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Yay ! Merci pour le résumé !
Bon il reste encore beaucoup à rattraper, mais c'est toujours aussi sympathique ^^
Je commence à me dire que la porte de la caserne aurait dû ouvrir vers l'intérieur. Les portes intérieures s'ouvrent généralement vers l'extérieur (toujours dans le sens de l'évacuation, en cas d'incendie), mais pour une porte d'entrée, surtout d'un bâtiment militaire, ça aurait plus de sens qu'une porte s'ouvre vers l'intérieur. C'est plus facile à barricader contre des envahisseurs (un meuble contre une porte qui s'ouvre vers l'extérieur, ça bloque rien du tout), et pour pas se faire enfermer par un ennemi qui tenterait de vous enfumer, aussi...
Je commence aussi à me demander si Aurel n'est pas vraiment un voyageur dans le temps. Ça expliquerait le nombre de jeux de mots et de référence qu'il fait à des concepts modernes. Un peu comme le Génie d'Aladdin (de Disney).
Mr. Shadow
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(15/01/2022, 20:38)Lyzi Shadow a écrit : Je commence aussi à me demander si Aurel n'est pas vraiment un voyageur dans le temps. Ça expliquerait le nombre de jeux de mots et de référence qu'il fait à des concepts modernes. Un peu comme le Génie d'Aladdin (de Disney).
Meuh non, c’est juste que les hobbits sont beaucoup plus avancés que les autres races.
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Toujours aucune trace du druide. Je commence à me demander si on n’est pas venus là pour rien, moi.
Le repos m’a bien requinqué, en tout cas. Heureusement, étant donné ce qui nous est tombé dessus juste après… Littéralement, dans le cas de Goth. Alors qu’on explorait le bâtiment suivant — un ancien atelier —, une énorme masse s’est écroulée sur la tête du guerrier, et ce n’était pas le plafond. Ou alors il avait huit pattes et autant d’yeux, ce qui est, vous en conviendrez, bien singulier pour un plafond. D’autant plus que celui-là a mordu Goth. Deux fois.
Ce n’est qu’au moment où notre compagnon est tombé qu’on a commencé à reprendre nos esprits. Moi en dernier. Je sais pas ce qui cloche ici, mais je n’ai jamais autant fumbled (un mot hobbit intraduisible) que depuis que j’ai mis les pieds à Thundertree (enfin ce qu’il en reste). Wulf a décoché une flèche qui n’a pas transpercé la chitine de l’araignée pendant que Fargrim lançait un sort de guérison sur le pauvre Goth, dont l’organisme luttait visiblement contre le poison. Pendant ce temps, enfin remis de ma surprise, je me suis précipité pour faire le tour du bâtiment et escalader en vitesse un pan de mur, manquant de me casser la margoulette mais me rattrapant in extremis… Heureusement que je peux toujours compter sur ma chance pour rattraper mes maladresses. Un truc de Hobbit.
Une fois sur le toit, je me suis faufilé par un trou pour sauter droit sur le dos de la bestiole et faire gicler son sang en plantant ma lame dans son thorax. Ha ! ha !
Bizarrement, elle a tourné sa tête vers moi à ce moment-là. J’ai bien tenté un : « Euh… amis ? » mais elle m’a quand même mordu, la malapprise. Aïe. Heureusement, son poison ne m’a pas atteint, peut-être parce que Goth avait déjà tout épongé. Wulf a alors tiré coup sur coup deux flèches avec sa frénésie coutumière… mais il était peut-être un poil trop frénétique car il les a toutes les deux ratées… Alors Goth, réanimé par le sort du prêtre, a profité de ce que l’araignée lui tournait le dos grâce à moi pour se relever et imiter l’ardeur de son collègue en tapant avec sa hache… et en manquant son coup malgré l’énorme avantage que lui prodiguait sa position… J’avoue, à ce moment-là, je me suis demandé s’ils avaient vraiment bien choisi leur vocation, ces deux-là.
Heureusement que Fargrim était là pour réhausser un peu l’efficacité du groupe. Pendant que Goth se plaçait dans une posture défensive tout en reprenant son souffle, le nain a lancé une flamme en criant : « Meurs par ma flamme sacrée ! » Touchée de plein fouet, l’araignée a éructé un son ignoble, et je lui ai alors bravement porté un nouveau coup en visant ce que je supposais être ses parties vitales. Mon épée s’est profondément enfoncée dans son organisme, et le monstre arachnéen s’est effondré !
