Premier tome de la série Les Messagers du temps, le Carillon de la Mort est en résumé un honnête divertissement pour un lecteur assidu de ldvelh.Tout d'abord les règles : assez simples mais efficaces. Le système de combat, inspiré de celui des DF, est cependant plus étoffé que ce dernier tout en n'atteignant pas la complexité ridicule de celui des Loup* Ardent. L'idée du choix de 2 talents est aussi intéressante bien que peu originale.Passons à l'aventure proprement parlée. Elle est divertissante mais n'est pas parvenu à me captiver comme certains grands DF. Pourtant l'histoire est assez bien pensée et originale : sur un fond historique réel au départ (la guerre de 100 ans) elle dévie progressivement vers de l'héroïc-fantasy pure lors du passage final dans le labyrinthe du carillon. Venons-en maintenant à ce dernier qui est nettement le point fort du récit. On est enfermé dans une tour de 4 étages composés de pièces et de couloirs. Une seule échelle permet de passer d'un étage à l'autre et quand on franchit le seuil d'une nouvelle pièce, on vieillit de plusieurs années. Ce qui fait que l'on atteint l'étage final à près de 80 ans, ce qui est quand même assez original.On est a accompagné presque tout au long de l'aventure par Furyos le court, un nain très coléreux, qui rajoute un peu de profondeur au récit. Les autres PNJ rencontrés sont très biens décrits contrairement à d'autres ldvelh. Dans la liste des bonnes idées, rajoutons la recherche des ingrédients de la Juventiane, une potion qui est destinée à ralentir notre vieillissement lors de l'épreuve finale. Bien que facultative, cette mini quête est intéressante tout comme les rencontres avec les Zeugma, le prophète, Mimmol ou les Mollues.
Mais ce livre a aussi des défauts dont je vais maintenant vous parler : le principal est pour moi la linéarité. J'ai rarement vu un livre aussi dirigiste dans les choix proposés : quoi qu'on fasse, on se retrouve toujours face aux mêmes situations, ce qui est lassant lors des relectures du livre. L'aventure est aussi plutôt courte, et la fin arrive bien vite quelque soit le chemin emprunté.
En conclusion, un bon lire, qui possède une histoire intéressante, de bonnes règles du jeu et beaucoup de texte ; cela se fait ressentir sur la longueur de l'aventure qui est trop courte et la linéarité est très élevée.
Un bon divertissement malgré tout.
Note : 70 %
Difficulté : 61 %
Mais ce livre a aussi des défauts dont je vais maintenant vous parler : le principal est pour moi la linéarité. J'ai rarement vu un livre aussi dirigiste dans les choix proposés : quoi qu'on fasse, on se retrouve toujours face aux mêmes situations, ce qui est lassant lors des relectures du livre. L'aventure est aussi plutôt courte, et la fin arrive bien vite quelque soit le chemin emprunté.
En conclusion, un bon lire, qui possède une histoire intéressante, de bonnes règles du jeu et beaucoup de texte ; cela se fait ressentir sur la longueur de l'aventure qui est trop courte et la linéarité est très élevée.
Un bon divertissement malgré tout.
Note : 70 %
Difficulté : 61 %
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !