03/12/2006, 04:21
La vache, cette critique me renvoie dix ans en arrière : à la bibliothèque de mon école primaire, il y avait six CYOA, dont justement tous ceux que tu mentionnes, et y compris celui-ci. Le problème est que je ne m'en rappelle quasiment plus, mais j'étais déjà persuadé à l'époque que Balaruc faisait référence à Balladur (la Wikipédia confirme qu'à l'époque, il était relativement inconnu, donc autant pour moi). Et je me rappelle que le coup de l'éditeur mentionné dans tous les sens (couverture et quatrième de couverture, et peut-être même sur la tranche) m'avait fait marrer. Sacré effet madeleine de Proust, je me rappelle avec une précision dingue le coin bibliothèque de la toute petite école communale... nostalgie, nostalgie
Je n'ai plus aucun souvenir du bouquin, mais le 122 ne m'apparaît pas si incohérent, du moins de la façon dont tu le décris : si le lecteur a tous les indices qui lui permettent d'accuser X en main, alors la coupure en fin de paragraphe est parfaitement justifiée, puisque le lecteur sait déjà pertinemment que X est l'assassin. Du moins est-ce ainsi que je le vois... Par contre, le coup du magnéto est effectivement abusé.
En tout cas, j'apprécie le côté « fin ouverte », ça change des soit tu gagnes, soit tu meurs de la plupart des LDVH.
Je dois avoir Ton nom de code est Jonas qui traîne dans un coin, tu m'as donné envie de le relire, tiens.
Je n'ai plus aucun souvenir du bouquin, mais le 122 ne m'apparaît pas si incohérent, du moins de la façon dont tu le décris : si le lecteur a tous les indices qui lui permettent d'accuser X en main, alors la coupure en fin de paragraphe est parfaitement justifiée, puisque le lecteur sait déjà pertinemment que X est l'assassin. Du moins est-ce ainsi que je le vois... Par contre, le coup du magnéto est effectivement abusé.
En tout cas, j'apprécie le côté « fin ouverte », ça change des soit tu gagnes, soit tu meurs de la plupart des LDVH.
Je dois avoir Ton nom de code est Jonas qui traîne dans un coin, tu m'as donné envie de le relire, tiens.