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12/11/2016, 19:00
(Modification du message : 12/11/2016, 19:04 par kurt.)
Voici quelques indices que j'avais envoyés à un joueur qui restait bloqué et qui du coup était quelque peu perplexe. Ils permettent d'accéder à la "bonne fin" la plus naturelle (même s'il y a d'autres possibilités, encore bien plus tordues, pour mettre à mal la dictature).
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Spoiler
* pas la peine d'honorer la statue de Saturne, il s'agit d'argent envoyé aux mercenaire pour un pseudo-détecteur d'un germe qui n'est qu'une rumeur. Ce n'est pas dramatique, mais autant ne pas perdre de cuivre inutilement, même si cela peut rassurer le centaure il y a d'autres moyens de gagner sa confiance
* il est possible (mais pas obligatoire) de voyager avec les 2 soeurs et Épane : libérer la première soeur, la laisser partir, grimper sur la muraille, rencontrer Épane, puis aller vers le bosquet dans le village
* IMPORTANT : dans le lupanar, payer les 5 pièces, aller voir la "petite femme frêle", lui dire qu'elle n'a rien à faire là, puis aller voir sa famille dans le quartier résidentiel. Si on manque de pièces, laisser de côté, on pourra en récupérer dans l'hôpital, et dans les allées du village des mercenaires.
* IMPORTANT : stopper les expériences dans l'hôpital (Épane nous aide si l'on n'a qu'un couteau de survie) Rem : on récupère quelques pièces
* IMPORTANT : emporter 3 trousses de premiers secours (inutile si on a offert des fruits colorés à une dame d'un certain âge dans le quartier résidentiel)
Dans l'ancien Japon :
* Aller voir les petites vieilles, donner les trois trousses
* Puis, dans le village enfumé : fouiller l'entrepôt, accompagner le jeune homme, récupérer l'urne funéraire
Dans la ville, quand on est emprisonné :
* Attendre au moins un peu pour voir le résistant, ne pas trop lui parler autrement il se fait arrêter
* S'arranger pour conserver l'urne pendant l'interrogatoire.
* Quand on est conduit vers l'écluse : ralentir le pas, aller vers les maisons
* dans le repère : aller dans les deux dortoirs. On y retrouve dans l'un Béthie, la femme qui était dans le lupanar, et dans l'autre l'un des anciens cobayes de l'hôpital.
Après tout devrait être plus simple. La puce à mettre dans le faiseur de chemins n'est pas si importante : elle sert de filtre, ainsi que notre sens moral, sur ce qu'il est possible de tirer ou non du passé. Ce n'est qu'un paramètre parmi d'autres. Par ailleurs, le vice et la vertu ne sont pas inversés : le sens moral qui s'affiche désormais ne traduit plus rien, c'est une autre variable qui traduit le sens moral réel. Il faut donc continuer d'agir le mieux possible.
À noter qu'il y a une salle secrète entre les sous-sols du début et l'ancien Japon, très difficile d'accès, mais ce n'est qu'une cerise sur le gâteau pour la fin.
Avec les nouveaux dialogues, normalement pas mal de choses devraient s'éclairer.
Fan de Garcimore