21/11/2017, 11:41
Dingue, ça. À partir du moment où on fait sonner le gong, on est pratiquement pieds et poings liés, sauf à posséder le fragment de kalium. Heureusement que nous avons affronté (et vaincu) Échidna !
Les statistiques de Skrymir font peur… La seule façon de le vaincre dans un combat serait d’enchaîner deux foudres noires consécutives, en priant pour survivre jusque là ; autant dire que les chances sont faibles…
Je me demande si le Loge dont il parle est une référence à Loki ?
Au milieu de la foule en liesse, Pharéole se retourne. Il fixe la citadelle, ou plutôt ses fondations. Étrangement, son regard est mélancolique. Il murmure.
« Le livre est refermé, vierge est l’ultime page…
Car me manquent les mots pour te rendre l’hommage
Qui sied à celui qui m’a donné le courage
De contempler, en moi, du démon, le visage.
Sur le fil du rasoir, tu fais danser les âmes,
Dans tes lacis rôde, faux à la main, la Dame,
Tu rends fou le sage, l’ingénu tu enflammes,
Et des hommes révèles, le pur comme l’infâme.
Adieu, sorcières, adieu, mages ; au revoir, Impie !
D’autres méandres nous attendent loin d’ici.
Je te laisse à regret, toi qui, mon vieil ami,
Les prémices d’un sens, a offert à ma vie. »
Les dernières syllabes ont à peine franchi ses lèvres qu’il retrouve son sourire, et aussitôt se retourne vers Milena.
« Un partenariat ? Ah ! ah ! Voilà un mot qui sonne bien agréablement dans votre bouche, mage ! »
Les statistiques de Skrymir font peur… La seule façon de le vaincre dans un combat serait d’enchaîner deux foudres noires consécutives, en priant pour survivre jusque là ; autant dire que les chances sont faibles…
Je me demande si le Loge dont il parle est une référence à Loki ?
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Au milieu de la foule en liesse, Pharéole se retourne. Il fixe la citadelle, ou plutôt ses fondations. Étrangement, son regard est mélancolique. Il murmure.
« Le livre est refermé, vierge est l’ultime page…
Car me manquent les mots pour te rendre l’hommage
Qui sied à celui qui m’a donné le courage
De contempler, en moi, du démon, le visage.
Sur le fil du rasoir, tu fais danser les âmes,
Dans tes lacis rôde, faux à la main, la Dame,
Tu rends fou le sage, l’ingénu tu enflammes,
Et des hommes révèles, le pur comme l’infâme.
Adieu, sorcières, adieu, mages ; au revoir, Impie !
D’autres méandres nous attendent loin d’ici.
Je te laisse à regret, toi qui, mon vieil ami,
Les prémices d’un sens, a offert à ma vie. »
Les dernières syllabes ont à peine franchi ses lèvres qu’il retrouve son sourire, et aussitôt se retourne vers Milena.
« Un partenariat ? Ah ! ah ! Voilà un mot qui sonne bien agréablement dans votre bouche, mage ! »