Je suis de retour... et je rattrape tout d'un coup.
Au passage, je viens de "réaliser" que je n'arrêtais pas de faire d'odieux anglicismes (paragraphe 49).
Faustine_du_94
42 § parcourus
Caractéristiques :
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Au passage, je viens de "réaliser" que je n'arrêtais pas de faire d'odieux anglicismes (paragraphe 49).
Faustine_du_94
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SpoilerÉtudes : 2
Sport : 5
Popularité : 3
Tricherie : 10
Résistance : 4
Points bonus : IIII
Notes : lunaire
Inventaire : cigarettes, briquet, lampe de poche,
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Tricherie : 10
Résistance : 4
Points bonus : IIII
Notes : lunaire
Inventaire : cigarettes, briquet, lampe de poche,
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Spoiler
Paragraphe 1 :
Paragraphe 13 :
Paragraphe 68 :
Paragraphe 6 :
Paragraphe 23 :
Paragraphe 101 :
Paragraphe 213 :
Paragraphe 277 :
Paragraphe 238 :
Paragraphe 264 :
Paragraphe 299 :
Paragraphe 80 :
Paragraphe 51 :
Paragraphe 106 :
Paragraphe 81 :
Paragraphe 59 :
Paragraphe 46 :
Paragraphe 35 :
Paragraphe 43 :
Paragraphe 49 :
Paragraphe 2 : scappa via... mais je suis repérée désormais. Je descends longtemps jusqu'à déboucher sur un large et mystérieux couloir éclairé.
Paragraphe 100 : mine de rien, l'aventure, c'est excitant (+1 point de résistance) ! Parvenue à un carrefour, j'hésite entre poursuivre sur le chemin principal et bifurquer. Le couloir qui s'enfonce ne me paraît pas offrir les meilleurs espoirs de trouver une issue, tandis que celui de droite, particulièrement délabré, pourrait être désaffecté : le risque de rencontrer quelqu'un devrait être moindre, mais peut-être est-ce troquer un danger pour un autre, inconnu ? En tout cas, je me souviens avoir lu un livre bizarre, une fois, où il fallait choisir quel paragraphe on lisait pour poursuivre l'histoire. C'était dans le futur, après une catastrophe mondiale, et on se déplaçait en voiture sur une autoroute. Bref, ça m'a appris qu'il valait mieux ne pas toujours aller tout droit. Merci, Livres dont vous êtes le héros ! Je tourne à droite.
Paragraphe 298 : cet endroit tombe carrément en ruine. Je commence à douter avant de trouver un petit passage éclairé aux flambeaux... à perte de vue. Ça va durer longtemps ? Je m'y engage malgré tout, c'est pas courant quand même.
Paragraphe 266 : bon, je suis presque paumée. Alors récapitulons : j'ai commencé par marcher assez longtemps, au premier carrefour j'ai tourné à droite, j'ai marché pas mal de temps dans un couloir sale, puis j'ai tourné à gauche dans un couloir étroit et éclairé avec des torches, et maintenant je suis revenue à un bête carrefour... Pfiou, allez, au hasard ma vieille, t'es plus à ça près !
Paragraphe 152 : maintenant, je peux le dire : je suis complètement paumée... Hé, mais ! que vois-je sur mon chemin ? Une issue ? Vous voulez dire, un orifice sombre dans le mur ouvrant sur un tube en pente ? Tu m'as prise pour un déchet ? Je passe mon chemin !
Paragraphe 53 : et j'arrive, ô stupeur, dans un couloir inondé ! Plus surprenant encore, une sorte de gondole avec une perche m'attend sur le bord. Je saute à bord ! Et vogue la galère !
Paragraphe 63 : je suis crevée... c'est pas facile en fait de naviguer à la gaule, là. Mais bon, faire demi-tour, j'ai pas le courage : si je persévère, y'a de l'espoir, non ?
Paragraphe 75 : flûte, quelle erreur, s'obstiner n'était peut-être pas le choix judicieux ? Je rebrousse chemin avant de perdre complètement la boule ou de geler sur pied.
Paragraphe 120 : je souffre, je n'ai plus de force, je veux mourir... euh non. (- 4 points de résistance.) Je me traîne un peu plus loin dans les couloirs.
Paragraphe 104 : c'est en jetant un regard las aux parois interminables de ce satané labyrinthe que je découvre le passage secret... et peut-être l'issue ? En l'occurrence, c'est une échelle, et elle mène vers les hauteurs ! C'est bon, ça !
