11/08/2006, 12:26
http://www.obskure.com/cover_albums/slay...lusion.jpg
Après une première écoute Christ Illusion apparaît comme un condensé de la carrière de Slayer, oscillant entre des titres très rapides (Flesh Storm, Consfearacy) du temps de South of Heaven ou de Seasons in the Abyss, et d'autres très lourds (Skeleton Christ, Eyes of the Insane) qui rappelleront les meilleurs titres du très mésestimé Diabolus in Musica.
Alors est ce le retour du Sieur Lombardo qui a eu une influence bénéfique,
puisque l'on retrouve avec plaisir le Slayer des débuts notamment ces fameux roulements dégainés à une vitesse folle et les traditionnels temps morts ô combien jouissifs auxquels Slayer nous a habitués ; et comme à son habitude là dessus Lombardo excelle, voire même plus, sur l'épatante Consfearacy, le brûlot politique écrit par Kerry King à propos des politiques étasuniennes actuelles.
Pour en venir aux paroles justement, les textes de Hanneman sont très portées sur le credo habituel de Slayer, à savoir la religion et la guerre, et ce bien sûr dans leur habituel esprit de provocation. Parmi les chansons remportant la palme de la provocation, citons Jihad, écrite du point de vue d'un terroriste du 9/11, Black Serenade qui vous fera entrer dans la tête d'un tueur en série, et Cult, critique acerbe de la religion. Et rien de meiux qu'un Tom Araya au top de sa forme pour précher la bonne parole !
Au final Slayer nous aura pondu un album sur lequel il est difficile de trouver à redire, si ce n'est sur sa courte durée. A peine 40 minutes...
Assurément le meilleur album depuis Seasons in the Abyss !
Après une première écoute Christ Illusion apparaît comme un condensé de la carrière de Slayer, oscillant entre des titres très rapides (Flesh Storm, Consfearacy) du temps de South of Heaven ou de Seasons in the Abyss, et d'autres très lourds (Skeleton Christ, Eyes of the Insane) qui rappelleront les meilleurs titres du très mésestimé Diabolus in Musica.
Alors est ce le retour du Sieur Lombardo qui a eu une influence bénéfique,
puisque l'on retrouve avec plaisir le Slayer des débuts notamment ces fameux roulements dégainés à une vitesse folle et les traditionnels temps morts ô combien jouissifs auxquels Slayer nous a habitués ; et comme à son habitude là dessus Lombardo excelle, voire même plus, sur l'épatante Consfearacy, le brûlot politique écrit par Kerry King à propos des politiques étasuniennes actuelles.
Pour en venir aux paroles justement, les textes de Hanneman sont très portées sur le credo habituel de Slayer, à savoir la religion et la guerre, et ce bien sûr dans leur habituel esprit de provocation. Parmi les chansons remportant la palme de la provocation, citons Jihad, écrite du point de vue d'un terroriste du 9/11, Black Serenade qui vous fera entrer dans la tête d'un tueur en série, et Cult, critique acerbe de la religion. Et rien de meiux qu'un Tom Araya au top de sa forme pour précher la bonne parole !
Au final Slayer nous aura pondu un album sur lequel il est difficile de trouver à redire, si ce n'est sur sa courte durée. A peine 40 minutes...
Assurément le meilleur album depuis Seasons in the Abyss !