« Il me faut un titre… Ah ! je l’ai :
Double duel qu’en Barbarie,
Ravit voleur, mage aguerrit. »
Milena : « Qu’est-ce que ça ?
— L’intitulé ! »
Les barbares entrent dans la pièce, poussant un cri de rage. Le premier tour de combat s’engage.
« Ce cri bestial, je le suppose,
Bienvenue, veut dire, à la guerre ?
Ah ! Même un miroir ne m’oppose
Figure plus hospitalière !… »
Pharéole tire…
… Mais la flèche manque sa cible et se fige dans la porte.
« … Dam ! Ma flèche oublie ses manières,
J’ai fâché mon ami velu.
Il est temps ! Je sors ma rapière,
Je feinte, je fends, je salue. »
Les barbares sont au contact. Milena continue de se concentrer. Pharéole utilise sa capacité spéciale.
« Dieu — merci ! —, qui de tout est cause,
D’une vivacité hors pair,
A doté mon esprit, et j’ose
Le dire tout haut : j’en suis fier !
Car c’est grâce à ce vieux compère,
Qu’en rimaillant, qu’en fine mouche,
Je pare, riposte, lacère,
Je feinte, je me fends, je touche ! »
Le barbare qui fait face au voleur reçoit une grave blessure.
« Tout ce sang qui, le sol, arrose,
Irriguait vos veines, naguère.
À présent, vous semblez morose,
Permettez que je vous libère… »
Le deuxième tour commence, Pharéole enchaîne un second coup.
« … De ces sentiments mortifères ;
Il est grand temps que je ponctue !
L’envoi point, j’engage le fer,
Je feinte, je me fends… je tue. »
La lame du voleur transperce la gorge du barbare, qui s’écroule.
« Irrévérencieux, je compose
L’épitaphe d’un chevelu.
C’est l’heure de l’apothéose ;
Je feinte, je fends… »
Pharéole se tourne vers le barbare restant.
« … Je salue ! »
Double duel qu’en Barbarie,
Ravit voleur, mage aguerrit. »
Milena : « Qu’est-ce que ça ?
— L’intitulé ! »
Les barbares entrent dans la pièce, poussant un cri de rage. Le premier tour de combat s’engage.
« Ce cri bestial, je le suppose,
Bienvenue, veut dire, à la guerre ?
Ah ! Même un miroir ne m’oppose
Figure plus hospitalière !… »
Pharéole tire…
⚄ ⚃
… Mais la flèche manque sa cible et se fige dans la porte.
« … Dam ! Ma flèche oublie ses manières,
J’ai fâché mon ami velu.
Il est temps ! Je sors ma rapière,
Je feinte, je fends, je salue. »
Les barbares sont au contact. Milena continue de se concentrer. Pharéole utilise sa capacité spéciale.
⚁ ⚁
« Dieu — merci ! —, qui de tout est cause,
D’une vivacité hors pair,
A doté mon esprit, et j’ose
Le dire tout haut : j’en suis fier !
Car c’est grâce à ce vieux compère,
Qu’en rimaillant, qu’en fine mouche,
Je pare, riposte, lacère,
Je feinte, je me fends, je touche ! »
⚅
Le barbare qui fait face au voleur reçoit une grave blessure.
« Tout ce sang qui, le sol, arrose,
Irriguait vos veines, naguère.
À présent, vous semblez morose,
Permettez que je vous libère… »
Le deuxième tour commence, Pharéole enchaîne un second coup.
⚂ ⚃
« … De ces sentiments mortifères ;
Il est grand temps que je ponctue !
L’envoi point, j’engage le fer,
Je feinte, je me fends… je tue. »
⚂
La lame du voleur transperce la gorge du barbare, qui s’écroule.
« Irrévérencieux, je compose
L’épitaphe d’un chevelu.
C’est l’heure de l’apothéose ;
Je feinte, je fends… »
Pharéole se tourne vers le barbare restant.
« … Je salue ! »