Paragraphe 170 : je ne comprends plus rien. Tout est minuscule, mais moi je ne m'appelle pas Alice ! Et puis ces escaliers (en bois, ici ?) trop étroit pour que j'y passe, à qui servent-ils ? Je continue jusqu'à un cul-de-sac mais maintenant je connais le coup du passage secret. Hi hi, à moi la liber... arf, nan, c'est pas fini. (Se rendre désormais au 189 si Résistance à 0.)
Paragraphe 58 : je suis sur le cul. Zavez qu'à lire la description si vous voulez vous faire une idée. En tout cas, pour ce qui est de mon idée d'incendier le pensionnat, il a l'air de se débrouiller très bien tout seul. Quoi qu'il en soit, je suis bien parvenue à retourner dans les locaux que je connais... du moins que je croyais connaître. Et comme ici ça sent le roussi mais que je ne tiens pas à rencontrer les responsables de tout ce cirque, je vais laisser le musicien tranquille et me faufiler dans la salle de peinture.
Paragraphe 172 : en raison de mon adresse et de ma grâce naturelles, je parviens à esquiver les colonnes de flammes sur mon chemin. Je pénètre dans la salle de peinture.
Paragraphe 291 : zut, y'a de la compagnie. Et je parie que mademoiselle l'artiste est en train de me croquer. Je vais m'en assurer, car ça ne me plaît guère.
Paragraphe 218 : elle m'énerve. Elle m'a même pas demandé mon avis, pour se permettre de me faire le portrait. Mais s'il s'agit d'une victime ? Les marques sur son visage sont sûrement en cause et les effacer me paraît tout à fait indiqué.
Paragraphe 232 : aïe ! elle se défend la bougresse, et son pinceau est une arme !
Paragraphe 229 : j'en étais sûre. Si elle termine mon portrait, à tous les coups j'y passe. La violence me paraît la meilleure réponse, la solution souveraine. Je vais lui refaire le sien, de portrait, tiens !
Paragraphe 214 : on va dire que le cœur y était. Et ça paye, merci miss.
Paragraphe 137 : ho non, ça recommence... des couloirs et des couloirs et encore des couloirs, avec des carrefours pour avoir en prime l'embarras du choix. J'en pleurerais presque. Ah... bah non, en fait, huhu ! C'était juste un passage secret vers une autre salle...
Paragraphe 211 : hiii, je suis pincée ! Par un "sphinx" (je réprime l'envie de corriger le monstre qui visiblement mélange les sexes et n'a pas encore osé secouer le joug phallocrate). Et elle veut me poser une question, c'est quoi ce cliché ? Je vais te l'embrouiller en deux'spi, moi. (Test de tricherie réussi.)
Paragraphe 216 : laule.
Paragraphe 209 : la routine, puis la bibli (c'est moins habituel, déjà). Et puis, comment ? Des malotrus osent blablater dans ce haut lieu du savoir ? Vite, tâchons d'en apprendre plus...
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Paragraphe 2 : scappa via... mais je suis repérée désormais. Je descends longtemps jusqu'à déboucher sur un large et mystérieux couloir éclairé.
Paragraphe 100 : mine de rien, l'aventure, c'est excitant (+1 point de résistance) ! Parvenue à un carrefour, j'hésite entre poursuivre sur le chemin principal et bifurquer. Le couloir qui s'enfonce ne me paraît pas offrir les meilleurs espoirs de trouver une issue, tandis que celui de droite, particulièrement délabré, pourrait être désaffecté : le risque de rencontrer quelqu'un devrait être moindre, mais peut-être est-ce troquer un danger pour un autre, inconnu ? En tout cas, je me souviens avoir lu un livre bizarre, une fois, où il fallait choisir quel paragraphe on lisait pour poursuivre l'histoire. C'était dans le futur, après une catastrophe mondiale, et on se déplaçait en voiture sur une autoroute. Bref, ça m'a appris qu'il valait mieux ne pas toujours aller tout droit. Merci, Livres dont vous êtes le héros ! Je tourne à droite.
Paragraphe 298 : cet endroit tombe carrément en ruine. Je commence à douter avant de trouver un petit passage éclairé aux flambeaux... à perte de vue. Ça va durer longtemps ? Je m'y engage malgré tout, c'est pas courant quand même.
Paragraphe 266 : bon, je suis presque paumée. Alors récapitulons : j'ai commencé par marcher assez longtemps, au premier carrefour j'ai tourné à droite, j'ai marché pas mal de temps dans un couloir sale, puis j'ai tourné à gauche dans un couloir étroit et éclairé avec des torches, et maintenant je suis revenue à un bête carrefour... Pfiou, allez, au hasard ma vieille, t'es plus à ça près !
