Oui, je pense pareil que toi, Jehan. Faut savoir se retenir quand il le faut, mais aussi savoir se lâcher, sinon l'esprit peut déraper. Il faut écouter les limites de son corps, faire avec, trouver son équilibre, ses exutoires.
Bon, et j'écarte toute interprétation homophobe d'un de mes propos (que j'ai en fait repris d'une observation d'un livre) concernant la "dégénérescence" des hommes:
"Pour Morris, dans son livre « Le zoo humain », la ville nest pas une jungle de béton mais un zoo humain. Les déviations des hommes (attaques envers la progéniture, ulcères à lestomac, mutilations, masturbation, obésité, homosexualité) ne se retrouvent pas chez les animaux sauvages dans leur habitat naturel, sauf quand ils sont enfermés dans un zoo !"
Donc même si on peut considérer que l'homosexualité n'est pas totalement naturelle, je ne suis pas allé dans un zoo et dans la nature vérifier si les animaux ont de telles relations ou pas. Il est vrai qu'il y a déjà un temps, je me demandais si l'une des "vertues" ou des "raisons" de l'homosexualité n'était pas de freiner légèrement la croissance démographique, permettant en plus, dans notre société, de recaser des enfants abandonnés ou des orphelins. Si Morris dit vrai, c'est peut-être bien le cas. Bien qu'il faille observer également que l'homosexualité, même s'il est possible qu'elle soit liées à certains gènes, dépend aussi largement de l'environnement, de même que l'obésité, et bien entendu du suicide, etc... La capacité d'adaptation exceptionnelle de l'homme lui permet d'avoir un plus grand pouvoir de décision, grâce à son cerveau et sa raison, et grâce aux intéractions complexes avec les autres, que bien des animaux quant à son avenir. Je rejette donc le fatalisme et la dé-responsabilisation d'un certain trépignant nabot en short.
Bon, et j'écarte toute interprétation homophobe d'un de mes propos (que j'ai en fait repris d'une observation d'un livre) concernant la "dégénérescence" des hommes:
"Pour Morris, dans son livre « Le zoo humain », la ville nest pas une jungle de béton mais un zoo humain. Les déviations des hommes (attaques envers la progéniture, ulcères à lestomac, mutilations, masturbation, obésité, homosexualité) ne se retrouvent pas chez les animaux sauvages dans leur habitat naturel, sauf quand ils sont enfermés dans un zoo !"
Donc même si on peut considérer que l'homosexualité n'est pas totalement naturelle, je ne suis pas allé dans un zoo et dans la nature vérifier si les animaux ont de telles relations ou pas. Il est vrai qu'il y a déjà un temps, je me demandais si l'une des "vertues" ou des "raisons" de l'homosexualité n'était pas de freiner légèrement la croissance démographique, permettant en plus, dans notre société, de recaser des enfants abandonnés ou des orphelins. Si Morris dit vrai, c'est peut-être bien le cas. Bien qu'il faille observer également que l'homosexualité, même s'il est possible qu'elle soit liées à certains gènes, dépend aussi largement de l'environnement, de même que l'obésité, et bien entendu du suicide, etc... La capacité d'adaptation exceptionnelle de l'homme lui permet d'avoir un plus grand pouvoir de décision, grâce à son cerveau et sa raison, et grâce aux intéractions complexes avec les autres, que bien des animaux quant à son avenir. Je rejette donc le fatalisme et la dé-responsabilisation d'un certain trépignant nabot en short.