Le calme revenu, on a constaté qu’on gros cocon de taille humaine se trouvait dans la pièce. J’ai eu tôt fait de le découper, découvrant un corps tout fripé, vidé de son sang. Apparemment un elfe. Il portait une armure de cuir, un fourreau à sa ceinture protégeait une épée courte ordinaire, mais ce qui m’intéressait particulièrement était la bourse qui pendait à son côté… Dedans : vingt-trois pièces d’or et trente-cinq pièces d’argent, ainsi qu’une fiole de liquide rouge. Une potion de soins ! inutile de dire qu’elle tombait à pic. Je l’ai aussitôt donnée à Goth, puis j’ai partagé le butin du malheureux aventurier (paix à son âme) avec mes compagnons.
On se repose une nouvelle fois avant de repartir à la recherche de ce fichu druide. On est restés dans la même pièce, celle d’à-côté étant pleine de toiles d’araignées. Ce serait bien s’il ne nous arrivait rien de fâcheux pour une f
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Quel suspense !
(Je me demande si Loi-Kymar nous lit toujours... ?)
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Oui, oui !
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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12/02/2022, 16:35
(Modification du message : 19/02/2022, 20:52 par Jehan.)
Cent millions de charretées de wagonnets de bouses de mules crevées !!!
Ahem. Pardon, je m’égare… mais je jure que si on ne trouve pas le druide dans l’heure qui vient, je crame le village, sa statue, la forêt, et tant pis pour les rêves de gloire de Wulfwig !
Non mais sérieusement, je n’avais même pas fini d’écrire la dernière entrée de mon journal : voilà pas qu’une DEUXIÈME. PUTAIN. D’ARAIGNÉE GÉANTE nous tombe ENCORE sur le râble !!
Elle devait se tapir dans la pièce d’à-côté car elle en a surgi sans même avoir la politesse de frapper à la porte (en même temps, y avait plus de porte), nous blousant comme des bleus. Wulf et moi avons à peine eu le temps de nous relever avant qu’elle n’attaque, Goth et Fargrim restant tétanisés sous l’effet de la surprise. L’archer s’est aussitôt retrouvé empêtré dans une toile crachée par la nouvelle arrivante. J’ai accouru pour essayer de l’en libérer, mais même à deux, nos efforts n’ont pas suffi, et l’abomination a mordu le pauvre Wulfwig. Goth, remis de sa stupeur, a tracé dans un coin de la pièce en essayant courageusement d’attirer l’attention de l’araignée, malgré son état, réussissant à la détourner de notre camarade entravé. Fargrim, reprenant lui aussi enfin ses esprits, a alors lancé ses flammes sur le monstre, qui a pris quelques dégâts mineurs.
Laissant Wulfwig provisoirement hors de danger immédiat, j’ai décidé de refaire à la bestiole le coup que j’avais fait à sa collègue, en escaladant le mur tout en la contournant pour lui sauter sur le dos sans qu’elle me voie, Goth étant toujours aux prises avec elle. Son armure, heureusement, le protégeait des mandibules, mais le poison qui l’affaiblissait toujours rendait ses mouvements maladroits, et il n’est pas non plus parvenu à la toucher, imité en cela par Fargrim, dont le sort de flammes a manqué sa cible. Heureusement, vu que j’étais sur ladite cible… (Bon, en fait, m’a dit le prêtre après la bataille, comme c’était du feu sacré, ça ne m’aurait pas touché. J’ai pas tout compris, mais j’étais quand même content de le savoir.)
J’ai sorti Arguy et je l’ai sauvagement plantée dans le dos du monstre, le blessant et faisant gicler un flot de sang puant et collant. L’araignée a tenté de me mordre en retour mais n’y est pas arrivée, gênée par ma position. Wulf, parvenant à se dépêtrer de sa camisole de soie, a porté un coup de taille qui lui a tranché deux pattes, et Goth l’a alors achevée d’un coup de hache rageur qui s’est enfoncé entre ses huit yeux…
L’araignée s’est écroulée, et moi avec. Aïe. Je me suis relevé un peu endolori, mais rien de sérieux. Fargrim et moi, les moins blessés du groupe, avons entrepris de fouiller la seconde pièce pour nous assurer qu’il n’y avait pas une troisième de ces saloperies prête à jaillir en faisant : « Coucou ! » La zone étant sûre, Wulfwig nous a rejoints puis il a allumé sa torche afin de mettre le feu à la toile qui pendait de partout. Elle s’est embrasée instantanément. J’ai regardé le feu tout consumer sans bouger, un sourire sadique aux lèvres et les yeux reflétant des rêves d’incendie à grande échelle…
Nous sommes retournés dans la caserne que nous avions visitée à notre entrée dans le village afin de se reposer encore une heure dans un endroit « sûr ». On reprendra l’exploration après, mais si on retombe sur une araignée, je la tue et je l’emmène jusqu’à un nécromant — fût-il à mille lieues — afin qu’il la réanime encore et encore juste pour le plaisir de la retuer en boucle…
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L'araignée... l'araignée... est un être bien singulier
Prends gaaaaarde, car l'araignée est lààààà...
