"Que vous arrive-t-il ?" demandez-vous en quittant la route pour vous approcher de lui. Puis vous réalisez la cause de sa détresse : tout le bas de son corps a en fait été changé en pierre !
"Voyez comme je suis puni de mes péchés," dit-il, tournant le torse pour vous regarder. "J'étais un savant et un moine, mais je me suis trop intéressé aux arts magiques, jusqu'à m'égarer hors de la Vraie Foi. Mes voyages m'ont amené en cette contrée et, en entendant parler de Dame Psyché, j'ai décidé de lui rendre visite et d'échanger avec elle nos connaissances des sortilèges et des rituels. Hélas ! Dès que je posai les yeux sur elle, tout souci d'apprendre déserta mon esprit. J'étais ensorcelé, asservi, réduit à la stupidité par mon amour pour elle. Je ne perdais aucune occasion de lui déclarer ma flamme et, chaque fois que Psyché se promenait parmi ces vergers ou se rendait à Crescentium, je ne manquais pas de l'aborder."
"Mais je me suis ainsi attiré ce sort misérable. La patience de Psyché n'était pas sans limite. Après m'avoir à maintes reprises averti que mon adoration était importune et sans espoir, elle a employé le Verset Pétrifiant de Kadiras. Ce n'est que parce que son coeur est aussi doux qu'une tulipe et compatissant qu'une source fraîche qu'elle a épargné le haut de mon corps des effets du sortilège."
"C'est une triste histoire," opinez-vous. "Bien que vous ayiez sans doute éprouvé la patience de la dame, peut-être finira-t-elle par prendre pitié et rompre l'enchantement."
Le jeune homme soupire. "Peut-être, peut-être. Je vis pour le jour où elle se trouvera entre mes bras... Pourriez-vous m'accorder une petite faveur avant de reprendre votre route ?"
Vous haussez les épaules. "Nomme-la et nous verrons."
"La journée a été longue et chaude, et ma gorge est desséchée. Psyché ne m'a pas oublié et elle envoie d'ordinaire un esclave me porter de quoi boire et manger, mais il est en retard ce soir. Pourriez-vous cueillir une ou deux oranges et me les porter ?"
- Vous pouvez accepter
- ou regagner la route et reprendre votre chemin.
"Voyez comme je suis puni de mes péchés," dit-il, tournant le torse pour vous regarder. "J'étais un savant et un moine, mais je me suis trop intéressé aux arts magiques, jusqu'à m'égarer hors de la Vraie Foi. Mes voyages m'ont amené en cette contrée et, en entendant parler de Dame Psyché, j'ai décidé de lui rendre visite et d'échanger avec elle nos connaissances des sortilèges et des rituels. Hélas ! Dès que je posai les yeux sur elle, tout souci d'apprendre déserta mon esprit. J'étais ensorcelé, asservi, réduit à la stupidité par mon amour pour elle. Je ne perdais aucune occasion de lui déclarer ma flamme et, chaque fois que Psyché se promenait parmi ces vergers ou se rendait à Crescentium, je ne manquais pas de l'aborder."
"Mais je me suis ainsi attiré ce sort misérable. La patience de Psyché n'était pas sans limite. Après m'avoir à maintes reprises averti que mon adoration était importune et sans espoir, elle a employé le Verset Pétrifiant de Kadiras. Ce n'est que parce que son coeur est aussi doux qu'une tulipe et compatissant qu'une source fraîche qu'elle a épargné le haut de mon corps des effets du sortilège."
"C'est une triste histoire," opinez-vous. "Bien que vous ayiez sans doute éprouvé la patience de la dame, peut-être finira-t-elle par prendre pitié et rompre l'enchantement."
Le jeune homme soupire. "Peut-être, peut-être. Je vis pour le jour où elle se trouvera entre mes bras... Pourriez-vous m'accorder une petite faveur avant de reprendre votre route ?"
Vous haussez les épaules. "Nomme-la et nous verrons."
"La journée a été longue et chaude, et ma gorge est desséchée. Psyché ne m'a pas oublié et elle envoie d'ordinaire un esclave me porter de quoi boire et manger, mais il est en retard ce soir. Pourriez-vous cueillir une ou deux oranges et me les porter ?"
- Vous pouvez accepter
- ou regagner la route et reprendre votre chemin.