Comme je vais aller me mettre au vert très prochainement, j'accélère un peu la cadence.
Faustine_du_94
20 § parcourus
Caractéristiques :
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Parcours :
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PS : ouais ! c'est la fête pour mon centième message !
Faustine_du_94
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SpoilerÉtudes : 2
Sport : 5
Popularité : 3
Tricherie : 10
Résistance : 7
Points bonus : IIII
Notes : lunaire
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Spoiler
Paragraphe 1 : je chipe les cigarettes et le briquet.
Paragraphe 13 : je songe aux vacances de Noël qui approchent.
Paragraphe 68 : j'ai hâte d'aller skier avec Hyacinthe et Zerbinette.
Paragraphe 6 : prise d'un accès de civisme, je referme la fenêtre.
Paragraphe 23 : oh, y'a un toutou dans les plates-bandes. Pauv' bête, par ce froid !
Paragraphe 101 : test de popularité réussi.
Paragraphe 213 : la chance ? Disons plutôt la curiosité. Allons voir sainte Brigitte.
Paragraphe 277 : je ne pense pas que le paradis existe, mais en tout cas la foi rapporte des points bonus ! Ah, Brigitte...
Paragraphe 238 : oh non ! Si je me fais pincer avec de la contrebande plein les poches, adieu la glisse. J'éteins ma lampe et je guette les cornettes.
Paragraphe 264 : rien, je dirais même que c'est mort. Enfin... Je n'ai pas peur du noir et tout, mais quand même, quand je suis toute seule et qu'il y a des sortes de gémissements inhumains dans le lointain, ben je flippe un peu... Toi-même tu sais.
Paragraphe 299 : bref j'arrive au réfectoire sans mal, QUAND SOUDAIN...
Paragraphe 80 : je déboule dans un réfectoire illuminé de chandeliers, avec une sorte de couvert dressé : des bols, pleins de bols, plus qu'il n'en faudrait pour nourrir une vingtaine de bonnes sœurs. C'est trop chelou, faut que je vois ça de plus près.
Paragraphe 51 : Jésus-Marie-Josèphe ! Des fantômes sont apparus pendant que je furetais entre les tables ! Ils veulent m'attraper avec leurs mains glacées... Je m'enfuis en hurlant (et je perds deux points de résistance au passage, saperlotte). Il est peut-être prématuré d'incendier le pensionnat, mais nom de dieu, s'il le faut, je le ferai, vu les trucs pas très catholiques qui s'y passent. Ils ont voulu me manger !
Paragraphe 106 : les monstres me poursuivent. Je parviens à une intersection : soit je sors, soit je m'approche des salles de classe : le cauchemar ! Mais comme je me souviens qu'il y a des trucs qui traînent dans les plates-bandes, je vais plutôt rester à l'intérieur (en plus, ça caille).
Paragraphe 81 : j'ai l'impression qu'ils me rattrapent ! Il faut que j'en mette un coup... ET CHBAM !
Paragraphe 59 : je viens de "rencontrer" Émilie. La nigaude n'est pas plus avancée que moi, mais nous finissons par trouver refuge dans une salle de classe. Il semblerait que l'obscurité soit devenue maléfique, mais que la lumière nous en préserve ; en tout cas il a suffi de refermer la porte et d'allumer les néons. À l'extérieur, les piaulements ont cessé.
Paragraphe 46 : elle est teigne, mais bon, voilà quoi, faut se serrer les coudes entre filles pour combattre le Mal ! Alors pour réussir tout juste le test de popularité, je lui file une clope qu'elle ne mérite pas. Quoique, si c'est la dernière...
Paragraphe 35 : recoupons les informations : fenêtres ouvertes, hurlements dans la nuit, course-poursuite avec des ombres... La lumière de la lampe de poche semble n'avoir pas pu protéger Mimi... L'étrange, c'est que lorsque je me suis trouvée dans une situation similaire, j'ai éteint la lumière par réflexe et qu'il ne m'est rien arrivé de fâcheux alors. Peut-être sommes-nous victimes d'un crise d'hystérie collective comme ces nonnes du Moyen Âge qui pétaient parfois toutes en même temps un câble, dans leur monastère ? Il faut creuser ce point... MAIS... mais que se passe-t-il ? Les lumières s'éteignent, les ombres arrivent, il faut partir ! Voyons Émilie, ma sotte amie, tu ne veux tout de même pas aller gambader dans le parc ? (Il est vrai que j'ai oublié de lui mentionner la présence d'un chien errant...) Tant pis, moi je retente ma chance dans le couloir.
Paragraphe 43 : la voie est libre. Bonne chance, Mimi. Tout est calme, comme si j'avais rêvé. Sans trop savoir quoi faire, je me résous à tenter de regagner mon étage et commence à me diriger vers un escalier tout en tâchant d'éviter du plus loin le réfectoire. ET LÀ... des pas approchent au détour du couloir !
Paragraphe 49 : chatte échaudée craint l'eau froide (miaou). Je me planque dans le placard à balais... mais ma parole, les pas s'arrêtent devant la porte et je suis faite comme une rate dans ce maudit cagibi ! Il faudrait véritablement un miracle pour me sortir de cette situation... Oh, tiens, que voilà au fond de ce réduit ? Par la barbe de mes ancêtres, c'est un véritable passage secret en pures pierres moussues qui s'enfonce dans les ténèbres ! Hop !
