26/03/2021, 15:52
Disons que dans la littérature classique, il y a des monuments le "héros" est potentiellement un salaud, une ordure, un meurtrier. Ce sont des livres extrêmement perturbants. Je pense à Un tueur sur la route de James Ellroy ou American Psycho de Brett Easton Ellis. Bon, dans le second, il y a une sorte de finesse où on finit par douter que le héros raconte la réalité. Mais c'est très violent. C'est beaucoup plus dur de trouver un parallèle dans les AVH, parce qu'ona l'impression que la forme responsabilise le lecteur et impose une identification encore plus forte. Peut-être qu'en utilisant la troisième personne, ce serait plus facile à gérer, comme pour Loup Ardent.