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Samuraï tome I : les trois villages - Version imprimable

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RE: Samuraï tome I : les trois villages - Albatur - 06/02/2013

Ma préféré reste celle du milieu et en 2e celle de droite.


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Stteiph - 08/02/2013

Merci.

Je peux fournir les tailles originales à l'occasion et préparer deux « 4ème » couvertures différentes en fonction de l'illustrateur.


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Alendir - 24/02/2013

Bon, désolé mon vieux Sunk, mais je suis en plein rush et je n’ai vraiment pas le temps de jouer selon les règles, d’autant qu’elles font 15 pages xD
Je les ai quand même lues en partie, et j’ai trouvé que les descriptions des aptitudes étaient de qualité. Elles permettent par ailleurs de creuser le personnage.


Très bon style. Dans l’intro, il manquerait une petite explication sur comment Kankoji a exploité la force obscure, cette notion demeure très flou (l’origine de la puissance aussi). Une énorme répétition m’a aussi fait tiquer, le mot « obscur » apparaissant dans chaque phrase :
« Tu veux toujours apprendre plus, savoir plus et connaître le moindre recoin de toute chose. Tu es quelqu'un de très réceptif Keijiro, un jeune guerrier que les Forces Obscures auront du mal à faire plier mais ne t'y méprends pas, le seigneur de l'ombre connaît mille et une façons de noircir ton esprit et de le rendre aveugle à la vérité. Nous avons été prévenus que des petits groupes d'obscurs tentent de répandre une vague de terreur dans le sud -est des Territoires Libres. Plusieurs paysans ont été retrouvés à demi-dévorés, des champs prennent feu sans raisons apparentes et certains disent même avoir vu des samouraïs obscurs chevaucher des okuras dans les plaines. Depuis des années nous affrontons régulièrement des créatures obscures qui viennent chercher refuge sur nos terres. Mais aujourd'hui ce sont les hommes qui changent sur l'île principale, ils deviennent fous et attaquent leurs propres familles ; c'est le signe de la Force Obscure… »
Enfin, mais ce n’est pas une critique, le double « Vois-tu Keijiro, » m’a fait sourire, ça me faisait penser une sorte de vieux sage radoteur, ayant la voix de Yoda.

Encore une fois, très belles descriptions de paysages, d’ambiances.
L’idée des classes est pas mal : on voit en un clin d’œil à quel type d’ennemi on a affaire, et par ailleurs, je ne crois pas me tromper en disant que le Japon possède une société hiérarchisée, donc on reste dans cet esprit.

Le §40 me rappelle encore Yoda, qui dit à Luke : « Yoda n’est pas loin ». Bingo !

« Ikki se sert pour la huitième fois du saké chaud dont les seuls effluves vous enivrent. »
On comprend mieux pourquoi Ikki parle de lui à la troisième personne xD

Le §11 me rappelle l’exorciste Wink

On nous dit d’être méfiant mais finalement on trouve énormément d’aide. Y compris la voleuse, dont on pourrait légitimement se méfier (contrairement à l’homme avec le panda, où la défiance n’a pas vraiment lieu d’être, même si on nous propose des choix méfiants). En fait, s’il avait s’agit d’un voleur, peut-être que je ne lui aurais pas fait confiance, mais vu que tu voulais sans doute introduire un perso féminin, je me suis dis que je pouvais la relâcher =)
Qu’on trouve de l’aide n’est pas forcément une mauvaise chose, par contre certains choix me paraissent très simples ou évidents (je vois les choix à ne pas faire à cent mètres).

Pas de gain d’honneur au §7 ?

En fait je me demande si l’oiseau que l’homme au panda nous a filé est vraiment une aide ? Pour l’instant il a l’air pas très efficace (il ne crie pas quand deux paysans obscurs sont cachés dans un buisson, et crie devant les 9 alliés qu’on croise au village).

Beaucoup de combats à la fin, c’est peut-être trop ?

En tout cas, l’objectif de ce premier tome est plus intéressant que de devoir tuer le chef des méchants, puisqu’on se concentre sur la réunification des clans. Ça change agréablement.

