Recrutement pour un Diplomacy
#31
Ah, c'est toujours l'Allemagne qui trinque...
On lui fait payer les tributs les plus lourds, et tout et tout.
On se doute qui se vengera pendant la prochaine guerre !
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi
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#32
Résultats tour 7

L'Espagne voit cette fois la France prendre possession de Marseille. Mais ce nouvel affront est dissipé par sa victoire dans la bataille navale pour la maîtrise de l'Océan Atlantique. Les flottes ibères font désormais peser un risque réel sur les côtes françaises.

L'Angleterre subit un revers naval face à l'alliance luxembourgo-norvégienne en perdant le contrôle de la mer du Nord. Avec deux flottes de la Duchesse menaçant sa capitale, le major Hurley est désormais en délicate position même s'il parvient à résister à terre aux attaques du roi de Norvège qui cherche à récupérer l'intégralité de son territoire.

Un pacte de non-agression a peut-être été signé entre le Luxembourg et ses voisins russe et austro-hongrois puisque ses armées terrestres prennent le parti étonnant de faire route vers l'ouest après des années de stabilité sur le front allemand. Ces mouvements semblent indiquer une réelle volonté de porter la guerre dans les îles britanniques.

La Russie a désormais un nouvel ennemi avec l'Autriche-Hongrie en essayant vainement de prendre à son compte Munich tout en réussissant à pénétrer ses frontières.

Quant à la Turquie, elle poursuit sa campagne victorieuse de conquêtes en s'emparant cette fois de la Bulgarie : les 3/4 des Balkans sont désormais en sa possession. Difficile de se souvenir que ces deux nations étaient alliées!

Après s'être allié avec le tsar pour le prise de Sébastopol, l'Aigle des Balkans tend cette fois la main à l'Italie pour l'aider à capturer Trieste. Une surprenante entente italo-russo-balkanique semble être née sur les ruines fumantes de Bucarest, Sofia et Athènes...

L'Autriche-Hongrie se trouve de fait dans une situation bien compliquée si ces trois nations se sont déclarées ses ennemis. L'empereur se trouve géographiquement bien plus exposé à leurs attaques que le sultan ottoman et a déjà perdu le bénéfice de ses audacieuses victoires des années passées.




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#33
Résultats après tour 8.

Sukumvit en force Tongue


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#34
L'Espagne subit de plein fouet l'assaut maritime surprise du Luxembourg qui parvient à lui ravir le Portugal sans véritable résistance. Elle ne profite ainsi pas de la capture de Paris, devant à présent défendre ses arrières. Et ce n'est pas l'arrivé de la flotte italienne en Méditerranée occidentale qui va arranger ses affaires...

La France, bien qu'aidée par son nouvel allié luxembourgeois, ne peut pas récupérer sa capitale et ne survit qu'en Bretagne.

L'Angleterre connait une nouvelle défaite navale dans la mer du Nord. Ses deux ennemis contrôlent désormais la voie des océans et menacent directement ses rivages. la situation est plus tendue que jamais.

A fortiori, la Norvège renforce sa position même si ses armées ne sont pas encore déployées vers l'extérieur mais plutôt idéalement placées pour pérenniser la défense de son territoire.

Le Luxembourg se fait donc un nouvel ennemi en capturant l'arsenal du Portugal mais réussit par là-même une jolie manoeuvre. Par ailleurs, si le Grand Duché est en conflit également avec la Russie, il semble avoir passé un accord de non-agression avec l'empire austro-hongrois au vu des mouvements pacifiques de ces deux nations.

la Russie choisit une stratégie purement défensive, entourée qu'elle est par tant d'autres pays guère amicaux.

