Spoiler
Paragraphes 1 ; 13 ; 68 ; 6 ; 23 ; 101 ; 213 ; 277 ; 238 ; 264 ; 299 ; 80 ; 51 ; 106 ; 81 ; 59 ; 46 ; 35 ; 43 ; 49 ; 2 ; 100 ; 298 ; 266 ; 152 ; 53 ; 63 ; 75 ; 120 ; 104 ; 170 ; 58 ; 172 ; 291 ; 218 ; 232 ; 229 ; 214 ; 137 ; 211 ; 216 ; 209 ; 192 ; 14
Paragraphe 41 : mon dieu, les s...célérates ! Elles veulent nous zigouiller pour accomplir quelque rituel obscène et blasphématoire... Mais il suffirait de lire une formule pour déclencher la malédiction, et de lire la suivante pour l'annuler ? L'hypothèse d'une caméra cachée a été abandonnée depuis longtemps, mais si c'est encore un coup monté pour me faire faire du latin, ce serait trop tarte. Non, franchement, l'incendie du bâtiment serait tellement plus simple et efficace ! En attendant, j'en ai appris suffisamment et je préfère me retirer sans m'exposer davantage.
Paragraphe 143 : aussitôt dit, aussitôt fait.
Paragraphe 195 : non, je n'ai ni carnet de notes, ni bol (d'ailleurs c'est pas juste, parce que des bols, c'est pas ce qui manquait au réfectoire). Mais j'ai un BRIQUET. Et je suis dans une BIBLIOTHÈQUE. Alors ?
Paragraphe 132 : bon, d'accord... pour la grande justice. (+1 point bonus)
Paragraphe 32 : va falloir la jouer
fine, ma petite Faustine. D'ailleurs, la grosse Isabelle vient d'ériger un énorme mur de flammes en claquant des doigts, ce qui est plutôt classe. Reste à le franchir. Si je balance l'armoire métallique en travers, on risque de me faire des remarques à propos du bruit. En plus, elle est pleine de produits avec des triangles oranges sur les étiquettes (oui, on peut faire le Mal et être propre). Par contre, je me souviens d'un film avec un petit Chinois qui fait du karaté ou un truc approchant, contre un démon, et à un moment le héros doit franchir des flammes... et il comprend qu'il doit utiliser un verre d'eau... Bref, je me souviens plus des détails, mais maintenant j'ai soif. Tenaillée par l'urgence, je me rends à la salle d'eau.
Paragraphe 274 : ouah, ça marche presque ! Si j'avais que ça à fiche, j'enchanterais un balai pour qu'il porte des seaux à ma place, mais là ça presse. Je me recule, je cours, je m'élance et... (je claque un point bonus pour réussir le test de sport).
Paragraphe 220 : quel superbe saut de la jeune Faustine, l'espoir montant de l'athlétisme féminin ! Tout à fait, et admirez cette réception parfaite ! Elle mérite sincèrement la victoire, et puis nous avons hâte de la retrouver aux jeux d'hiver, avec Hyacinthe et Zerbinette... Je me demande où sont les copines en ce moment. Ah, je ne dois pas faiblir ! Ne pas reculer ! Dure est la vie d'une héroïne. Per aspira... l'astra, truc...
Paragraphe 215 : en revanche, il n'y a même pas d'ascenseur à cet échafaud.
Paragraphe 254 : mince ! Vlà-t-y pas que ça recommence comme au début de ma virée, dans les couloirs. Si je me souviens bien, j'avais éteint ma lampe de poche et rien ne m'étais arrivé. Si je recommençais, je serais vraiment culottée. Peut-être que je suis folle ? En tout cas, les sœurs nous ont toujours dit de ne pas courir dans les escaliers. Je crois que je comprends mieux pourquoi maintenant, tout fait sens ! J'éteins ! Allez à Jacta-Est !
Paragraphe 294 : j'ai la classe et je le sais (+1 point bonus). Et attention où vous posez vos pattes.
Paragraphe 217 : Hmm, dois-je risquer de perdre du temps ou pas ? Et si je trouvais un costume de bonne sœur ? Avec un couteau ? Et mon Ipod confisqué ? Bien sûr que je fouille !
Paragraphe 142 : bingo ! Et... ouah, y'a aussi le couteau fourni avec !!! Elles sont pas malines... enfin, si on y songe, à leur place, c'est vrai que je rangerais plutôt aussi le matériel de façon à ne pas devoir se taper l'escalier avec. Pas simple. Faudrait voir si elles font le ménage en haut aussi, du coup. Mais je m'égare : où est mon Ipod ? Mais bon, au moins, ce soir, je serai la plus belle pour aller danser, hé hé hé.
Paragraphe 259 : aussitôt dit... heu ! c'est pas fastoche à enfiler en fait. M'enfin.
Paragraphe 288 : bon, cette fois-ci, c'est la fin, la confrontation, le dénouement. Peut-être. Seigneur, si tu existes... ben casse-leur la margoulette pendant que je filme. Sainte Brigitte, go !
Paragraphe 99 : il y a une étoile de trop ce soir. Et zut de flûte, c'est soirée latin ! Rien qu'à voir la tête du public, on comprend qu'elles voudraient en finir au plus vite. Examinons les possibilités : si j'essaye d'effacer les symboles, je suis grillée direct et c'est même pas dit que ce soit possible, en tout cas dans les films ça ne marche jamais. Si je libère les copines, elles risquent de brailler en me voyant approcher avec une lame, mais il y a moyen de fiche une jolie pagaille, si elles se mettent à courir en pyjama sur le toit en poussant des cris stridents. Quant à aller chiper le fameux bouquin, juste sous le nez crochu de l'amère supérieure... sérieusement ? Nan, sans déc, je vais plutôt m'approcher à pas lents des filles en brandissant mon poignard, ça ne peut pas ne pas marcher. Après, il sera toujours temps de se pencher sur la littérature, dans la confusion.
Paragraphe 188 : Citation :Je m'avancerai
Vers l'autel de Dieu
La joie
De ma jeunesse
Paragraphe 158 : c'est l'heure des règlements de comptes ! Alors : popularité + bonus de tricherie = 3 + 5 = 8 > 6.
Huge success.
Paragraphe 132 : heu, c'est pas ce que j'avais prévu... Où sont les lycéennes affolées courant partout en petite tenue ? En plus, si elles ont des dessins obscènes et blasphématoires sur la figure, y'a quand même un risque qu'elles disjonctent, comme dans la salle de peinture, non ? Bref, j'aurai certainement pas filé le schlass (en plus à Johanna, qui doit m'en vouloir à mort pour les cigarettes). (Code
Tara noté.) Et là, c'est le drame, et je n'ai plus d'arme.
Paragraphe 149 : l'angoisse ! Pas le choix, je cours.
Paragraphe 173 : courir droit ou en zigzag ? Des fois, y'a des choix, comme ça. Bon allez, zigzaguons, mes amis : c'est le moment ou jamais.
Paragraphe 196 : aïe, bah chuis morte. Et où est-ce qu'on va quand on meurt ? Au 189 bien sûr !
Paragraphe 189 : RIP en paix, Faustine.
Sic transit gloria mundi