30/08/2019, 13:42
Quatrième tentative… la plus courte de toutes !
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SpoilerScores maximaux en points de vie et habileté (48 et 12), compensés par un piteux 7 en furtivité, et deux 8 en volonté et charisme.
Il me reste un chemin à découvrir au tout début. En effet, contrairement aux deux autres, le choix de suivre le groupe qui va chercher de l’eau débouche sur un autre choix. La première fois, je suis resté sagement avec le groupe, or je suis à peu près sûr que s’en éloigner permet d’obtenir le glaive de Méroé qui est mentionné juste après le premier combat. Je me dirige donc par là… Mes P.V. ont beau crever le plafond de nouveau, l’expérience précédente m’a prouvé que le premier combat est trop dangereux sans arme.
Je tente de dérober le glaive (mais, encore une fois, j’apprécie que le texte nous laisse le choix). C’est prendre un risque, car la furtivité est mon gros point faible… Mais je préfère prendre ce risque que me retrouver à l’article de la mort avant même d’avoir véritablement commencé l’aventure, comme la dernière fois.
Malheureusement, j’échoue au test, et je me prends une flèche derrière. Je pensais que j’allais avoir droit à un P.F.A., mais non, je ne perds que 3 points de vie. Pas cher payé, et rétrospectivement cela valide le risque pris. Dans un roman, je trouverais peu crédible qu’une telle blessure n’ait aucune autre conséquence, mais on est dans un livre-jeu, la suspension consentie d’incrédulité fait partie du contrat passé entre l’auteur et le lecteur.
Petit détail : je pense qu’il serait plus réaliste de casser la flèche en deux avant de l’arracher, de façon à éviter que l’empennage ne traverse la blessure.
Retour au village. J’aime bien la réflexion que se fait mon personnage : « Et à propos d’arme, vous regrettez amèrement de n’avoir pas pu vous emparer de celle que vous convoitiez… » Tu m’étonnes…
Eh ! oui, malgré un nombre de points de vie supérieur à la dernière fois, le combat est un calvaire, les dés s’acharnent à faire rater mes attaques, l’homme-lion enchaîne les grosses mandales, et je finis sur le carreau.
Je commence à me demander si ce premier affrontement n’est pas un peu trop dur. Sans arme, il faut avoir beaucoup de chance même avec beaucoup de points de vie, et avec, on est quasi-certain de prendre des dégâts malgré tout.
Il me reste un chemin à découvrir au tout début. En effet, contrairement aux deux autres, le choix de suivre le groupe qui va chercher de l’eau débouche sur un autre choix. La première fois, je suis resté sagement avec le groupe, or je suis à peu près sûr que s’en éloigner permet d’obtenir le glaive de Méroé qui est mentionné juste après le premier combat. Je me dirige donc par là… Mes P.V. ont beau crever le plafond de nouveau, l’expérience précédente m’a prouvé que le premier combat est trop dangereux sans arme.
Je tente de dérober le glaive (mais, encore une fois, j’apprécie que le texte nous laisse le choix). C’est prendre un risque, car la furtivité est mon gros point faible… Mais je préfère prendre ce risque que me retrouver à l’article de la mort avant même d’avoir véritablement commencé l’aventure, comme la dernière fois.
Malheureusement, j’échoue au test, et je me prends une flèche derrière. Je pensais que j’allais avoir droit à un P.F.A., mais non, je ne perds que 3 points de vie. Pas cher payé, et rétrospectivement cela valide le risque pris. Dans un roman, je trouverais peu crédible qu’une telle blessure n’ait aucune autre conséquence, mais on est dans un livre-jeu, la suspension consentie d’incrédulité fait partie du contrat passé entre l’auteur et le lecteur.
Petit détail : je pense qu’il serait plus réaliste de casser la flèche en deux avant de l’arracher, de façon à éviter que l’empennage ne traverse la blessure.
Retour au village. J’aime bien la réflexion que se fait mon personnage : « Et à propos d’arme, vous regrettez amèrement de n’avoir pas pu vous emparer de celle que vous convoitiez… » Tu m’étonnes…
Eh ! oui, malgré un nombre de points de vie supérieur à la dernière fois, le combat est un calvaire, les dés s’acharnent à faire rater mes attaques, l’homme-lion enchaîne les grosses mandales, et je finis sur le carreau.
Je commence à me demander si ce premier affrontement n’est pas un peu trop dur. Sans arme, il faut avoir beaucoup de chance même avec beaucoup de points de vie, et avec, on est quasi-certain de prendre des dégâts malgré tout.