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Pas fâché de laisser Thundertree derrière nous… Wulfwig a promis de lui rendre un jour sa gloire d’antan, j’espère qu’il commencera par y exterminer toutes les araignées.
On a — enfin ! — fini par dénicher le druide. Il ne restait plus grand-chose à explorer, il faut dire. Après avoir fait le tour d’une ferme abandonnée sans rien y trouver, je me suis approché d’un autre bâtiment qui paraissait en meilleur état : une petite maison dont les fenêtres étaient protégées par d’épais volets. En collant mon oreille contre la porte, qui avait été renforcée, j’ai pu entendre le crépitement d’un feu. J’ai fait signe à mes camarades de venir, et Goth a alors frappé. (À la porte (non, pas à coups de hache).)
« Qui est-ce ?
— Nous sommes de Phandalin. Nous cherchons le druide Reidoth.
— Qu’est-ce que vous lui voulez ?
— Nous avons besoin de ses connaissances, nous sommes à la recherche de personnes disparues.
— Vous êtes à la recherche de quelqu’un qui a disparu ?
— Oui. »
La porte s’est alors ouverte, et le druide nous est apparu : un vieux bonhomme à la barbe presque aussi longue que sa robe de couleur ocre, chaussé de sandales et tenant un bâton noueux orné de colifichets que j’étais bien en peine d’identifier. Son œil était interrogateur.
« Disparu en venant ici ? À Thundertree ? »
Reidoth nous a invité à rentrer à l’intérieur. Un petit feu brûlait au centre d’un irrégulier cercle de pierres destiné à éviter qu’il ne se propage. Des branches entremêlées formaient une chaise. Le druide a lancé un sort, et les plantes dans la pièce se sont mises à façonner d’autres chaises. C’est pratique, ça ! On aurait dû l’engager pour s’occuper du campement, tiens.
La discussion a repris pendant que je sortais de mon barda de quoi faire du thé. Reidoth nous a indiqué qu’il était l’auteur de l’avertissement qu’on avait superbement ignoré à l’entrée du village. Je lui ai passé le bonjour de tante Qelline, puis Goth s’est lancé dans le récit de nos aventures, de l’enlèvement de Gundren jusqu’à notre venue à Thundertree en passant par toutes les péripéties vécues à la recherche de Cragmaw Castle. C’était épique. S’il se lasse un jour du métier de ramasseur de marrons, il pourra toujours se reconvertir en barde.
Le druide savait bel et bien où se trouvait le château ! Ces deux semaines à se farcir peaux-vertes, manteaux rouges et tout le bestiaire à plumes et à poils du rebut de la création portaient enfin leurs fruits. Reidoth s’est attardé sur sa présence à Thundertree et son rôle de gardien de l’équilibre entre la nature et la civilisation, sous le patronage de l’Enclave d’émeraude. Il nous a aussi longuement parlé du dragon du coin… Un jeune de son espèce, ne s’étant établi au sommet de la colline que depuis peu. Les sectateurs que nous avions croisés plus tôt en étaient apparemment des adorateurs. Notre nouvel ami était inquiet de sa présence, redoutant qu’elle ne rende la nature agressive. (Ah ! parce qu’elle n’est pas déjà agressive ?!)
Il aurait été ravi qu’un groupe tel que le nôtre chasse ou tue le draconique squatteur de tour, mais nous sommes visiblement encore un peu tendres pour la tâche malgré nos récents exploits, du coup il ne nous a pas demandé de nous en charger, ce qui m’arrangeait bien, on va pas se mentir. Il nous a toutefois fait savoir qui si, une fois devenus plus expérimentés et plus forts, nous entreprenions de nous occuper du dragon, il nous indiquerait en récompense l’emplacement d’un lieu secret…
« Ce serait pas l’Écho-des-Vagues, par hasard ? » ai-je demandé.
« Vous avez de la suite dans les idées… » m’a-t-il répondu.
On a continué à causer un peu — j’étais content d’apprendre que les ours-hiboux, en tant que monstruosités, n’était pas considérés par l’Enclave d’émeraude (voilà un ordre intelligent) — avant qu’il n’en vienne enfin au but de notre visite en nous révélant l’emplacement du fameux château. Érigé par un magicien noble de l’antique Forlorn, il serait constitué de sept tours se chevauchant, et l’endroit que notre hôte pointait sur la carte était à peu près à mi-chemin de Thundertree et de Phandalin, à quelques jours de marche dans les deux sens.