La Turquie se débarrasse définitivement des Balkans et annexe sans coup férir à la fois Sébastopol et la Roumanie. Le sultan fait savoir aux autres nations qu'il désire être proclamé sur-le-champ Grand Maître de l'Europe par les autres dirigeants devant Dieu à la basilique de Constantinople. Sinon, il promet de faire subir à toutes les autres cités le sort terrible de Sébastopol : pillages, viols, incendies et profanations illimités. Mais il reçoit une fin de non-recevoir. Pour l'instant...

L'Autriche-Hongrie fait replier ses troupes vers le sud, sans doute pour lutter de pied à pied contre l'Italie et la puissante Turquie.

Etonnamment, l'Italie semble abandonner ses velléités contre son voisin austro-hongrois en s'assurant une défense terrestre de la péninsule. Difficile de prévoir par ailleurs les intentions de la flotte envoyée en Méditerranée occidentale.


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#35
L'Espagne a désormais un nouvel ennemi en la personne de l'Italie qui s'est alliée avec le Luxembourg pour la terrasser! Mais elle résiste vaillamment en défendant avec succès son territoire et en empêchant le Grand Duché d'amener des renforts sur le sol français.

L'Angleterre perd sa capitale face à l'alliance luxembourgo-norvégienne. et décide en parallèle de rapatrier sa flotte nordique, sans doute pour mieux défendre son île.

Le Luxembourg s'est donc fait un nouvel allié et s'occupe surtout à soutenir ses voisins préférés. Une guerre de tranchées s'est établie entre Berlin et Kiel.

La Norvège remporte une victoire décisive grace à la duchesse en capturant Londres. Rien ne semble menacer son ascension, le royaume scandinave est en train de remporter son bras de fer face aux troupes du major Hurley.

La Russie poursuit sa stratégie défensive. On attend les premiers mouvements initiés par le Kaiser promu général des armées slaves.

La Turquie déploie ses troupes de manière à menacer plus efficacement l'Autriche-Hongrie qui se trouve en infériorité numérique face à ce puissant adversaire. L'empereur saura-t-il déjouer l'offensive imminente du sultan?

L'Italie tente une attaque sur l'Espagne avec l'aide de la marine luxembourgeoise mais ne parvient pas à faire débarquer ses troupes sur les côtes ibériques.


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#36
Désormais prise entre la France, l'Italie et le Luxembourg, l'Espagne résiste vaillamment en parvenant à empêcher la prise de sa capitale par les armées italiennes malgré le soutien luxembourgeois.

Toujours isolée en Bretagne, la France participe néanmoins activement à cette guerre en aidant son allié luxembourgeois à occuper l'Atlantique moyen, ô combien stratégique.

L'Angleterre ne parvient pas à se défaire de l'étau scandinave. Une nouvelle défaite navale la voit céder une fois de plus le contrôle de la mer du Nord à la Norvège qui progresse dans ses conquêtes tout en aidant la duchesse à ravir enfin Berlin au tsar.

Le Luxembourg gagne donc sur ses fronts espagnol et russe d'autant plus que ses armées investissent un peu plus le sol français afin de faire céder les troupes espagnoles qui s'y trouvent.

la Russie perd donc gros avec la chûte de Berlin mais remporte une jolie victoire, presque surprenante, face au puissantissime sultan de Turquie en repoussant les armées ennemies au sud de son territoire.

Mais cet échec ne fera que légèrement ébranler la réussite ottomane puisque la Turquie parvient à percer le rempart austro-hongrois en faisant tomber Budapest. Le sultan va-t-il poursuivre victorieusement ses conquêtes ou la guerre s'enlisera-t-elle dans les tranchées?

L'Autriche-Hongrie a donc cédé sur un flanc mais la lutte n'est pas terminée pour autant...

L'Italie quant à elle semble décidée à participer à la curée contre l'Espagne comme en témoignent ses mouvements terrestres. Malheureusement pour elle, sa flotte butte toujours aux portes des côtes ibériques. Et voici que la marine turque pointe le bout de son nez en mer Ionienne...


