Une AVH drôle et débile ("débile" dans le bon sens hein ^^) à souhait.
Étant moi-même un acharné de l'orthographe, j'ai pu parfaitement m'intégrer au personnage et partager ses visions de massacres d'incultes ki ékriv kom sa, et j'étais donc à fond dans le délire d'entrée de jeu.
Il ne faut clairement pas chercher la moindre logique, le moindre sens ou même une once de justice à cette "histoire" délibérément absurde, mais on peut apprécier l'absence de pratiquement toute mesure et les situations toutes plus tordues les unes que les autres qui s'enchainent.
Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de visiter la conférence (ayant bondit vers l'université, lieu le plus logique pour combattre le mal d'inculture qui menace notre monde, juste après m'être armé des conseils de mon ami au discours excessif), mais ça m'a l'air assez savoureux donc je ferais probablement une petite plongé à un moment quelconque histoire de voir ce que j'ai raté.
J'ai trouvé particulièrement drôle les descriptions alternatives de Mme Chiffre et Raoul l'agent d'entretien, et surtout toute la pseudo-histoire de crime (entre l'horloge parlante et Alain Sassin, j'étais en train de me poiler sans retenu). Je regrette qu'on ne puisse pas utiliser "l'insulte suprême" lors du combat contre le bonze par contre, ça aurait été adapté.
Une aventure comique peut fatiguer à la longue (l'absurde perd son impact à grande dose pour n'être plus que du décousu), mais cette AVH a le bon goût d'être assez courte pour qu'on puisse l'apprécier sans s'en lasser. Comme mes collègues, j'ai eu fortement tendance à revenir sur mes pas quand je tombais sur un PFA, pour trois raisons :
- La moitié du temps, je me doutais bien que c'était une mauvaise solution, mais je voulais juste voir ce qu'il allait arriver.
- Comme cela a été dit, ça aurait de toutes façons cassé le rythme de recommencer à chaque fois.
- De toutes façons, j'ai (à ma grande honte, mais je le vie bien) tendance à le faire quelque-soit l'AVH ou le LDVELH, donc bon...
Au final, voilà une AVH qui ne se prend (très visiblement) pas au sérieux, qui réussit à être réellement drôle et qui se lit facilement et rapidement. Ce ne sera probablement pas la plus marquante de l'année, mais au moins elle remplit son contrat de bout en bout et avec le sourire.
Étant moi-même un acharné de l'orthographe, j'ai pu parfaitement m'intégrer au personnage et partager ses visions de massacres d'incultes ki ékriv kom sa, et j'étais donc à fond dans le délire d'entrée de jeu.
Il ne faut clairement pas chercher la moindre logique, le moindre sens ou même une once de justice à cette "histoire" délibérément absurde, mais on peut apprécier l'absence de pratiquement toute mesure et les situations toutes plus tordues les unes que les autres qui s'enchainent.
Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de visiter la conférence (ayant bondit vers l'université, lieu le plus logique pour combattre le mal d'inculture qui menace notre monde, juste après m'être armé des conseils de mon ami au discours excessif), mais ça m'a l'air assez savoureux donc je ferais probablement une petite plongé à un moment quelconque histoire de voir ce que j'ai raté.
J'ai trouvé particulièrement drôle les descriptions alternatives de Mme Chiffre et Raoul l'agent d'entretien, et surtout toute la pseudo-histoire de crime (entre l'horloge parlante et Alain Sassin, j'étais en train de me poiler sans retenu). Je regrette qu'on ne puisse pas utiliser "l'insulte suprême" lors du combat contre le bonze par contre, ça aurait été adapté.
Une aventure comique peut fatiguer à la longue (l'absurde perd son impact à grande dose pour n'être plus que du décousu), mais cette AVH a le bon goût d'être assez courte pour qu'on puisse l'apprécier sans s'en lasser. Comme mes collègues, j'ai eu fortement tendance à revenir sur mes pas quand je tombais sur un PFA, pour trois raisons :
- La moitié du temps, je me doutais bien que c'était une mauvaise solution, mais je voulais juste voir ce qu'il allait arriver.
- Comme cela a été dit, ça aurait de toutes façons cassé le rythme de recommencer à chaque fois.
- De toutes façons, j'ai (à ma grande honte, mais je le vie bien) tendance à le faire quelque-soit l'AVH ou le LDVELH, donc bon...
Au final, voilà une AVH qui ne se prend (très visiblement) pas au sérieux, qui réussit à être réellement drôle et qui se lit facilement et rapidement. Ce ne sera probablement pas la plus marquante de l'année, mais au moins elle remplit son contrat de bout en bout et avec le sourire.
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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