01/08/2009, 21:03
Pour ma part je trouve que La Forteresse du Cauchemar est très tendancieux. Les guerriers du sud, par leur accoutrement, leur origine (désert) et leurs coûtumes qu'on devine barbares, surtout vis à vis des étrangers (paragraphe où on se retrouve prisonnier à Zagoula), sont de très douteuses caricatures. Il est fait allusion à "ces chiens du Sud", et même si je ne me trompe "cette racaille qui infeste le chateau" le tout prononcé par le gardien du temple (sans jeu de mots!) d'Oyden, personnage le plus vénérable du livre et rempli de "sagesse".
Pas un seul ennemi n'est un tant soit peu "gentil". Non, tous sont à mettre dans le même sac, avec leur chef qui est la cruauté incarnée.
Pas très reluisant donc...pour ce livre!
Après on peut faire dire tout ce qu'on veut aux LDVELH. Mais avec un seul extrait on ne peut pas généraliser à l'ensemble.
Par contre il me semble que la plupart de ces livres "punissent" les mauvaises actions (me vient en tête: si on décide de trahir Throm dans le Labyrinthe de la Mort, si on attaque sans raison Yaztromo, si on lance une pierre de malédiction à la sorcière des oiseaux dans le Marais aux scorpions, etc.). On pourrait multiplier les exemples : je pense donc qu'on peut dire que les LDVELH ne font pas du tout l'apologie d'une violence pernicieuse, bien au contraire.
Pas un seul ennemi n'est un tant soit peu "gentil". Non, tous sont à mettre dans le même sac, avec leur chef qui est la cruauté incarnée.
Pas très reluisant donc...pour ce livre!
Après on peut faire dire tout ce qu'on veut aux LDVELH. Mais avec un seul extrait on ne peut pas généraliser à l'ensemble.
Par contre il me semble que la plupart de ces livres "punissent" les mauvaises actions (me vient en tête: si on décide de trahir Throm dans le Labyrinthe de la Mort, si on attaque sans raison Yaztromo, si on lance une pierre de malédiction à la sorcière des oiseaux dans le Marais aux scorpions, etc.). On pourrait multiplier les exemples : je pense donc qu'on peut dire que les LDVELH ne font pas du tout l'apologie d'une violence pernicieuse, bien au contraire.