Merci à vous deux, ça me touche beaucoup !
En ce qui me concerne, je n'ai jamais pris autant de plaisir à écrire une aventure que celle-ci (à tel point que j'ai énormément de mal à réécrire des avh depuis, d'ailleurs). J'ai vraiment passé deux semaines de vacances complètes dessus, du matin au soir. Cela m'a fait du bien, car je me suis senti dans une position plus humble : je n'étais qu'une sorte de passeur, faisant une synthèse de toutes ces histoires folles. Ce qui j'ai essayé de faire passer, c'est simplement mon attrait pour les grandes et belles histoires. Et particulièrement celle d'Orphée et Eurydice, que j'ai toujours considérée comme la plus belle histoire d'amour tragique de tous les temps. Et je pensais, à tort puisque Fitz vient de dire le contraire, que les enfers, qui consistent quand même en le donjon le plus incroyable à exploiter en terme d'imagination et de jeu, n'avait pas encore été utilisé. Comme quoi, on croit toujours être le premier, et en fait les bonnes idées se retrouvent partout.
Et puis j'aime la dimension spirituelle de la mythologie grecque, car on sent bien que ça ne se prend pas au sérieux, que c'est fabuleux tout en étant du grand délire poétique. Imaginez la Bible mais écrite par des poètes se laissant aller au gré de leurs inspirations fantaisistes avec humour et tendresse.
Pour le jeu, j'ai suivi mes deux préceptes habituels : plus c'est simple, plus c'est flexible et dynamique. 2 - l'important, ce qu'il faut travailler et étudier à fond, ce n'est pas les règles en elles-mêmes mais la manière dont l'aventure les exploite.
Pour l'énigme, je reconnais que j'ai été un peu vache. En effet, les informations à trouver sont noyées entre plein d'autres, et elles sont assez anecdotiques. Je vais donc donner un indice qui devra facilement vous faire trouver : Le juge et l'arbre.
En ce qui me concerne, je n'ai jamais pris autant de plaisir à écrire une aventure que celle-ci (à tel point que j'ai énormément de mal à réécrire des avh depuis, d'ailleurs). J'ai vraiment passé deux semaines de vacances complètes dessus, du matin au soir. Cela m'a fait du bien, car je me suis senti dans une position plus humble : je n'étais qu'une sorte de passeur, faisant une synthèse de toutes ces histoires folles. Ce qui j'ai essayé de faire passer, c'est simplement mon attrait pour les grandes et belles histoires. Et particulièrement celle d'Orphée et Eurydice, que j'ai toujours considérée comme la plus belle histoire d'amour tragique de tous les temps. Et je pensais, à tort puisque Fitz vient de dire le contraire, que les enfers, qui consistent quand même en le donjon le plus incroyable à exploiter en terme d'imagination et de jeu, n'avait pas encore été utilisé. Comme quoi, on croit toujours être le premier, et en fait les bonnes idées se retrouvent partout.
Et puis j'aime la dimension spirituelle de la mythologie grecque, car on sent bien que ça ne se prend pas au sérieux, que c'est fabuleux tout en étant du grand délire poétique. Imaginez la Bible mais écrite par des poètes se laissant aller au gré de leurs inspirations fantaisistes avec humour et tendresse.
Pour le jeu, j'ai suivi mes deux préceptes habituels : plus c'est simple, plus c'est flexible et dynamique. 2 - l'important, ce qu'il faut travailler et étudier à fond, ce n'est pas les règles en elles-mêmes mais la manière dont l'aventure les exploite.
Pour l'énigme, je reconnais que j'ai été un peu vache. En effet, les informations à trouver sont noyées entre plein d'autres, et elles sont assez anecdotiques. Je vais donc donner un indice qui devra facilement vous faire trouver : Le juge et l'arbre.