To conclude, il s’agit vraiment d’un goût personnel, mais de même qu’à une époque j’en ai eu assez des récits d’héroïc fantasy, aujourd’hui je n’adhère plus trop aux histoires manichéennes, qui sont prévisibles et peu subversives : une AVH avec le même univers mais une approche plus nuancée m’aurait davantage plue. Ceci dit, la lecture s’est avérée plus agréable que je ne le pensais, et le manichéisme ne m’a pour une fois pas pesé, ce qui est un exploit en soit. La poésie et l'ambiance de l'AVH y sont sans doute pour quelque chose.


(Pour la couv, je préfère celle de droite ; le dessin est apaisant, et les lignes de force créent une puissante dynamique qui poussent à tourner la page)


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Syphil - 25/02/2013

A mon tour de commenter cette aventure. Comme tout a déjà été dit par les autres, je vais me concentrer sur l'essentiel. Etant à la bourre pour le vote des yaz j'ai choisi de jouer sans les règles (que je trouve top par ailleurs, de toute façon je referai le tout une fois le prochain tome sorti.)

Globalement c'est objectivement une avh pleine de qualités. Elle est très peu liénaire, son style est très bon, les dialogues sont ciselés et plausibles, la fraîcheur poétique qui imprégne l'ambiance est agréable et le tout est très fourni et documenté (+ 1 aussi pour la citation très Lao Tseudienne en tout début.)
J'ai apprécié aussi le héros que l'on campe, on se sent vraiment en confiance dans ses bottes, et malgré la grande noblesse d'âme qui le caractèrise j'ai bien aimé sa légère arrogance et sa fougue. Ca m'a d'ailleurs fait penser au jeu vidéo Shemnue dont le héros à l'instar du tien en vient aussi à croiser le chemin de quelques maîtres qui peuvent lui apprendre diverses techniques.

Finalement, le seul petit bémol pour moi vient du fait que tout ça est assez court, et donne le sentiment de n'être qu'aux entremets avant la vraie bataille. On se contente d'effleurer la surface ce qui pourrait nous attendre, et même si cette mise en jambe est prenante j'en aurais voulu plus question souffle épique. Ce n'est certes pas un vrai défaut dans le cadre d'une saga, mais c'est un peu frustrant.

Donc pour résumer, j'ai passé un agréable moment à suivre les pas de Keijiro, le cadre change vraiment et donne envie d'en parcourir bien plus. Bravo Sunk !


RE: Samuraï tome I : les trois villages - sunkmanitu - 26/02/2013

Merci à vous deux pour vos feedbacks !

J'y réponds en détail ce soir, j'aurais plus de temps que ce matin à 7.30 !

A tout' les potos Wink


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Zyx - 07/03/2013

Corrections mineures:
§103: je m'effondrai dans râle
§235: Kankoji représente à nouveau un menace

§120: les références ne sont pas linkifiées

§187: bambou du paysan (arme longue, +1 point de dégâts)
plutôt (arme longue, +1 point de défense)

§269: pour te remercier de nous avoir aidés
aidées

Tellement scotché par l'histoire, j'ai pris très peu de notes en chemin. Tout est soigné, cohérent. La nature est présente, le volcan comme entité, le mystère de notre propre temple, c'est bien rendu. Une lecture agréable, immergeante. Une réflexion, une sagesse ou un mode de vie transpirent des paroles, des essences que l'on hume ou touche. J'ai aimé le style, parfois subtil mélange de lyrisme et d’onirisme, qui nous présente des paysans, des animaux fabuleux, des ninjas démoniaques, des rencontres érotiques avec le même réalisme magique. L'univers possède vraiment une belle tessiture.
Pour la partie jeu, les règles sont pensées avec intelligence, l'exploration de la cité est assez souple pour qu'on ait la sensation de la parcourir. Les combats trop compliqués par rapport au plaisir de gameplay qu'ils apportent; mais c'est vrai que les jets de dés ne m'intéressent que peu.

Alors qu'est-ce qui a manqué, pour moi, pour classer les trois villages comme le number one (j'ai longtemps hésité)?
La dimension. Il manque une dimension. D'une part c'est court, c'est plus une introduction courte, un épisode pilote, qu'un tome I.
D'autre part il manque quelque chose d'intrinsèque à l’œuvre, comme un gameplay novateur.
Enfin, il manque quelque chose de transcendantal, comme une connaissance plus profonde des choses à venir, avec des pistes, des nom, des évènements, des stratégies en train d'être déployées, pour donner une dimension épique à la saga.

