s'étendent et les ténèbres règnent,
Nosférax, le Phacofouine, les goules et les chanteurs,
Conspirent ensemble pour étendre leur empire sanguinaire.
Reste, pour conclure, que tout ça a quelque chose de fascinant, je trouve : pas tant ChatGPT que toute sa famille d'IA et leurs potentielles applications, ainsi que la perspective, un jour, de pouvoir passer le test de Turing.
Remarque : chatGPT sait ce qu'est un sonnet, et même un pantoum, mais il n'a pas toujours pris en compte l'intégralité de mes demandes (peut-être que c'était mal formulé).