6ème tour :
L'Allemagne est la première victime de la guerre, la première nation à disparaître, vaincue par la très solide alliance luxembourgo-norvégienne. Plus que dix à vouloir s'approprier l'Europe...
Le conflit entre l'Espagne et la France s'enlise avec des positions figées mais toujours une suprématie de la couronne ibérique.
Celui entre la Norvège et l'Angleterre fait rage avec des victoires et des défaites dans les deux camps. Le major Hurley reprend la Suède mais ne parvient pas à forcer le verrou du Luxembourg qui demeure campé dans sa tactique défensive.
La bataille navale dans la mer du Nord est donc toujours indécise mais la duchesse remporte l'un de ses objectifs : l'annihilation de son premier ennemi allemand. Cependant le territoire prussien ne lui revient pas de droit car le Luxembourg doit le partager avec l'Autriche-Hongrie et l'étonnante Russie qui capture sans combattre Berlin et réussit le tour de force de remporter de nouveaux arsenaux alors qu'on la croyait moribonde.
Une Russie qui s'est d'ailleurs lancée dans une alliance avec une bête blessée et vengeresse : le prince des Balkans. Coincée entre deux puissants ennemis, la confédération slave opère d'étonnants mouvements et réussit à prendre Sébastopol à son ancien allié turc, à conserver la Bulgarie même si elle doit lui concéder la Roumanie. Elle agresse même l'Italie mais en vain.
La Turquie devient la nation forte de l'Europe et profite de sa position aux confins du continent ensanglanté pour lancer des assauts terribles envers ses voisins. Le sultan ravit ainsi la Grèce à l'Autriche-Hongrie (et se fait par la même occasion un nouvel ennemi) tout en envahissant peu à peu les Balkans.
Au centre de cette véritable tempête, l'Autriche-Hongrie ne parvient pas à conserver toutes ses villes acquises l'année précédente.
Quant à l'Italie, elle adopte une position défensive ou d'attente, c'est selon...
L'Allemagne est la première victime de la guerre, la première nation à disparaître, vaincue par la très solide alliance luxembourgo-norvégienne. Plus que dix à vouloir s'approprier l'Europe...
Le conflit entre l'Espagne et la France s'enlise avec des positions figées mais toujours une suprématie de la couronne ibérique.
Celui entre la Norvège et l'Angleterre fait rage avec des victoires et des défaites dans les deux camps. Le major Hurley reprend la Suède mais ne parvient pas à forcer le verrou du Luxembourg qui demeure campé dans sa tactique défensive.
La bataille navale dans la mer du Nord est donc toujours indécise mais la duchesse remporte l'un de ses objectifs : l'annihilation de son premier ennemi allemand. Cependant le territoire prussien ne lui revient pas de droit car le Luxembourg doit le partager avec l'Autriche-Hongrie et l'étonnante Russie qui capture sans combattre Berlin et réussit le tour de force de remporter de nouveaux arsenaux alors qu'on la croyait moribonde.
Une Russie qui s'est d'ailleurs lancée dans une alliance avec une bête blessée et vengeresse : le prince des Balkans. Coincée entre deux puissants ennemis, la confédération slave opère d'étonnants mouvements et réussit à prendre Sébastopol à son ancien allié turc, à conserver la Bulgarie même si elle doit lui concéder la Roumanie. Elle agresse même l'Italie mais en vain.
La Turquie devient la nation forte de l'Europe et profite de sa position aux confins du continent ensanglanté pour lancer des assauts terribles envers ses voisins. Le sultan ravit ainsi la Grèce à l'Autriche-Hongrie (et se fait par la même occasion un nouvel ennemi) tout en envahissant peu à peu les Balkans.
Au centre de cette véritable tempête, l'Autriche-Hongrie ne parvient pas à conserver toutes ses villes acquises l'année précédente.
Quant à l'Italie, elle adopte une position défensive ou d'attente, c'est selon...