J'ai un vice. Quand je tombe sur un livre-jeu, je commence par le feuilleter pour lire en premier lieu les PFA. J'éprouve un plaisir sadique à découvrir comment l'auteur s'ingénie à faire mourir le lecteur, et avec quel style d'écriture. Lire ces passages me donne le sentiment - sans doute abusif - de mieux cerner par anticipation l'aventure littéraire et ludique que je vais lire. Et j'ai l'impression d'être assez ouvert là-dessus : paragraphes expéditifs ou descriptions détaillées, en fonction des circonstances de la mort, il me semble que les deux styles de PFA se justifient.
Mon expérience d'écriture de PFA est pour l'instant assez limitée, mais j'aurais tendance, pour ma part, à chercher un équilibre entre la sécheresse du couperet de la Faucheuse et le détail des instants qui précèdent. Ceci, toujours, en fonction des circonstances. Je suis pour une certaine souplesse stylistique.
(J'espère que cette réponse est compréhensible, je l'écris avec 39° de fièvre)
Mon expérience d'écriture de PFA est pour l'instant assez limitée, mais j'aurais tendance, pour ma part, à chercher un équilibre entre la sécheresse du couperet de la Faucheuse et le détail des instants qui précèdent. Ceci, toujours, en fonction des circonstances. Je suis pour une certaine souplesse stylistique.
(J'espère que cette réponse est compréhensible, je l'écris avec 39° de fièvre)
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...