Je pense qu'il faut imposer les choses. Si on incarne un personnage, on doit accepter qu'une part de ce personnage est ce qu'en décide l'auteur.
Tout simplement dire qu'une action du PNJ nous fait plaisir (= fait plaisir à notre personnage). Puis dire qu'on (notre personnage) se sent redevable, puis plus tard faire une action qui permette de renvoyer la pareille. Le faire éventuellement à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'il devienne évident que nous devenons amis et que ce soit indiqué noir sur blanc dans le texte. Alors tu peux imposer la tournure du récit. Par exemple si notre ami PNJ est dans le pétrin, on (notre personnage) va forcément tout faire pour l'aider. Inconcevable de mettre un choix ici de le laisser se débrouiller, sauf si tu prévois qu'on peut trahir son amitié et/ou que lui peut faire de même.
Tu peux aussi, au départ, laisser le choix. Pour le lecteur qui suit "la voie de l'amitié", tu peux marquer officiellement le "sceau de l'amitié" par un événement qui dirait en toute lettre dans le texte en guise de conclusion: "voilà qui scelle votre amitié avec tartempion".
Vouloir juste suggérer les choses peut être contre-productif, dans le sens qu'un personnage que tu veux rendre attachant par ses attentions délicates envers notre personnage, on (le lecteur) peut le trouver trop collant, voire carrément insupportable malgré toutes ses bonnes intentions!
Au contraire, on (le lecteur) peut se prendre d'affection pour un personnage qui ne nous manifeste aucun intérêt particulier, mais simplement parce que son attitude ou son histoire nous plaît. Et cela peut être des attitudes très diverses. On peut apprécier le "grain de folie" d'un personnage des plus exubérant et extravagant, ou au contraire un taciturne capitaine de navire qui a bravement défendu son équipage et ses passagers contre la fureur des éléments (restant le dernier sur le pont) ou d'attaques de pirates en sacrifiant son navire et ses économies pour sauver ses hommes et passagers. Mais cela risque d'être difficile et long de gagner l'amitié d'un tel personnage qu'on imagine aussi bourru que mutique!
Tout simplement dire qu'une action du PNJ nous fait plaisir (= fait plaisir à notre personnage). Puis dire qu'on (notre personnage) se sent redevable, puis plus tard faire une action qui permette de renvoyer la pareille. Le faire éventuellement à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'il devienne évident que nous devenons amis et que ce soit indiqué noir sur blanc dans le texte. Alors tu peux imposer la tournure du récit. Par exemple si notre ami PNJ est dans le pétrin, on (notre personnage) va forcément tout faire pour l'aider. Inconcevable de mettre un choix ici de le laisser se débrouiller, sauf si tu prévois qu'on peut trahir son amitié et/ou que lui peut faire de même.
Tu peux aussi, au départ, laisser le choix. Pour le lecteur qui suit "la voie de l'amitié", tu peux marquer officiellement le "sceau de l'amitié" par un événement qui dirait en toute lettre dans le texte en guise de conclusion: "voilà qui scelle votre amitié avec tartempion".
Vouloir juste suggérer les choses peut être contre-productif, dans le sens qu'un personnage que tu veux rendre attachant par ses attentions délicates envers notre personnage, on (le lecteur) peut le trouver trop collant, voire carrément insupportable malgré toutes ses bonnes intentions!
Au contraire, on (le lecteur) peut se prendre d'affection pour un personnage qui ne nous manifeste aucun intérêt particulier, mais simplement parce que son attitude ou son histoire nous plaît. Et cela peut être des attitudes très diverses. On peut apprécier le "grain de folie" d'un personnage des plus exubérant et extravagant, ou au contraire un taciturne capitaine de navire qui a bravement défendu son équipage et ses passagers contre la fureur des éléments (restant le dernier sur le pont) ou d'attaques de pirates en sacrifiant son navire et ses économies pour sauver ses hommes et passagers. Mais cela risque d'être difficile et long de gagner l'amitié d'un tel personnage qu'on imagine aussi bourru que mutique!