12/03/2007, 23:40
Bonjour,
Je souhaite apporter un complément d'information par rapport à cette critique globalement positive de la vengeance du ninja.
Il est interressant de relire cet ouvrage à la lumière d'un soleil (ou des étoiles...) du XXIème siècle, car effectivement dans les années 80-90's c'était la mode des "ninjas" et on mangeait des ninja à toutes les sauces, (des tortues, par exemple), et à part un bref ninja burger, jeu de Steve Jackson l'américain, nos guerriers masqués rejoignent ces derniers temps l'ombre à laquelle leur ordre aurait du toujours appartenir.
Tout cela pour dire que ce qui est extraordinaire dans la Voie du Tigre, c'est la mise en scène.
L'intro m'a toujours fait réver, avec le flash-back du jeune apprenti ninja qui court des kilomètres tous les jours avec un ruban de dix mètres qui ne touche pas terre...etc...mais le jeu en lui-même est fascinant.
La rencontre avec les PNJ se fait toujours dans une méfiance ou un respect contenu, particulièrement avec le shin-ren.
Dans le 1er tome, lorsque l'on s'infiltre dans la forteresse, on a vraiment l'impression d'être une ombre (notamment la scène dans laquelle on se tient au coin d'un plafond le temps que les gardes passent).
Le panthéon est complexe, les dieux interfèrent avec leurs croyants.
Les combats avec les boss sont particulièrement épiques, peut être les plus épiques de tous les LDVELH : vous souvenez vous du combat sous la pluie et les éclairs, au sommet du dongeon avec Yaemon, l'assassin de votre père ? Et le combat avec l'Usurpateur, qui convoque tour à tour les légions de l'enfer ?
Enfin, je vais peut être me faire incendier, mais j'aime tout particulièrement la fin du dernier tome.
Quelle plus belle destinée pour le Ninja qui a juré d'être la mort pour ceux qui répandent le mal de s'élancer sur la Toile de la Déesse du Mal dans un dernier combat, aux cotés de ses anciens ennemis de toujours, Tchuytchev et Cassandra ?
La fin inachevée laisse un suspens qui invite au rêve et je suis certain que tout autre fin aurait été moins savoureuse.
JB
Je souhaite apporter un complément d'information par rapport à cette critique globalement positive de la vengeance du ninja.
Il est interressant de relire cet ouvrage à la lumière d'un soleil (ou des étoiles...) du XXIème siècle, car effectivement dans les années 80-90's c'était la mode des "ninjas" et on mangeait des ninja à toutes les sauces, (des tortues, par exemple), et à part un bref ninja burger, jeu de Steve Jackson l'américain, nos guerriers masqués rejoignent ces derniers temps l'ombre à laquelle leur ordre aurait du toujours appartenir.
Tout cela pour dire que ce qui est extraordinaire dans la Voie du Tigre, c'est la mise en scène.
L'intro m'a toujours fait réver, avec le flash-back du jeune apprenti ninja qui court des kilomètres tous les jours avec un ruban de dix mètres qui ne touche pas terre...etc...mais le jeu en lui-même est fascinant.
La rencontre avec les PNJ se fait toujours dans une méfiance ou un respect contenu, particulièrement avec le shin-ren.
Dans le 1er tome, lorsque l'on s'infiltre dans la forteresse, on a vraiment l'impression d'être une ombre (notamment la scène dans laquelle on se tient au coin d'un plafond le temps que les gardes passent).
Le panthéon est complexe, les dieux interfèrent avec leurs croyants.
Les combats avec les boss sont particulièrement épiques, peut être les plus épiques de tous les LDVELH : vous souvenez vous du combat sous la pluie et les éclairs, au sommet du dongeon avec Yaemon, l'assassin de votre père ? Et le combat avec l'Usurpateur, qui convoque tour à tour les légions de l'enfer ?
Enfin, je vais peut être me faire incendier, mais j'aime tout particulièrement la fin du dernier tome.
Quelle plus belle destinée pour le Ninja qui a juré d'être la mort pour ceux qui répandent le mal de s'élancer sur la Toile de la Déesse du Mal dans un dernier combat, aux cotés de ses anciens ennemis de toujours, Tchuytchev et Cassandra ?
La fin inachevée laisse un suspens qui invite au rêve et je suis certain que tout autre fin aurait été moins savoureuse.
JB