En résumé, je suis tombé sous le charme de l’œuvre. Je lirai certainement la saga à venir. Je pense que certains aspects méritent d'être développés, comme le gameplay qui doit être prenant pour tenir toute une saga.


RE: Samuraï tome I : les trois villages - sunkmanitu - 13/03/2013

Pour Zyx : Merci pour les corrections, j'en prendrais note et apporterais les modfis sur l'avh. Merci aussi pour ton feed, tes compliments me touchent, vraiment. La première partie de ton feed me va droit au coeur car tu a ressenti exactement ce que j'avais en tête lors de l'écriture : de la douceur, une sorte de poésie asiatique, tout en subtilité, à fleur de peau. Ça fait con de dire ça mais si tu as ressenti cette fragilité de tous les instants, c'est que j'ai réussi à faire passer mes émotions dans le texte, et ça j'en suis fier. Pour la deuxième partie de ton feed, c'est le reproche le plus courant que j'ai eu : trop court pas assez épique pour débuter. J'ai hésité à frapper fort d'entrée de saga, mais j'avais peur de m'essouffler de suite. Je n'ai pas la capacité ni le talent de certains auteurs ici présents qui savent gérer leurs émotions, leurs écrits en respectant une intensité du début à la fin de leurs oeuvres (ou saga pour Oiseau, ô cher maître !).
Je vais donc tâcher de combler les manques dans le prochain volume... Merci à toi.

Pour Syphil : Merci à toi aussi pour ton feed, j'y réponds tardivement, mais je suis 'achement occupé en ce moment. Tes compliments aussi me touchent, encore une fois la poésie ressort de ton ressenti de lecture c'est donc que mon écriture est restée constante sur cette ligne directrice. Je suis content. Tu as su d'imprégner du caractère de Keijiro et effectivement, il est quelque peu arrogant : jeune, fier et surtout "samouraï". D'un autre côté il est souvent en doute face aux obscurs et ces doutes vont être de plus en plus présents au fil des tomes, bien qu'il gagne en expérience au combat face à ces créatures.
Merci en tout cas pour ta lecture et tes coms.

Alendir : Pour les répétitions du mot Obscur, je vais tâcher d'y remédier lors de la version finale. Je ne sais pas pourquoi le mot revient autant de fois !
Effectivement, la comparaison est flagrante, Yoki est bien sûr calqué un brin sur Yoda, et Ikki, le passeur est un brin calqué sur Gollum.
Le passage qui te rappelle l'exorciste est effectivement un clin d'oeil.
Au § 7 tu ne gagnes pas de PH car tu as un meilleur choix à faire avant...
Enfin merci pour les compliments quant à l'ambiance et les descriptions.

Merci à vous 3 pour vos feeds Wink


RE: Samuraï tome I : les trois villages - ashimbabbar - 13/03/2013

(07/03/2013, 06:31)Zyx a écrit : §187: bambou du paysan (arme longue, +1 point de dégâts)
plutôt (arme longue, +1 point de défense)

Le bambou donne le bonus de toutes les armes longues ET 1 point de dommages bonus.
Tout comme le tantô du temple donne le bonus dommages des armes courtes ET 1 point de dommages supplémentaire
et que les hokode donnent 1 point de dommages supplémentaires à mains nues

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RE: Samuraï tome I : les trois villages - Zyx - 13/03/2013