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#37
J'ai la claire impression, que bien que seul contre tous, le sultan va gagner. C'est quoi déjà le nombre d'arsenaux à atteindre ?
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#38
11 arsenaux
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#39
L'Espagne voit le Luxembourg lui conquérir en une seule saison Paris et Madrid. Mais sa vengeance sera de s'être alliée avec l'énergie du désespoir à la Turquie et de permettre à cette dernière de capturer la Tunisie.

L'Angleterre parvient à reprendre le contrôle de l'espace maritime la séparant de son ennemi norvégien, peut-être de bon augure pour la saison à venir.

Le Luxembourg s'impose comme le maître en Europe occidentale en s'emparant de deux villes espagnoles tout en se défendant efficacement contre un assaut de l'empire austro-hongrois.

La Russie déploie se armées vers le nord, probablement dans l'espoir de reconquérir St-Pétersbourg.

L'Autriche-Hongrie maintient ses positions sans parvenir à trouver des renforts dans sa difficile lutte contre la Turquie, cette dernière déployant lentement ses troupes dans l'optique de nouvelles conquêtes. Mais c'est cette fois sa marine qui s'illustre en ravissant la Tunisie à l'Italie grâce au soutien inattendu de son nouvel allié français.


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#40
Pour éviter de nouveaux massacres des populations innocentes, les dirigeants européens consentent la mort dans l'âme à reconnaître Le Sultan de Turquie comme le maître absolu et incontesté de la nouvelle confédération des pays européens, née dans la cendre et la souffrance.

Bravo à Sukumvit qui a brillamment remporté la partie avec 11 arsenaux!


Dans le détail, on peut faire un petit bilan.

L'Espagne de Jehan s'est essoufflée dans une guerre sans merci contre son voisin français. Elle a peu à peu pris l'ascendant mais sa puissance n'était alors pas assez grande pour résister à l'assaut conjoint du Luxembourg et de l'Italie. Elle termine avec un arsenal.

La France a donc aussi souffert de ce conflit. Mais dans une position délicate avec ses voisins du nord qui ne lui garantissaient aucune sécurité, elle n'a pas pu à la fois résister aux armées ibères et se protéger d'un éventuel assaut anglais. Elle s'est alliée en désespoir de cause avec le Grand Duché qui l'a absorbée en toute fin de partie. Elle termine donc annihilée de la carte.

L'Angleterre a hésité entre ses trois voisins avant de finalement porter son assaut sur les terres scandinaves. Avec une certaine réussite dans un premier temps mais face à l'alliance luxembourgo-norvégienne, il était difficile de lutter. Il aurait fallu le soutien efficace d'une autre nation mais l'Allemagne était moribonde quand elle lui a proposé son aide. Finalement, elle a peu à peu perdu pied face aux armées de Norvège. Elle termine avec deux arsenaux.

Le Luxembourg de Alendir a pleinement profité de sa ruse initiale contre l'Allemagne en lui ravissant rapidement un arsenal. Son alliance durable avec la Norvège a profité à ces deux pays mais le Grand Duché a peut-être péché par excès de prudence en renforçant uniquement ses positions pendant deux années avant de s'étendre enfin en direction des terres plus méridionales, conquétant ainsi des villes espagnoles et françaises. Il fut le concurrent le plus sérieux du sultan puisqu'il termine avec neuf arsenaux.

L'Allemagne à l'inverse a succombé à la traîtrise immédiate de son voisin et ne s'en est jamais remise malgré une tentative d'alliance ave l'Angleterre et la Russie. Déterminée à vendre chèrement sa peau, elle n'a pu cependant résister à ses deux voisins si proches et si déterminés à la réduire à néant. Elle termine donc annihilée de la carte.

La Norvège s'est révélée un allié fidèle de la duchesse tout au long de la partie et en a retiré des bénéfices certains, même si elle n'a pu véritablement approcher de la victoire finale. Après quelques saisons de lutte, elle est parvenue à dominer son voisin russe en lui capturant St-Pétersbourg puis a pris l'ascendant sur le major Hurley. Elle termine avec cinq arsenaux.

