30/12/2017, 18:01
(Modification du message : 30/12/2017, 18:09 par Voyageur Solitaire.)
Bon ben voilà : on a fait notre petite balade dans la forêt pour venir prévenir le roi que c'est le bordel, que s'il avait racheté le monastère Kaï en viager aux grands maîtres de l'ordre, c'était pas une bonne idée vu qu'il n'y a plus de monastère et que les méchants sont vraiment très méchants (ils ont même tué son fils, les salauds). A nous de jouer donc pour sauver tout le monde en allant chercher nos alliés du royaume voisin et en profiter pour ramener un chouette souvenir, le glaive de Sommer, seule arme capable de détruire les Maîtres des Ténèbres. Une dernière tasse de schnaps donc et on y va.
Et là, on passe nettement à la vitesse supérieure ! A tel point qu'on a parfois un peu de mal à croire que c'est toujours nous et que quelques jours plus tôt, on cueillait tranquillement des champignons pour la soupe du soir... On se retrouve embarqué dans un long voyage, premier d'une longue série (le héros aurait pu s'appeler Voyageur Solitaire, je dis ça comme ça...) et quel voyage : épique, stressant, dangereux. Terminée la facilité. Que ce soit sur terre, sur mer, la Mort rôde, le danger est au tournant de chaque paragraphe. Et il y a le temps, le temps qui passe car on n'a que quelques semaines pour réussir. Et cette fois, on ne se promène plus dans nos sous-bois familiers, on quitte le royaume, on découvre un autre monde. Papa Dever nous impose un rythme d'enfer (des monstres d'enfer aussi...), haletant, prenant, des passages forts, très forts : quand, dépouillé par les pêcheurs, on se retrouve seul sur un quai désert, en pays inconnu, sans rien... Le passage de la diligence et du traître qui voyage avec nous et qu'il faudra démasquer... La bataille navale, truc de fou, idée grandiose que cette flotte fantôme et son équipage de morts-vivants surgissant des abysses... La scène finale, assez grandiose et qui vous pose son Loup Solitaire... Cette fois, on en bave, on en chie tout au long d'une aventure épique, haletante et nerveuse dont le rythme ne retombe pas. Fini de rigoler.
Le meilleur opus de la saga pour beaucoup et on les comprend. Petits bémols : le coup de la lance est assez hard quand-même pour un début de saga et on aurait aimé une bataille de la flotte fantôme plus longue ou plus développée tellement c'est bon. Mais on chipote là...
Et là, on passe nettement à la vitesse supérieure ! A tel point qu'on a parfois un peu de mal à croire que c'est toujours nous et que quelques jours plus tôt, on cueillait tranquillement des champignons pour la soupe du soir... On se retrouve embarqué dans un long voyage, premier d'une longue série (le héros aurait pu s'appeler Voyageur Solitaire, je dis ça comme ça...) et quel voyage : épique, stressant, dangereux. Terminée la facilité. Que ce soit sur terre, sur mer, la Mort rôde, le danger est au tournant de chaque paragraphe. Et il y a le temps, le temps qui passe car on n'a que quelques semaines pour réussir. Et cette fois, on ne se promène plus dans nos sous-bois familiers, on quitte le royaume, on découvre un autre monde. Papa Dever nous impose un rythme d'enfer (des monstres d'enfer aussi...), haletant, prenant, des passages forts, très forts : quand, dépouillé par les pêcheurs, on se retrouve seul sur un quai désert, en pays inconnu, sans rien... Le passage de la diligence et du traître qui voyage avec nous et qu'il faudra démasquer... La bataille navale, truc de fou, idée grandiose que cette flotte fantôme et son équipage de morts-vivants surgissant des abysses... La scène finale, assez grandiose et qui vous pose son Loup Solitaire... Cette fois, on en bave, on en chie tout au long d'une aventure épique, haletante et nerveuse dont le rythme ne retombe pas. Fini de rigoler.
Le meilleur opus de la saga pour beaucoup et on les comprend. Petits bémols : le coup de la lance est assez hard quand-même pour un début de saga et on aurait aimé une bataille de la flotte fantôme plus longue ou plus développée tellement c'est bon. Mais on chipote là...
Anywhere out of the world