@sunkmanitu: tu n'es pas obligé d'être intense dès le départ, surtout que dans le cadre d'une saga cela risque de te mener à une escalade vers le grosbillisme. C'est plutôt que tu dois inscrire ton intro dans un cadre plus large, esquisser et amorcer des fils conducteurs à la fois concrets et transcendentaux.
Par exemple, on pourrait rencontrer un personnage important, de confiance, un pillier du camp allié, sur lequel on compte, en qui l'on place nos espoirs, à qui l'on confie des informations, nos plans, à qui on dévoile même nos faiblesses, et celui-ci se révèle un traître, un espion. Lors de l'affrontement, il est plus fort et plus malin, il a vraiment plusieurs coups d'avance sur nous, et seul un évènement externe nous permet d'échapper à l'issue fatale du combat. Cet ennemi en sait désormais long sur nous et sur nos plans, le mal a désormais un avantage, et voici la naissance d'un archi-ennemi que le lecteur s'attend d'avance à retrouver, et contre lequel il va devoir se préparer en redoublant d'efforts, parce qu'il a visiblement un gros retard à combler. Pour dramatiser un peu plus, cet archiennemi peut souiller notre plus bel espoir (tuer l'un des chefs des trois villages après qu'on les a réunis et convaincus par exemple), etc. Dans les tomes suivants, il peut nous mettre en échec plusieurs fois, plusieurs dialogues éthiques troublants peuvent être développés avec lui, histoire que le combat final soit chargé de drame, etc.

@ashimbabbar: si couper un bambou donne plus d'avantages que forger un sabre long, il en découle une ribambelle de questions existentielles pour le héros!


RE: Samuraï tome I : les trois villages - sunkmanitu - 13/03/2013

Je comprends ce que tu veux dire Zyx, je vais tâcher de travailler sur le "dramatique" de la situation ; j'avais déjà prévu des traîtres mais pas pour tout de suite.

Pour les bonus/malus des armes, certains peuvent désorienter, mais pour répondre à ta question, j'ai toujours en mémoire l'histoire de Musashi qui avec un simple bokken (sabre de bois) défia et vaincu de nombreux adversaires armés de katana (sabre forgés).
Le coup du bambou est un peu un hommage aux fondateurs des arts martiaux anciens qui souvent étaient des paysans. Armés de piques, de bambous ou de faux, ils étaient néanmoins très dangereux.
Un simple coup de poing bien placé suffit à tuer un homme, partant de ce postulat, ce n'est pas l'arme qui est dangereuse, mais celui qui la maitrise Wink ...


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Akka - 13/03/2013

(13/03/2013, 23:04)sunkmanitu a écrit : Je comprends ce que tu veux dire Zyx, je vais tâcher de travailler sur le "dramatique" de la situation ; j'avais déjà prévu des traîtres mais pas pour tout de suite.

Pour les bonus/malus des armes, certains peuvent désorienter, mais pour répondre à ta question, j'ai toujours en mémoire l'histoire de Musashi qui avec un simple bokken (sabre de bois) défia et vaincu de nombreux adversaires armés de katana (sabre forgés).
Le coup du bambou est un peu un hommage aux fondateurs des arts martiaux anciens qui souvent étaient des paysans. Armés de piques, de bambous ou de faux, ils étaient néanmoins très dangereux.
Un simple coup de poing bien placé suffit à tuer un homme, partant de ce postulat, ce n'est pas l'arme qui est dangereuse, mais celui qui la maitrise Wink ...
Si je peux me permettre de pinailler sur ce point (alors que je n'ai pas encore fait mon retour, bouh honte sur moi, mais ça viendra ^^), le fait que Musashi se permettait ce genre de chose et que ce soit noté, est bien la preuve que justement, c'était se handicapper que de combattre de la sorte.
Effectivement, l'important est le manieur, mais là le point dont parle Zyx est le fait qu'une ARME améliore l'efficacité du manieur, pas le contraire ! Je vois tout à fait l'idée que tu veux faire passer, mais je pense que dans ce cas particulier, tu as fais la chose à l'envers : au lieu de donner une arme au héros et de faire en sorte que l'arme donne un bonus, il aurait été à la fois plus logique d'un point de vue réaliste, et plus cohérent du point de vue de ce que tu veux exprimer, de ne donner aucun bonus (et même un malus) à l'arme, mais de donner un bonus à l'utilisateur (applicable uniquement à certaines armes éventuellement).

Pour ce qui est fondateurs, c'est plutôt en fait le contraire : ceux qui développaient les techniques de combat étaient ceux faisant partie de la caste guerrière ; la quasi totalité des arts martiaux japonais proviennent des techniques de combat des samouraïs, qui n'étaient certes pas des paysans ! La seule exception à laquelle je peux penser est le karaté, qui effectivement était un art utilisé par la population d'Okinawa, mais il est beaucoup plus récent, et a été développé essentiellement parce que, justement, les Japonais leur interdisaient de porter des armes ^^


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Zyx - 14/03/2013

Je pense aussi que le joueur a tendance a évaluer les armes dans les termes des mécanismes présentés, afin de maximiser ses scores pertinents. Si le bambou est plus efficace que le sabre, pourquoi choisir le sabre, du point de vue du gameplay? (le sabre pourrait par exemple autoriser certaines techniques, ou des points d'honneur, et.)


