26/08/2019, 12:28
Je mets tout en spoiler, ce sera plus simple.
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SpoilerJe me demandais si on pouvait se passer de ses compagnons, puisqu’on peut éviter d’approcher Enoshk (même si, lui, on le retrouve après), fuir devant Taïta (après, c’est peut-être mortel…) et surtout ne pas sacrifier une dose pour soigner Suarra, et là je vois mal comment elle peut survivre.
J’ai profité de ma deuxième tentative pour varier mon parcours. D’abord, j’ai rendu une visite au forgeron, conscient du combat à venir et espérant ainsi sauver quelques uns de mes précieux points de vie. La première fois, j’avais accompagné le groupe de femmes chercher de l’eau, passage que j’avais bien aimé.
Après la rencontre avec Enoshk, je suis passé par le monastère des Purs, dont j’ai accepté l’hospitalité. Passage encore une fois très bien écrit, riche en rencontres et en péripéties. Quel plaisir de se sentir ainsi voyager, vraiment !
J’ai ensuite opté pour le désert, où, fidèle à l’altruisme dont mon personnage fait preuve depuis sa première incarnation, j’ai accepté d’affronter la bande de pillards… ce qui m’a été fatal. Le combat me paraît légèrement déséquilibré en notre défaveur, mais comme il semble qu’il y ait moyen de tuer Auro avant la bataille, ça ne me paraît pas injustifié.
Cette A.V.H. est une bonne illustration de ce que j’appelle le méta-jeu, d’ailleurs : la formulation de certains choix qui donne un indice sur des chemins que l’on n’a pas pris. Le fait qu’on demande si on a tué Auro pendant la nuit incite à l’exploration nocturne du monastère plutôt qu’à dormir (ce que j’ai fait, cela me semblait plus judicieux à la veille d’une bataille). Il y a aussi le moment où le texte demande si on possède un médaillon en forme d’abeille. Un peu plus tôt, j’ai sagement quitté la hutte de la sorcière (du moins, je suppose que c’en est une) que je squattais honteusement, comme elle l’exigeait. La prochaine fois, si j’y repasse, je prendrai sans doute le risque de taper la discute, car je soupçonne que c’est elle qui nous offre ledit médaillon.
J’ai profité de ma deuxième tentative pour varier mon parcours. D’abord, j’ai rendu une visite au forgeron, conscient du combat à venir et espérant ainsi sauver quelques uns de mes précieux points de vie. La première fois, j’avais accompagné le groupe de femmes chercher de l’eau, passage que j’avais bien aimé.
Après la rencontre avec Enoshk, je suis passé par le monastère des Purs, dont j’ai accepté l’hospitalité. Passage encore une fois très bien écrit, riche en rencontres et en péripéties. Quel plaisir de se sentir ainsi voyager, vraiment !
J’ai ensuite opté pour le désert, où, fidèle à l’altruisme dont mon personnage fait preuve depuis sa première incarnation, j’ai accepté d’affronter la bande de pillards… ce qui m’a été fatal. Le combat me paraît légèrement déséquilibré en notre défaveur, mais comme il semble qu’il y ait moyen de tuer Auro avant la bataille, ça ne me paraît pas injustifié.
Cette A.V.H. est une bonne illustration de ce que j’appelle le méta-jeu, d’ailleurs : la formulation de certains choix qui donne un indice sur des chemins que l’on n’a pas pris. Le fait qu’on demande si on a tué Auro pendant la nuit incite à l’exploration nocturne du monastère plutôt qu’à dormir (ce que j’ai fait, cela me semblait plus judicieux à la veille d’une bataille). Il y a aussi le moment où le texte demande si on possède un médaillon en forme d’abeille. Un peu plus tôt, j’ai sagement quitté la hutte de la sorcière (du moins, je suppose que c’en est une) que je squattais honteusement, comme elle l’exigeait. La prochaine fois, si j’y repasse, je prendrai sans doute le risque de taper la discute, car je soupçonne que c’est elle qui nous offre ledit médaillon.