Décision fut prise de prévenir Anarondo de nous rejoindre à l’orée sud de la forêt, car Reidoth avait la possibilité de lui envoyer un oiseau capable de transmettre un message vocal limité à vingt-cinq mots, max. Brave volatile ! Je l’ai baptisé Twitter, mais je ne sais pas pourquoi.
Le message fut rédigé en ces termes : « Château trouvé. Rendez-vous à l’aube du deuxdi là où la route de Phandalin croise la piste des Trois-Sangliers. Aurel, Wulfwig, Goth. »
Nous avons pris congé de notre hôte après ça, Goth le saluant pompeusement et Wulf annonçant qu’il reviendrait… C’était le moment de régler la solde de Fargrim, chacun a donc déboursé deux pièces d’or en paiement de ses bons et loyaux services. À notre grande joie, notre ami nain nous a déclaré qu’il restait avec nous, mais en tant que compagnon et non plus mercenaire, afin de nous aider à libérer son congénère.
Avant de partir, le druide nous a offert des baies et des fruits des bois pour le voyage, ce qui n’était pas de refus, car on va bientôt arriver à court de provisions. La fin de la journée s’est déroulée sans histoires ni mauvaises rencontres. Le campement est monté, chacun vaque à ses occupations. Il doit nous rester deux jours de marche, je dirais.
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14/02/2022, 22:21
(Modification du message : 14/02/2022, 22:21 par Lyzi Shadow.)
Malheureusement, aucun jeu de mot de trouvé entre le druide et "Chili Peppers"...
Et en effet, les grosses bêtes magiques, dont les dragons, ont tendance à changer la nature autour d'eux à leur image.
Alors déjà que dans un monde fantastique, la nature... euh... "au naturel"..., ça peut être déjà brutal...
ECT, merci pour le résumé
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(14/02/2022, 22:21)Lyzi Shadow a écrit : Malheureusement, aucun jeu de mot de trouvé entre le druide et "Chili Peppers"...
C’est pas faute d’avoir cherché à le placer !
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Quand il s'est énervé, il aurait fallu lui dire "eh... chill ! pépé..."
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(Modification du message : 15/02/2022, 09:36 par tholdur.)
C'est un druide, il pratique donc la chimie en toute tranquilité et en a hérité d'un sobriquet bien connu de tous:
Nous cherchons le druide Reidoth "Chimie pépère".
A noter que, si jamais il s’associait avec d'autres personnes - dont l'éminent Philippe - il pourrait prendre une résidence plus grande et clouer au-dessus de la porte une pancarte indiquant: "Reidoth, Philippe et pairs". Peut-être s'il se reconverti dans une autre profession que druide?
Et si jamais vous l'aviez dérangé en pleine lecture confortablement installé dans son fauteuil, et qu'il avait un assistant, ce dernier aurait pu vous réprimander en vous demandant de vous taire:
-Reidoth?
-Chhh! Y lit pépère!
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S'y lient paix et peur.
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Pierre n’étant pas encore arrivé, je tue le temps en écrivant un peu. Le voyage s’est déroulé sans histoires, ce qui nous change un peu. On s’est juste pris une grosse averse avant-hier. De temps à autre on apercevait un peu d’activité au loin, mais aucune rencontre sur la route.
On est arrivés au croisement hier. Comme on avait bouffé toutes nos rations, il a fallu aller gagner notre pitance à l’ancienne. Chacun est parti fourrager de son côté à l’exception de Fargrim, qui gardait le campement. Wulfwig nous a déniché un sanglier rôti dans son jus et ses épices, Goth est revenu avec une brouette de légumes, fruits de saison et patates dorées au four, et j’ai ramené une pièce montée pour le dessert.
Quoi, j’exagère ? Bon, d’accord, peut-être un peu, mais honnêtement, à peine… Sans déconner, la probabilité que la nature soit — pour une fois — aussi généreuse était juste invraisemblable. Pour vous donner une idée, représentez-vous trois dés, mais à vingt faces au lieu de six. Oui, je sais, c’est n’importe quoi, mais faites un effort d’imagination. Eh bien, ce doit être à peu près comme si chacun des trois dés avait fait vingt ; une chance sur huit-mille, à une vache près (j’ai été mathématicien (et éleveur de bovins)).
L’aube s’est levée depuis plus de deux heures, et une silhouette se découpe à l’horizon… Anarondo ?
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