06/08/2022, 11:22
D'accord.
L'avantage d'attaquer une fois que la chaloupe a accosté est double : nos tortionnaires sont occupés à autre chose que nous surveiller (même mal) et ils se divisent, nous permettant à nous autres, les 10, de nous disperser. Mais cela vaut aussi pour pour les malandrins.
La chaloupe empêche normalement de se faire déborder et rend tout combat en arme malaisé. On va donc avoir du un contre un ou du deux contre deux, et où la promiscuité et le roulis viendront contrebalancer le fait que nous soyons désarmés. Mais rien ne les empêchent de prendre des otages [le jeu s'en souciera-t-il ?] ou le risque de voir la chaloupe chavirer.
Donc, dans la chaloupe, il y a probablement un avantage de force. Sur la grève, du nombre. La force n'étant pas écrasante, la sagesse me recommanderait de laisser parler le nombre (même si c'est plus risqué individuellement).
Mais nous savons que des forces auraient dû être là. Que se passerait-il si elles arrivaient au moment où nous attaquons ?
L'avantage tactique, c'est maintenant. Je suis donc pour attaquer dans la chaloupe.
L'avantage d'attaquer une fois que la chaloupe a accosté est double : nos tortionnaires sont occupés à autre chose que nous surveiller (même mal) et ils se divisent, nous permettant à nous autres, les 10, de nous disperser. Mais cela vaut aussi pour pour les malandrins.
La chaloupe empêche normalement de se faire déborder et rend tout combat en arme malaisé. On va donc avoir du un contre un ou du deux contre deux, et où la promiscuité et le roulis viendront contrebalancer le fait que nous soyons désarmés. Mais rien ne les empêchent de prendre des otages [le jeu s'en souciera-t-il ?] ou le risque de voir la chaloupe chavirer.
Donc, dans la chaloupe, il y a probablement un avantage de force. Sur la grève, du nombre. La force n'étant pas écrasante, la sagesse me recommanderait de laisser parler le nombre (même si c'est plus risqué individuellement).
Mais nous savons que des forces auraient dû être là. Que se passerait-il si elles arrivaient au moment où nous attaquons ?
L'avantage tactique, c'est maintenant. Je suis donc pour attaquer dans la chaloupe.
Goburlicheur de chrastymèles