Sur le principe, je suis plutôt d'accord avec Caïthness. Les introductions jouables, c'est un peu comme les tutoriels obligatoires : la première fois, ce n'est pas un problème, mais cela devient vite lassant quand on enchaîne les parties.
Ensuite, dans une aventure de ce type, c'est assez compliqué à éviter. Il y a tout de même une certaine atmosphère à mettre en place, et un bon petit déluge d'informations à assimiler.
Je suppose qu'il aurait été possible d'enrichir et d'allonger la partie préparatoire (avant l'arrivée des princes), en y incorporant plus d'effets à long terme (je caricature un peu, mais par exemple en obtenant des faveurs auprès de nos collègues pour qu'elles nous couvrent durant nos absences de la partie principale), de façon à éviter l'enchaînement direct entre la présentation peu interactive de la cité et l'installation peu interactive des princes.
Ensuite, cela aurait probablement demandé une ou deux centaines de paragraphes de plus, et il aurait toujours fallu traverser une section plus « molle » avant d'arriver au cœur du sujet. Couvrir sa chef pour qu'elle nous donne du lest, incident évoqué mais non joué, c'est sympa mais quand même moins rigolo que de jongler avec la politique et les rancunes personnelles pour s'enrichir.
Ensuite, dans une aventure de ce type, c'est assez compliqué à éviter. Il y a tout de même une certaine atmosphère à mettre en place, et un bon petit déluge d'informations à assimiler.
Je suppose qu'il aurait été possible d'enrichir et d'allonger la partie préparatoire (avant l'arrivée des princes), en y incorporant plus d'effets à long terme (je caricature un peu, mais par exemple en obtenant des faveurs auprès de nos collègues pour qu'elles nous couvrent durant nos absences de la partie principale), de façon à éviter l'enchaînement direct entre la présentation peu interactive de la cité et l'installation peu interactive des princes.
Ensuite, cela aurait probablement demandé une ou deux centaines de paragraphes de plus, et il aurait toujours fallu traverser une section plus « molle » avant d'arriver au cœur du sujet. Couvrir sa chef pour qu'elle nous donne du lest, incident évoqué mais non joué, c'est sympa mais quand même moins rigolo que de jongler avec la politique et les rancunes personnelles pour s'enrichir.