Je crois que cela dépend de ce que l'on entend par le terme de "perfectionniste".
Car si c'est peaufiner son texte avec amour on aurait franchement tort de se priver. C'est toujours agréable de lire un texte qui soit le plus fluide possible, et d'ailleurs un texte n'a pas besoin d'être rempli de termes issus du registre de vocabulaire soutenu pour être fluide (c'est peut-être même le contraire qui risque de se produire!).
Si perfectionniste signifie pointilleux, tatillon, on risque de se retrouver avec un texte alambiqué et donc pénible à lire.
Le mieux est de proposer une AVH issue d'un travail où l'on a été "perfectionniste" et de voir quels sont les retours concernant le style.
Si c'est l'unanimité ou presque pour reconnaître une plume très agréable, alors ça vaut le coup d'être perfectionniste.
Par contre si certains soulignent une sorte de lourdeur, de côté indigeste malgré la richesse de l'ensemble, alors il faut revenir à quelque chose de plus sobre (et cela ne doit pas être si facile de faire "simple").
Car si c'est peaufiner son texte avec amour on aurait franchement tort de se priver. C'est toujours agréable de lire un texte qui soit le plus fluide possible, et d'ailleurs un texte n'a pas besoin d'être rempli de termes issus du registre de vocabulaire soutenu pour être fluide (c'est peut-être même le contraire qui risque de se produire!).
Si perfectionniste signifie pointilleux, tatillon, on risque de se retrouver avec un texte alambiqué et donc pénible à lire.
Le mieux est de proposer une AVH issue d'un travail où l'on a été "perfectionniste" et de voir quels sont les retours concernant le style.
Si c'est l'unanimité ou presque pour reconnaître une plume très agréable, alors ça vaut le coup d'être perfectionniste.
Par contre si certains soulignent une sorte de lourdeur, de côté indigeste malgré la richesse de l'ensemble, alors il faut revenir à quelque chose de plus sobre (et cela ne doit pas être si facile de faire "simple").