Pour poursuivre le thème leprechaun, il n'y a qu'à mettre le projet dans une Grande-Bretagne de fantasy à la période de la chute de l'empire romain. Cela permet de caser des celtes, des romains, des angles, des saxons, voire même des vikings (le mot veut tout dire et rien dire de toute façon) en joyeux bazar au même endroit. Et donc d'avoir une bonne excuse pour mélanger plein d'influence (surtout que « Rome », ça englobe quand même toute l'Afrique du Nord à l'époque).
De toute façon, cela ne pourra pas être moins exact historiquement que ce qu'en ont déjà fait les auteurs de la légende arthurienne.
De toute façon, cela ne pourra pas être moins exact historiquement que ce qu'en ont déjà fait les auteurs de la légende arthurienne.