10/08/2013, 00:27
Un soir n'est pas coutume, nous avons passé l'essentiel de la soirée à coopérer, en jouant aux "Chevaliers de la Table Ronde".
Au cours de la première partie, nous avons récupéré Excalibur très tôt, botté les fesses à un chevalier noir et réussi (non sans mal) à atteindre le Graal. Sire Skarn a un peu perdu son temps face à Lancelot, mais nous avons tout de même réuni sept épées blanches. Sire Jehan a alors avancé que nous avions virtuellement déjà gagné, mais les Pictes, qui n'étaient apparemment pas au courant, sont venus foutre le feu à Camelot avant que nous ne puissions obtenir douze épées.
La deuxième partie ne s'est pas terriblement bien engagée et nos preux chevaliers se sont vite retrouvés cernés par toutes les menaces possibles et ne sachant où donner de la tête. Le dos au mur (six épées noires), ils se sont en fin de compte lancés dans une quête effrénée du Graal, qui était le seul à leur offrir encore une chance raisonnable de gagner. Ils touchaient presque au but lorsque le dragon s'est réveillé...
Déterminés à ne pas rester sur deux échecs, nous avons fait une troisième partie. Des efforts soutenus nous ont cette fois permis d'obtenir le Graal relativement tôt. Après avoir bouté les Pictes hors de Grande-Bretagne, nous nous sommes appliqués à défendre Camelot tout en poursuivant la quête d'Excalibur, laquelle nous a finalement permis de remporter la victoire.
Un jeu que j'ai trouvé très sympa. Le hasard joue un certain rôle (notamment avec le tirage des cartes noires), mais il n'est pas excessif et oblige les joueurs à prendre des risques calculés. Les récompenses et les risques que présentent les diverses quêtes obligent à faire des choix souvent difficiles !
A noter que cette adaptation des légendes arthuriennes n'aurait sans doute pas été au goût de Marion Zimmer Bradley, car tous les personnages féminins (à la seule exception de la Dame du Lac) n'y existent que pour pourrir la vie aux joueurs, généralement de façon spectaculaire.
Au cours de la première partie, nous avons récupéré Excalibur très tôt, botté les fesses à un chevalier noir et réussi (non sans mal) à atteindre le Graal. Sire Skarn a un peu perdu son temps face à Lancelot, mais nous avons tout de même réuni sept épées blanches. Sire Jehan a alors avancé que nous avions virtuellement déjà gagné, mais les Pictes, qui n'étaient apparemment pas au courant, sont venus foutre le feu à Camelot avant que nous ne puissions obtenir douze épées.
La deuxième partie ne s'est pas terriblement bien engagée et nos preux chevaliers se sont vite retrouvés cernés par toutes les menaces possibles et ne sachant où donner de la tête. Le dos au mur (six épées noires), ils se sont en fin de compte lancés dans une quête effrénée du Graal, qui était le seul à leur offrir encore une chance raisonnable de gagner. Ils touchaient presque au but lorsque le dragon s'est réveillé...
Déterminés à ne pas rester sur deux échecs, nous avons fait une troisième partie. Des efforts soutenus nous ont cette fois permis d'obtenir le Graal relativement tôt. Après avoir bouté les Pictes hors de Grande-Bretagne, nous nous sommes appliqués à défendre Camelot tout en poursuivant la quête d'Excalibur, laquelle nous a finalement permis de remporter la victoire.
Un jeu que j'ai trouvé très sympa. Le hasard joue un certain rôle (notamment avec le tirage des cartes noires), mais il n'est pas excessif et oblige les joueurs à prendre des risques calculés. Les récompenses et les risques que présentent les diverses quêtes obligent à faire des choix souvent difficiles !
A noter que cette adaptation des légendes arthuriennes n'aurait sans doute pas été au goût de Marion Zimmer Bradley, car tous les personnages féminins (à la seule exception de la Dame du Lac) n'y existent que pour pourrir la vie aux joueurs, généralement de façon spectaculaire.