En dehors de nos premières retrouvailles avec notre femme enlevée et du final, je n'ai gardé quasiment pas de souvenirs de ce tome. Je pense que je devais être arrivé au même point que Fitz, ayant fait les deux derniers tomes d'affilé : je ne supportais plus les pseudo-labyrinthes, les combats injouables que je ne jouais de toute façon plus, la linéarité démentielle de l'ensemble. Et les Maîtres du Mal du titre sont affreusement sous-exploités, et apparaissent plus ou moins gratuitement, avant d'être combattu dans un simple affrontement de jets de dés classique et sans gloire.
Je pense que Loup*Ardent est plus un roman d'héroïc-fantasy mal déguisé en LVH qu'autre chose. Et cet aspect jeu mal maîtrisé sous forme de faux choix et de cul-de-sac a malheureusement tendance à plomber le récit. Une déception.
Je pense que Loup*Ardent est plus un roman d'héroïc-fantasy mal déguisé en LVH qu'autre chose. Et cet aspect jeu mal maîtrisé sous forme de faux choix et de cul-de-sac a malheureusement tendance à plomber le récit. Une déception.