La Russie a souffert d'un isolement certain face à trois voisins combatifs : la Turquie, les Balkans et la Norvège. Sans allié, impossible de bien se défendre. Mais la menace anglaise sur la Norvège puis la dissension entre les Balkans et la Turquie lui ont offert un répit inespéré. Elle termine avec deux arsenaux.

La Turquie de Sukumvit a acquis sa victoire d'abord en concluant un pacte avec les Balkans, alliance lui permettant de n'avoir aucun ennemi à ses portes et de s'assurer une victoire à Sébastopol. Ensuite, profitant de la guerre entre l'Autriche-Hongrie et les Balkans, elle a poignardé dans le dos son allié et ainsi empoché sans coup férir plusieurs arsenaux peu défendus. Sans coalition pour l'arrêter, elle a pu étendre rapidement son empire. Quand certains ont enfin voulu l'arrêter, il était déjà trop tard. Elle termine donc victorieuse avec onze arsenaux.

Les Balkans ont négocié une alliance avec la Turquie pour mieux briser la Russie. Mais ce fut l'empire austro-hongrois qui s'avéra finalement le plus dangereux et, exposés en première ligne, les Balkans ont été affaibli par cette guerre. Un affaiblissement dont a profité le Sultan pour le trahir. Coincés entre le marteau et l'enclume, ils ne pouvaient que subir des défaites. Ils terminent donc annihilés de la carte.

L'Autriche-Hongrie n'a jamais fomenté d'alliance et pourtant a réussi un bon départ en remportant des batailles tactiques. Elle s'est vite retrouvée à la tête d'une grande armée mais sa position centrale et sans soutien l'a retrouvée sujette aux attaques de tous ses voisins. Les possibilités de nouvelles conquêtes s'en sont retrouvées réduites puis est arrivée l'immense armée ottomane aux portes de Vienne... Elle termine avec deux arsenaux.

L'Italie a également connu peu d'alliés et a surtout adopté une stratégie prudente. Quelques escarmouches contre l'Autriche-Hongrie qui auraient pu s'avérer plus probantes si l'allié balkanique (sur le tard) n'avait pas perdu sa puissance. Elle s'est alors tournée vers l'Espagne en comptant sur l'aide du Luxembourg avec là aussi des résultats mitigés. Une partie finalement assez calme puisque aucune nation n'a cherché à envahir son territoire. Elle termine avec trois arsenaux.


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#41
Hehe, on a géré chacun de notre côté avec sukumvit ^^
Concernant ma position défensive du départ, le problème était que l'Allemand s'était lancé dans des attaques suicides à mon encontre, en dénudant ses territoires pour m'envoyer ses troupes (c'est rancunier un allemand). Enfin peut-être que j'ai été trop prudent, me souviens plus trop, ça remonte à deux mois cette affaire Mrgreen

Je tiens quand même à dire que Jehan avait théoriquement tout pour faire prospérer l'Espagne, que ce soit en terme de sens tactique ou de diplomatie (certains joueurs n'étaient pas top dans leurs missives, entre le français déprimé et l'italien qui parlait comme un livreur de pizza...). Mais il est resté empêtré trop longtemps avec la France (ce qui me convenait tout à fait d'ailleurs, je voulais que rien ne bouge à l'Ouest), et soumis aux dures lois de la real politic, j'ai attaqué le pays des tapas sans ménagement quand l'heure fut venue Twisted

Sinon, merci à Fitz pour avoir organisé cette partie, et pour ses commentaires de fin de tour, très appréciables. Wink
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#42
J’ai surtout eu le gros problème de n’avoir eu aucun allié au cours de cette partie. Pour être franc, je pensais sortir parmi les premiers. J’ai l’impression que l’Espagne est une nation difficile à jouer dans cette version à cause de la flotte tunisienne très isolée et de la flotte portugaise qui ne peut quasiment pas se déployer en Atlantique si le français l’en empêche. Je m’attendais à une alliance entre la France et l’Italie contre moi dès le début, j’ai eu de la chance que ça ne se soit pas produit.

