Bombé sur votre trône, empétré de douleurs.
Pour aboucher pleinement vos flancs endoloris.
Aux effluves putrides et au mille senteurs.
Dans cet endroit lugubre où le corps d'avachit.
L'adversaire est de taille et le combat est rude.
D'une plainte déchirante à ébrouer les cieux.
Gîsant las de douleurs et de vos turpitudes.
Vous agrippant soudain aux contours adipeux.
Lancez alors deux dés, pour vous donner le choix.
Si la chance est absente, convulsez-vous au 2.
Si celle-ci vous sourit, rendez-vous donc au 3.
En priant du labeur, que vous entendent les cieux.
2
ô rage ô infamie, le destin vous accable.
Au terme d'une agonie comme un cheval se cabre.
Un hurlement perçant puis une détonation.
Quand vos tripes sur les murs dévalent à l'unisson.
3
Emportant avec elle les horreurs intérieures.
Qui s'enfoncent dans les flots ravivés de ressac.
Plus jamais de pruneaux soufflez-vous de bon coeur.
Refermant le tombeau et actionnant la chasse.
Pour aboucher pleinement vos flancs endoloris.
Aux effluves putrides et au mille senteurs.
Dans cet endroit lugubre où le corps d'avachit.
L'adversaire est de taille et le combat est rude.
D'une plainte déchirante à ébrouer les cieux.
Gîsant las de douleurs et de vos turpitudes.
Vous agrippant soudain aux contours adipeux.
Lancez alors deux dés, pour vous donner le choix.
Si la chance est absente, convulsez-vous au 2.
Si celle-ci vous sourit, rendez-vous donc au 3.
En priant du labeur, que vous entendent les cieux.
2
ô rage ô infamie, le destin vous accable.
Au terme d'une agonie comme un cheval se cabre.
Un hurlement perçant puis une détonation.
Quand vos tripes sur les murs dévalent à l'unisson.
3
Emportant avec elle les horreurs intérieures.
Qui s'enfoncent dans les flots ravivés de ressac.
Plus jamais de pruneaux soufflez-vous de bon coeur.
Refermant le tombeau et actionnant la chasse.