Paragraphe 1 : je chipe les cigarettes et le briquet.
Paragraphe 13 : je songe aux vacances de Noël qui approchent.
Paragraphe 68 : j'ai hâte d'aller skier avec Hyacinthe et Zerbinette.
Paragraphe 6 : prise d'un accès de civisme, je referme la fenêtre.
Paragraphe 23 : oh, y'a un toutou dans les plates-bandes. Pauv' bête, par ce froid !
Paragraphe 101 : test de popularité réussi.
Paragraphe 213 : la chance ? Disons plutôt la curiosité. Allons voir sainte Brigitte.
Paragraphe 277 : je ne pense pas que le paradis existe, mais en tout cas la foi rapporte des points bonus ! Ah, Brigitte...
Paragraphe 238 : oh non ! Si je me fais pincer avec de la contrebande plein les poches, adieu la glisse. J'éteins ma lampe et je guette les cornettes.
Paragraphe 264 : rien, je dirais même que c'est mort. Enfin... Je n'ai pas peur du noir et tout, mais quand même, quand je suis toute seule et qu'il y a des sortes de gémissements inhumains dans le lointain, ben je flippe un peu... Toi-même tu sais.
Paragraphe 299 : bref j'arrive au réfectoire sans mal, QUAND SOUDAIN...
Paragraphe 80 : je déboule dans un réfectoire illuminé de chandeliers, avec une sorte de couvert dressé : des bols, pleins de bols, plus qu'il n'en faudrait pour nourrir une vingtaine de bonnes sœurs. C'est trop chelou, faut que je vois ça de plus près.
Paragraphe 51 : Jésus-Marie-Josèphe ! Des fantômes sont apparus pendant que je furetais entre les tables ! Ils veulent m'attraper avec leurs mains glacées... Je m'enfuis en hurlant (et je perds deux points de résistance au passage, saperlotte). Il est peut-être prématuré d'incendier le pensionnat, mais nom de dieu, s'il le faut, je le ferai, vu les trucs pas très catholiques qui s'y passent. Ils ont voulu me manger !
Paragraphe 106 : les monstres me poursuivent. Je parviens à une intersection : soit je sors, soit je m'approche des salles de classe : le cauchemar ! Mais comme je me souviens qu'il y a des trucs qui traînent dans les plates-bandes, je vais plutôt rester à l'intérieur (en plus, ça caille).
Paragraphe 81 : j'ai l'impression qu'ils me rattrapent ! Il faut que j'en mette un coup... ET CHBAM !
Paragraphe 59 : je viens de "rencontrer" Émilie. La nigaude n'est pas plus avancée que moi, mais nous finissons par trouver refuge dans une salle de classe. Il semblerait que l'obscurité soit devenue maléfique, mais que la lumière nous en préserve ; en tout cas il a suffi de refermer la porte et d'allumer les néons. À l'extérieur, les piaulements ont cessé.
Paragraphe 46 : elle est teigne, mais bon, voilà quoi, faut se serrer les coudes entre filles pour combattre le Mal ! Alors pour réussir tout juste le test de popularité, je lui file une clope qu'elle ne mérite pas. Quoique, si c'est la dernière...
Paragraphe 35 : recoupons les informations : fenêtres ouvertes, hurlements dans la nuit, course-poursuite avec des ombres... La lumière de la lampe de poche semble n'avoir pas pu protéger Mimi... L'étrange, c'est que lorsque je me suis trouvée dans une situation similaire, j'ai éteint la lumière par réflexe et qu'il ne m'est rien arrivé de fâcheux alors. Peut-être sommes-nous victimes d'un crise d'hystérie collective comme ces nonnes du Moyen Âge qui pétaient parfois toutes en même temps un câble, dans leur monastère ? Il faut creuser ce point... MAIS... mais que se passe-t-il ? Les lumières s'éteignent, les ombres arrivent, il faut partir ! Voyons Émilie, ma sotte amie, tu ne veux tout de même pas aller gambader dans le parc ? (Il est vrai que j'ai oublié de lui mentionner la présence d'un chien errant...) Tant pis, moi je retente ma chance dans le couloir.
Paragraphe 43 : la voie est libre. Bonne chance, Mimi. Tout est calme, comme si j'avais rêvé. Sans trop savoir quoi faire, je me résous à tenter de regagner mon étage et commence à me diriger vers un escalier tout en tâchant d'éviter du plus loin le réfectoire. ET LÀ... des pas approchent au détour du couloir !
Paragraphe 49 : chatte échaudée craint l'eau froide (miaou). Je me planque dans le placard à balais... mais ma parole, les pas s'arrêtent devant la porte et je suis faite comme une rate dans ce maudit cagibi ! Il faudrait véritablement un miracle pour me sortir de cette situation... Oh, tiens, que voilà au fond de ce réduit ? Par la barbe de mes ancêtres, c'est un véritable passage secret en pures pierres moussues qui s'enfonce dans les ténèbres ! Hop !
PS : ouais ! c'est la fête pour mon centième message !