18/05/2012, 18:25
Presque tous les LVH ont un début et une fin obligatoires : le commencement de la quête et la victoire finale (sans compter les PFA). Il est donc nécessaire que d'une certaine façon, tous les chemins mènent à Rome. Selon cette logique, tous les choix sont illusoires. Pourtant, sans eux, il n'y aurait pas de "dont vous êtes le héros" après la mention "un livre".
Il serait impossible d'écrire un LVH où le héros peut réellement faire ce qu'il veut — fonder une famille avec la Sorcière des Neiges, s'allier à Balthus pour conquérir le monde, envoyer promener le Roi Ulnar et aller à la plage avec Banedon. Maintenant, les scénarios trop dirigistes ne sont pas plaisants non plus. Il faut balancer. Plus l'auteur essaie de rendre son aventure non-linéaire (avec des chemins différents et des conséquences "réelles" pour les choix), plus il devra écrire de paragraphes. C'est un peu le problème que j'éprouve dans mes AVH… je pense surtout au Retour des Xhâ Niâs, où j'ai dépassé 1500 §… et pourtant, strictement parlant, l'aventure n'a toujours qu'un seul début et une seule fin.
Il serait impossible d'écrire un LVH où le héros peut réellement faire ce qu'il veut — fonder une famille avec la Sorcière des Neiges, s'allier à Balthus pour conquérir le monde, envoyer promener le Roi Ulnar et aller à la plage avec Banedon. Maintenant, les scénarios trop dirigistes ne sont pas plaisants non plus. Il faut balancer. Plus l'auteur essaie de rendre son aventure non-linéaire (avec des chemins différents et des conséquences "réelles" pour les choix), plus il devra écrire de paragraphes. C'est un peu le problème que j'éprouve dans mes AVH… je pense surtout au Retour des Xhâ Niâs, où j'ai dépassé 1500 §… et pourtant, strictement parlant, l'aventure n'a toujours qu'un seul début et une seule fin.