J’ai aussi eu beaucoup de chance d’amener la dite-flotte tunisienne à Marseille avant de perdre mon arsenal tunisien. J’avais tenté un pacte de non-agression avec l’Italie et les Balkans mais je ne me faisais guère d’illusions… Et, heureusement pour moi, la France a commis une grosse erreur qui m’a permis de lui capturer son arsenal marseillais sans qu’elle puisse le défendre.

Après, ça a été une longue guerre d’usure sans le moindre allié. J’avais des contacts avec Alendir mais je me doutais qu’il jouait un double-jeu. J’aurais pu m’en sortir si l’Angleterre avait répondu à mes missives mais ses mouvements erratiques ne m’ont guère arrangé. Si elle avait pris Brest comme elle l’escomptait, les choses auraient certainement étaient différentes, mais ça ne s’est pas fait. Mon seul espoir était alors qu’Alendir soit intéressé par mon soutien contre l’Angleterre, et j’ai tout tenté en ce sens mais, là encore, je ne me faisais guère d’illusions. À partir du moment où le Luxembourg et l’Italie se sont alliés contre moi, je ne pouvais plus rien faire d’autre que retarder l’échéance (avec quelque succès). La Russie était trop moribonde et trop loin pour m’aider, et l’Autriche refusait obstinément toute alliance. Je n’ai d’ailleurs vraiment pas compris sa stratégie. Coincée entre la Turquie et le Luxembourg, elle a pourtant décidé de rester isolée.

Du coup, par pure vengeance, je me suis allié à la Turquie de Sukumvit en l’aidant à reprendre la Tunisie à l’italien et en essayant de semer le trouble dans l’esprit de celui-ci, afin qu’il ne soutienne pas son voisin autrichien et laisse ainsi l’Empire ottoman capturer son onzième arsenal. Je préférais que la victoire revienne à un pays qui ne m’avait rien fait. : )

Finalement, je suis plutôt content d’être encore en vie à la fin de cette partie. Comme je l’avais dit à Fitz, au début, je ne pensais pas faire long feu.

Le côté R.P. était sympa mais certaines personnes étaient quand même beaucoup plus agréables à lire que d’autres. Sukumvit était parfait dans son rôle de sultan mégalomane et Alendir était très plaisant à lire. (J’ai juste trouvé dommage que tu ne sois pas resté R.P. jusqu’au bout.)

Sinon, pour la petite histoire, le nom à rallonge que j’utilisais en signature de mes missives (à savoir : Don Juan Manuel Sánchez y Gutiérrez de Castro, duc d’Almodóvar del Río) est celui d’un personnage qui a réellement existé et qui était le ministre d’État (l’équivalent de notre ministre des Affaires étrangères) de l’époque à laquelle le scénario de la partie a débuté. Sauf que lui n’est pas resté longtemps en place. ^^
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#43
C'est effectivement un petit regret que de nombreux joueurs n'aient pas été plus actifs au niveau des discussions et des alliances.
Mais il faut savoir que la majorité des participants étaient des amis qui apprécient Diplomacy comme ils apprécient des jeux de rôle ou d'autres jeux de plateau mais qui ne sont pas habitués des forums comme nous, qui n'écrivent donc pas des masses et ne trainent pas très longtemps sur leur PC.
D'où le suivi parfois peu régulier dans les conversations.
C'était d'ailleurs édifiant : Alendir, Jehan et Sukumvit à eux trois ont écrit 2 fois plus de messages que les 8 autres joueurs réunis.
Avec le résultat que l'on sait... L'aspect stratégique et tactique est finalement bien minime à Diplomacy par rapport à l'aspect diplomatique.
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