13/02/2007, 00:18
(Modification du message : 13/02/2007, 00:18 par Mad Martigan.)
J'apporte exactement les mêmes bémols que toi, Fitz.
A l'époque, j'avais adoré la Belgariade (je ne sais pas si ce serait encore le cas, car je ne lis plus guère de SF). Cependant, un sentiment de malaise m'avait gagné tout au long de la Mallorée.
D'abord, par l'énorme sentiment de "resucée" de la chose. Vous avez aimé la Belgariade? On reprend exeactement le même principe, mais sur le continent d'à côté !! Avec encore plus d'aventuriers dans la troupe !!!
Ensuite, parce que la charette est complètement mise avant les boeufs tout au long de ces cinq derniers tomes. A la fin, ce n'est plus : "Bon sang : mais nous avons accompli la prophétie sans nous en apercevoir !"
C'est plutôt : "Oh bon sang : la prophétie dit d'arriver "à quinze personnes, à 12h47, devant l'auberge du Moineau Mort" : embauchons donc le berger de passage et le premier mendiant qui traîne, et magnons-nous le tronc pour être à l'heure !"
Dernier point : j'ai fini par détester les grosses ficelles du couple Eddings (oui, ils ont révélé que le mari ne faisait que le scénario, et que sa femme mettait la chair sur les os). Les dialogues ultra-verbeux, déjà . Et, comme tu l'as si bien dit, le côté : "Putain, on est tous différents, et y en a qui s'aiment pas dans le groupe : mais devant le danger, je peux vous dire qu'on se sert tous les coudes, et qu'on est une sacrée bande de potes!"
Sans parler des vannes qu'ils s'envoient à longueur de journée dans les pattes et de leur ironie relou...
C'est bien simple : un personnage ultra-imposant et impénétrable qu'on rencontre, on peut être sûr que trente pages plus loin, on le voit les larmes aux yeux ou le second degré aux lèvres, et qu'on se dise : "Ah, il est humain, en fait! Sacré bobby!..."
Quand on sait qu'il y a encore une plâtrée de tomes dans le cycle (Belgarath, Polgara, et j'en passe...), et que le couple s'est auto-auto-auto pompé de nouveau dans d'autres cycles, on se dit qu'il faut vrrrrrraiment aimer.
Quant à moi, j'ai jeté l'éponge !
A l'époque, j'avais adoré la Belgariade (je ne sais pas si ce serait encore le cas, car je ne lis plus guère de SF). Cependant, un sentiment de malaise m'avait gagné tout au long de la Mallorée.
D'abord, par l'énorme sentiment de "resucée" de la chose. Vous avez aimé la Belgariade? On reprend exeactement le même principe, mais sur le continent d'à côté !! Avec encore plus d'aventuriers dans la troupe !!!
Ensuite, parce que la charette est complètement mise avant les boeufs tout au long de ces cinq derniers tomes. A la fin, ce n'est plus : "Bon sang : mais nous avons accompli la prophétie sans nous en apercevoir !"
C'est plutôt : "Oh bon sang : la prophétie dit d'arriver "à quinze personnes, à 12h47, devant l'auberge du Moineau Mort" : embauchons donc le berger de passage et le premier mendiant qui traîne, et magnons-nous le tronc pour être à l'heure !"
Dernier point : j'ai fini par détester les grosses ficelles du couple Eddings (oui, ils ont révélé que le mari ne faisait que le scénario, et que sa femme mettait la chair sur les os). Les dialogues ultra-verbeux, déjà . Et, comme tu l'as si bien dit, le côté : "Putain, on est tous différents, et y en a qui s'aiment pas dans le groupe : mais devant le danger, je peux vous dire qu'on se sert tous les coudes, et qu'on est une sacrée bande de potes!"
Sans parler des vannes qu'ils s'envoient à longueur de journée dans les pattes et de leur ironie relou...
C'est bien simple : un personnage ultra-imposant et impénétrable qu'on rencontre, on peut être sûr que trente pages plus loin, on le voit les larmes aux yeux ou le second degré aux lèvres, et qu'on se dise : "Ah, il est humain, en fait! Sacré bobby!..."
Quand on sait qu'il y a encore une plâtrée de tomes dans le cycle (Belgarath, Polgara, et j'en passe...), et que le couple s'est auto-auto-auto pompé de nouveau dans d'autres cycles, on se dit qu'il faut vrrrrrraiment aimer.
Quant à moi, j'ai jeté l'éponge !