16/08/2010, 20:44
(Modification du message : 16/08/2010, 20:51 par Voyageur Solitaire.)
Perso, je trouve que Christian Jacq, c'est la grande surface du roman "égyptien"...
Pour "l'oeil du sphinx", il y a un truc qui me gêne : le héros se ballade en cotte de mailles, haume et épée d'acier droite au côté. Et il est bien blond et bien blanc. Et personne n'est surpris ! Comme si les égyptiens de l'époque voyaient tous les jours de grands types blonds au teint clair, barbu, se ballader en cotte de mailles et casque dans les rues de leur ville. Sans oublier l'épée droite en acier alors que les égyptiens utilisaient des lames courbes en bronze...
Sans pour autant affubler le héros d'une perruque nattée et passer ses yeux au khôl, j'aurais apprécié qu'on puisse voler ou trouver des vêtements locaux, ce qui aurait été plus réaliste.
Même chose pour "les mystères de Babylone" où le héros se ballade avec son attirail au milieu de babyloniens en sandales, robe frangée, cheveux et barbes bouclées sans choquer personne. Sans oublier l'émissaire de Bagdad que l'on affronte au jeu de quilles, représenté avec caftan et turban, comme sorti des 1001 nuits, ou encore Alshaya le noir, représenté avec chemise à jabot de dentelle et turban...
Bagdad, à cette époque, était loin d'être la cité éblouissante que l'on surnommait "la lune de l'univers".
Pour "l'oeil du sphinx", il y a un truc qui me gêne : le héros se ballade en cotte de mailles, haume et épée d'acier droite au côté. Et il est bien blond et bien blanc. Et personne n'est surpris ! Comme si les égyptiens de l'époque voyaient tous les jours de grands types blonds au teint clair, barbu, se ballader en cotte de mailles et casque dans les rues de leur ville. Sans oublier l'épée droite en acier alors que les égyptiens utilisaient des lames courbes en bronze...

Sans pour autant affubler le héros d'une perruque nattée et passer ses yeux au khôl, j'aurais apprécié qu'on puisse voler ou trouver des vêtements locaux, ce qui aurait été plus réaliste.
Même chose pour "les mystères de Babylone" où le héros se ballade avec son attirail au milieu de babyloniens en sandales, robe frangée, cheveux et barbes bouclées sans choquer personne. Sans oublier l'émissaire de Bagdad que l'on affronte au jeu de quilles, représenté avec caftan et turban, comme sorti des 1001 nuits, ou encore Alshaya le noir, représenté avec chemise à jabot de dentelle et turban...

Anywhere out of the world