Paragraphe 152 : maintenant, je peux le dire : je suis complètement paumée... Hé, mais ! que vois-je sur mon chemin ? Une issue ? Vous voulez dire, un orifice sombre dans le mur ouvrant sur un tube en pente ? Tu m'as prise pour un déchet ? Je passe mon chemin !
Paragraphe 53 : et j'arrive, ô stupeur, dans un couloir inondé ! Plus surprenant encore, une sorte de gondole avec une perche m'attend sur le bord. Je saute à bord ! Et vogue la galère !
Paragraphe 63 : je suis crevée... c'est pas facile en fait de naviguer à la gaule, là. Mais bon, faire demi-tour, j'ai pas le courage : si je persévère, y'a de l'espoir, non ?
Paragraphe 75 : flûte, quelle erreur, s'obstiner n'était peut-être pas le choix judicieux ? Je rebrousse chemin avant de perdre complètement la boule ou de geler sur pied.
Paragraphe 120 : je souffre, je n'ai plus de force, je veux mourir... euh non. (- 4 points de résistance.) Je me traîne un peu plus loin dans les couloirs.
Paragraphe 104 : c'est en jetant un regard las aux parois interminables de ce satané labyrinthe que je découvre le passage secret... et peut-être l'issue ? En l'occurrence, c'est une échelle, et elle mène vers les hauteurs ! C'est bon, ça !
Paragraphe 170 : je ne comprends plus rien. Tout est minuscule, mais moi je ne m'appelle pas Alice ! Et puis ces escaliers (en bois, ici ?) trop étroit pour que j'y passe, à qui servent-ils ? Je continue jusqu'à un cul-de-sac mais maintenant je connais le coup du passage secret. Hi hi, à moi la liber... arf, nan, c'est pas fini. (Se rendre désormais au 189 si Résistance à 0.)
Paragraphe 58 : je suis sur le cul. Zavez qu'à lire la description si vous voulez vous faire une idée. En tout cas, pour ce qui est de mon idée d'incendier le pensionnat, il a l'air de se débrouiller très bien tout seul. Quoi qu'il en soit, je suis bien parvenue à retourner dans les locaux que je connais... du moins que je croyais connaître. Et comme ici ça sent le roussi mais que je ne tiens pas à rencontrer les responsables de tout ce cirque, je vais laisser le musicien tranquille et me faufiler dans la salle de peinture.
Paragraphe 172 : en raison de mon adresse et de ma grâce naturelles, je parviens à esquiver les colonnes de flammes sur mon chemin. Je pénètre dans la salle de peinture.
Paragraphe 291 : zut, y'a de la compagnie. Et je parie que mademoiselle l'artiste est en train de me croquer. Je vais m'en assurer, car ça ne me plaît guère.
Paragraphe 218 : elle m'énerve. Elle m'a même pas demandé mon avis, pour se permettre de me faire le portrait. Mais s'il s'agit d'une victime ? Les marques sur son visage sont sûrement en cause et les effacer me paraît tout à fait indiqué.
Paragraphe 232 : aïe ! elle se défend la bougresse, et son pinceau est une arme !
Paragraphe 229 : j'en étais sûre. Si elle termine mon portrait, à tous les coups j'y passe. La violence me paraît la meilleure réponse, la solution souveraine. Je vais lui refaire le sien, de portrait, tiens !
Paragraphe 214 : on va dire que le cœur y était. Et ça paye, merci miss.
Paragraphe 137 : ho non, ça recommence... des couloirs et des couloirs et encore des couloirs, avec des carrefours pour avoir en prime l'embarras du choix. J'en pleurerais presque. Ah... bah non, en fait, huhu ! C'était juste un passage secret vers une autre salle...
Paragraphe 211 : hiii, je suis pincée ! Par un "sphinx" (je réprime l'envie de corriger le monstre qui visiblement mélange les sexes et n'a pas encore osé secouer le joug phallocrate). Et elle veut me poser une question, c'est quoi ce cliché ? Je vais te l'embrouiller en deux'spi, moi. (Test de tricherie réussi.)
Paragraphe 216 : laule.
Paragraphe 209 : la routine, puis la bibli (c'est moins habituel, déjà). Et puis, comment ? Des malotrus osent blablater dans ce haut lieu du savoir ? Vite, tâchons d'en apprendre plus...