RE: Samuraï tome I : les trois villages - sunkmanitu - 14/03/2013

Je comprends vos points de vue à tous les deux, c'est en fait moi qui n'ai pas réussi à faire passer l'idée que j'avais en tête ! Regardez le copié-collé du début du tableau des armes :

Katana simple
Katana supérieur +1 PD
Bâton ou bambou : +1PD
Katana forgé par : +2 PD
etc...

On sent effectivement que le bambou est à un niveau de dangerosité égal au katana supérieur, c'est abusé je l'admets. Je voulais simplement montrer que même si le lecteur perd ou brise son arme de base, il pourra toujours combattre avec un bambou, va falloir que je bûche les niveaux d'armes.

Pour Akka, tu as sûrement raison pour les arts martiaux, je ne pensais même pas au karaté, mais plus à l'aikido et au kung-fu shaolin. Pour les autres il est vrai que de nombreux arts émanent de soldats "entraînés" au combat ! J'ai écrit trop vite !!


RE: Samuraï tome I : les trois villages - Akka - 14/03/2013

(14/03/2013, 07:06)sunkmanitu a écrit : On sent effectivement que le bambou est à un niveau de dangerosité égal au katana supérieur, c'est abusé je l'admets. Je voulais simplement montrer que même si le lecteur perd ou brise son arme de base, il pourra toujours combattre avec un bambou, va falloir que je bûche les niveaux d'armes.
Je trouve que tu as déjà eu de très bonnes idées, assez élégantes dans la combinaison efficacité-simplicité, pour ce qui est de l'effet des armes : -1 dégât reçu pour les armes longues, +1 dégât infligés pour les armes courtes, -1 dégât infligé sans arme.
Partant de ce principe, ne pourrais-tu pas simplement dire que le bambou, en tant qu'arme longue, bénéficie du -1 de dégât reçu, MAIS étant clairement inférieur à une lame de métal, donne également une pénalité de -1 dégât infligé ?
Citation :Pour Akka, tu as sûrement raison pour les arts martiaux, je ne pensais même pas au karaté, mais plus à l'aikido et au kung-fu shaolin. Pour les autres il est vrai que de nombreux arts émanent de soldats "entraînés" au combat ! J'ai écrit trop vite !!
Pour le kung-fu, c'est assez difficile de déterminer "qui" en a été à l'origine (mélange de techniques de combats martiales, de sport, d'entraintements traditionnels, etc.), donc je ne pourrais pas me prononcer là-dessus.

Cependant pour l'aikido, c'est en fait presque le parfait contre-exemple ^^
L'aikido, déjà, n'est pas vraiment un "art martial", mais plus une "voie philosophique", donc n'étant pas destiné à se battre mais à être utilisé comme moyen pour atteindre une nouvelle perception des choses (d'ailleurs, tout le principe de la "bulle" autour de soi est entièrement défensif).
Ensuite, c'est un art directement issu du jujutsu, qui lui est strictement d'origine samouraï (la partie des techniques de combat des samouraïs sans armes ou avec des armes de fortune).
Enfin, son créateur, Ueshiba, était un combattant émérite ayant participé à la guerre russo-japonaise, donc pas vraiment un paysan ^^


RE: Samuraï tome I : les trois villages - ashimbabbar - 14/03/2013

il n'y a qu'à dire que c'est un bambou magique +1… ou plus sérieusement un bambou fait et équilibré spécifiquement alors qu'il a l'air de n'être qu'un bambou sans intérêt.

re les arts martiaux, j'ai lu que les moines chinois les avaient développés et enseignés au peuple parce que les mandchous ( ou d'autres ? ) leur interdisaient d'utiliser les armes ? De même la capoeira inventée par les esclaves brésiliens après que leurs maîtres ( suite à plusieurs révoltes ) leur aient défendu d'en avoir…