22/01/2017, 15:11
Je reviens sur deux points :
Non, évidemment, une FA ne fait pas du tout partie de la définition (je suis vexé que tu penses ça, ou que tu aies compris ça ) (je plaisante, hein !)
Littérature + interaction : la littérature n'est pas interactive. Je ne vois pas l'intérêt et c'est hors de ma définition. Il y a un texte agrémenté d'une activité pour le lecteur. Je reprends l'exemple du bar : compter le nombre de "x" dans le texte ou le nombre de personnages ne modifie en rien l'histoire puisque ce nombre est fixe. C'est pour ça que j'avais mis cet exemple. Et puis le lecteur peut très bien ne pas compter, je ne vois pas en quoi cela arrête l'histoire.
A mes yeux, que le lecteur puisse modifier le cours de l'histoire est primordial, sinon le récit n'est pas interactif : c'est un simple collage entre un texte et un jeu (mais on est d'accord sur ce point).
Il faudrait rajouter :
Si vous en avez trouvé 2, allez au __, sinon allez au __.
Donc pour moi je retiens deux exemples que j'inclus dans ma définition :
1) Le texte demande au lecteur de lancer le dé pour savoir combien il (le héros) a bu de verres. Même s'il n'y a aucun choix, l'action du lecteur customize l'histoire. S'il ne lance pas le dé, il peut continuer mais on ne saura jamais combien il a bu de verres, le lecteur aura lu un texte classique. S'il lance le dé, il aura participé à la construction et aura donc lu un récit interactif.
2) Le texte demande de compter le nombre de "i" dans la phrase, par exemple. Vu que cette donnée est fixe et ne dépend pas de l'implication du lecteur, il faut rajouter une injonction : si vous en avez compté tant, allez au __, sinon, allez au __. Maintenant on a deux issues qui dépendent de l'implication du lecteur. Le lecteur est forcé de s'impliquer soit pour compter soit pour tricher. Sans ce choix, comme dans le 1, il pourrait continuer la lecture sans s'être impliqué (= récit non interactif).
J'espère que j'ai été plus clair et que cela te sera utile
Non, évidemment, une FA ne fait pas du tout partie de la définition (je suis vexé que tu penses ça, ou que tu aies compris ça ) (je plaisante, hein !)
Littérature + interaction : la littérature n'est pas interactive. Je ne vois pas l'intérêt et c'est hors de ma définition. Il y a un texte agrémenté d'une activité pour le lecteur. Je reprends l'exemple du bar : compter le nombre de "x" dans le texte ou le nombre de personnages ne modifie en rien l'histoire puisque ce nombre est fixe. C'est pour ça que j'avais mis cet exemple. Et puis le lecteur peut très bien ne pas compter, je ne vois pas en quoi cela arrête l'histoire.
A mes yeux, que le lecteur puisse modifier le cours de l'histoire est primordial, sinon le récit n'est pas interactif : c'est un simple collage entre un texte et un jeu (mais on est d'accord sur ce point).
Il faudrait rajouter :
Si vous en avez trouvé 2, allez au __, sinon allez au __.
Donc pour moi je retiens deux exemples que j'inclus dans ma définition :
1) Le texte demande au lecteur de lancer le dé pour savoir combien il (le héros) a bu de verres. Même s'il n'y a aucun choix, l'action du lecteur customize l'histoire. S'il ne lance pas le dé, il peut continuer mais on ne saura jamais combien il a bu de verres, le lecteur aura lu un texte classique. S'il lance le dé, il aura participé à la construction et aura donc lu un récit interactif.
2) Le texte demande de compter le nombre de "i" dans la phrase, par exemple. Vu que cette donnée est fixe et ne dépend pas de l'implication du lecteur, il faut rajouter une injonction : si vous en avez compté tant, allez au __, sinon, allez au __. Maintenant on a deux issues qui dépendent de l'implication du lecteur. Le lecteur est forcé de s'impliquer soit pour compter soit pour tricher. Sans ce choix, comme dans le 1, il pourrait continuer la lecture sans s'être impliqué (= récit non interactif).
J'espère que j'ai été plus clair et que cela te sera utile