L'article semble aller dans le sens d'une de mes suppositions en devenir : l'arbre des possibles, planté au paragraphe 1 et le parcours géographique, se chevauchent. Pourquoi le héros fait-il un parcours à travers une forêt, un labyrinthe, un donjon ? Parce que son cheminement et le graphe du livre se confondent aisément, c'est du coup facile à se représenter mentalement, pour l'auteur. Ça lui évite de s'y perdre entre les branches de son histoire. Une forme atténuée du palais de la mémoire, qui associe un lieu à un souvenir.
... à l'inverse, à ce que j'ai cru comprendre, de Nils Jacket, dont les parcours semblent tracés selon une autre méthode (?).
... à l'inverse, à ce que j'ai cru comprendre, de Nils Jacket, dont les parcours semblent tracés selon une autre méthode (?).