Je radote, mais je vouerai toujours une tendresse particulière à ce bouquin, qui a été mon premier Loup* Ardent et, me semble-t-il, l'un de mes premiers Brennan : c'était la première fois que je voyais un auteur jouer comme ça avec les règles du genre, avec ses adresses piquantes au lecteur, son système de règles (qui m'a fasciné jusqu'au premier combat), la scène grandiose, évoquée par Fitz, où Loup* Ardent peut utiliser toute sa batterie de sorts pour essayer de se sortir d'un péril : la lecture des PFA afférents me fait encore rire.
Mais bon, y a aussi les labyrinthes souterrains qui occupent toute la deuxième moitié du livre et forment le paroxysme de ce qui s'est fait de plus ennuyeux dans les LDVH. Ça n'altère pas vraiment le regard nostalgique que je jette sur ce livre, mais si je le découvrais aujourd'hui, je serais sans doute très déçu.
Mais bon, y a aussi les labyrinthes souterrains qui occupent toute la deuxième moitié du livre et forment le paroxysme de ce qui s'est fait de plus ennuyeux dans les LDVH. Ça n'altère pas vraiment le regard nostalgique que je jette sur ce livre, mais si je le découvrais aujourd'hui, je serais sans doute très déçu.