20/07/2015, 13:51
Euh, la plupart des arguments ne s'appliquent pas qu'aux LVH, mais aussi à tous les jeux textuels et leurs descendants divers. C'est un marché de niche (tout comme les LVH), mais ça continue d'exister.
D'autres ne sont valides que dans le cas de jeux dont le code source est privé. À partir du moment où celui-ci est libre (ou libéré, comme cela arrive parfois avec les vieux jeux), les problèmes de portabilité et de pérennité ont tendance à s'effacer, puisque n'importe qui peut réadapter le jeu aux machines modernes, et il est littéralement possible de faire ses propres patchs (et il existe des bugs bloquants dans certaines aventures papier).
La barrière financière à l'entrée est effectivement un argument intéressant, puisque en-dehors de quelques jeux là encore purement textuels fait sur avec des outils gratuits et « simples » (Twine pour ne pas le nommer), les tarifs s'envolent très très vite. Y'a d'ailleurs pas mal d'articles intéressants sur le net à propos de projets pourtant raisonnables avec un matelas financier de départ confortable coulés par une mésestimation de la vitesse à laquelle l'argent part. Mais il s'agit d'un argument qui ne touche que les créateurs, pas les utilisateurs finaux.
D'autres ne sont valides que dans le cas de jeux dont le code source est privé. À partir du moment où celui-ci est libre (ou libéré, comme cela arrive parfois avec les vieux jeux), les problèmes de portabilité et de pérennité ont tendance à s'effacer, puisque n'importe qui peut réadapter le jeu aux machines modernes, et il est littéralement possible de faire ses propres patchs (et il existe des bugs bloquants dans certaines aventures papier).
La barrière financière à l'entrée est effectivement un argument intéressant, puisque en-dehors de quelques jeux là encore purement textuels fait sur avec des outils gratuits et « simples » (Twine pour ne pas le nommer), les tarifs s'envolent très très vite. Y'a d'ailleurs pas mal d'articles intéressants sur le net à propos de projets pourtant raisonnables avec un matelas financier de départ confortable coulés par une mésestimation de la vitesse à laquelle l'argent part. Mais il s'agit d'un argument qui ne touche que les créateurs, pas les utilisateurs finaux.