ashimbabbar a écrit :je suis sûr que tu lui as arraché une partie de la cage thoracique et que de la plaie ouverte découle un ichor répugnant.
Il serait plus précis de dire que le sortilège enlaidit d'une blessure hideuse le torse blafard de la créature, laissant s'échapper un flot de cendres fines et une puanteur horrible.
Mais tout cela appartient à l'avenir puisque Saenad et Aubin n'ont pas encore agi.
Dernière modification par Outremer le 10 juil. 2011, 03:36, modifié 1 fois.
Pour une fois que je suis à distance, je vais utiliser la dague de Vislet.
3 + 2 = 5 donc je touche. 2 points de dommage seulement, moins sa protection.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
Outremer a écrit :Il serait plus précis de dire que le sortilège enlaidit d'une blessure hideuse le torse blafard de la créature, laissant s'échapper un flot de cendres fines et une puanteur horrible.
D'a-ccord, je vois mieux… Bon eh bien je vais encore parer à l'assaut suivant, en essayant si possible de distraire son attention - ça n'est apparemment pas dans les règles, mais si Aubin lui arrive par-derrière ne devrait-il pas avoir un bonus ?
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi." Poème d'Enheduanna
La goule aimerait arracher la colonne vertébrale de Fimmex pour se délecter de sa moëlle, mais, comme il est hors de portée, elle s'en prend à nouveau à Sire Flongand. Ses griffes ne déchirent cependant que le vide, ce qui ne calme pas son irritation grandissante.
2 + 3 = 5 donc c'est réussi. 4 points de dégâts, moins sa protection.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
Bon, à l'assaut suivant j'attaque. Je le taillade au niveau des côtes premières avec 7 et… 6+2 points de dommages moins sa protection !
Aaaaah moi, quand je cogne, je cogne
Dernière modification par ashimbabbar le 10 juil. 2011, 22:54, modifié 1 fois.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi." Poème d'Enheduanna
Beau coup, sire Flongand. Je suis sûr que l'un de vous va achever cette horreur avant que je puisse lancer un nouveau sort. Mais je me concentre sur une nouvelle Blessure.
Fitz a écrit :Beau coup, sire Flongand. Je suis sûr que l'un de vous va achever cette horreur avant que je puisse lancer un nouveau sort. Mais je me concentre sur une nouvelle Blessure.
Merci. Mais ce bâtard m'a l'air du même style que le squelette volant: capable d'encaisser beaucoup. je crois qu'on va avoir besoin de ton sort de Blessure…
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi." Poème d'Enheduanna
Vos attaques multiples enragent la créature plus qu'elles ne l'affaiblissent, mais cela ne présente pas que des désavantages. Son attaque suivante est si maladroite que vous ne saisissez même pas à qui elle comptait s'en prendre au juste.
Un nouveau lancer de dague : 5 + 1 = 6 donc je touche. Encore 4 points de dommage, moins sa protection.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
L’adversaire paraît coriace… Aubin hésite le temps d’un battement de cœur puis fait décrire à son bâton un mouvement complexe destiné à abuser la créature pour pouvoir la frapper aux jambes.
Je tente donc un déséquilibrage. 3 + 6 + 5 = 14. Manqué.
Malheureusement, l’exécution laisse à désirer et la goule n’a aucun mal à esquiver l’attaque. Étouffant un juron, Aubin recule d’un pas et se prépare à éviter le coup de griffe qu’il sent venir.