Citation :c'est la moyenne pour un livre « quelconque » dans le commerce, c'est-à-dire sans com', sans licence, sans nom connu. 1000 c'est une réussite, et à partir de 5000 on commence déjà à parler de bestseller.
... en chiffres sur les premiers mois, pas en ventes totales. Pour parler de bestseller, je suppose qu'il faut nettement plus de 10 000 exemplaires dès la première année, et que ça ne se tasse pas l'année suivante.
Comme dit Fitz, les auteurs ne connaissent les chiffres que l'année suivante.
Mon premier bouquin, La Malédiction des Baskerville, s'est vendu à 250 ex. sur Amazon en impression à la demande (1 par semaine en moyenne).
Chez Edi8, ma moyenne perso est de moins de 5000 sur toute la durée de vie du livre, de l'album ou du jeu. Avec beaucoup de mauvaises surprises : les textes les plus personnels, ou les plus réussis, sont presque toujours ceux qui se vendent le moins. Quand il y a de bons chiffres, c'est en plus d'un an et avec l'effet tracteur (à une exception près) d'une licence ou d'un personnage déjà connu.
Et donc, quel est ton projet en ce domaine, Feldo ?