Rendez-vous au 1

Version complète : Il était une fois (Elvebriwen)
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Beaucoup de poésie, d'onirisme dans cette AVH. On perçoit entre les lignes une sensibilité à fleur de peau. Je rejoins les avis précédents (je sens que je vais utiliser souvent ce subterfuge car je n'ai plus beaucoup de temps pour rédiger les derniers feed) concernant le potentiel mais aussi l’impression d'éparpillement au fil de la narration, comme si tu avais envie d'explorer plein de voies à la fois, submergé par un flot d'idées.

L'écueil tient à la cohérence de l'ensemble qui peut paraitre décousu. Vraiment du potentiel donc à condition de canaliser toute cette vague créatrice pour ne pas perdre le lecteur d'AVH !
Il y a dans cette AVH incontestablement une ambiance, un parfum, une façon de faire coller une évolution intérieure à un parcours dans les rues de la ville... Tout cela conspire à donner un sentiment de vécu complexe (pourtant ô combien répandu !), mais rendu simplement. C'est extrêmement positif.

En revanche, l'omniprésence de la modification des caractéristiques, l'absence de développement par moments, et surtout le manque d'enchaînement entre certains paragraphes ne cessent d'arracher le lecteur à cette immersion psychologique. C'est bien dommage... mais non rédhibitoire.

J'ai terminé l'aventure Cool
Très poétique, pas forcément dans le style mais plutôt dans les images évoquées  (oh, le 11 !, et le 48 : « Vos cheveux s’emmêlent et vous vous arrêtez quelques instants pour y remettre de l’ordre. », et les autres…) et grâce aux pépites de folie (« La victoire a un gout sucré, merci petites maisons de pain d’épice. »)

L’énigme du 7 n’est pas compliquée : c’est cool ! J’ai horreur des énigmes sans lien avec l’histoire et qui demandent de stopper le jeu pendant des heures si l’on veut trouver. Les autres le sont davantage !

La psychologie de l’héroïne – et donc l’intrigue – se dégagent peu à peu. Ce qui est remarquable c’est que la poésie du personnage, ses excès et son étrangeté la placent entre les rires et les pleurs. Ce qui permet à l’auteur de pouvoir mettre le curseur rapidement d’un côté ou de l’autre, sans que ça jure.

Je vois trois/quatre points communs avec le « Roi est mort » dus au thème de l’héritage. Un héros qui préfère vivre à l’instinct se trouve écrasé par de soudaines responsabilités liées à un monde qui ne l’intéresse pas. S’y greffe un éveil de son intérêt pour les liens familiaux. La mélancolie et le suicide. Le poids du père (49).

La séquence du miroir dévoile une bonne partie de l’intrigue et la volonté de l’auteur quant à la signification de l’AVH.

La fin 49->4 donne la clé !
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J’ai bon ?
Je n’ai certainement pas compris toutes les subtilités, mais je trouve ton AVH cohérente. Il y a peut-être des infos de trop, cette piste des runes sous-exploitée. Je me pose des questions sur l’importance des souvenirs. Sont-ils là pour montrer que les contes qui se sont réalisés ont nuit aux dirigeants de la ville (suicide), afin de faire douter le lecteur au moment de décider d’endosser le rôle de dirigeant ou non ?

Conclusion

Un moment étrange que cette lecture ! Les deux premiers tiers se laissent lire avec toute cette poésie. Le dernier tiers, quand l’intrigue se construit, fait un peu trop réfléchir ! Ca coupe l’immersion mais ça donne du sens à l’AVH.
Perso, moi ça me va. Merci pour cette poésie et ce délicieux mystère. Je pense qu’il faut bien prendre le temps de te lire.

Trucs bizarres

Règles : Lancez le ou les dés ?

Premier 22 : Je passe le combat car mes stats étant inférieures à celle du mec (mauvais tirage) je n’ai aucune chance. Avec un meilleur tirage, c’est tout l’inverse : je suis sûre de gagner.

Les autres l’ont dit : le cercle vertueux des stats qui augmentent sans cesse ! Est-ce voulu ?

3 : si on ne choisit pas le bon objet on passe à côté de l’utilisation de la clé.
35 : on peut avoir deux pièces d’engrenage ?
22 et 26 semblent avoir un bug de renvoi un peu trop rapide. Voir « mon parcours ».

Fautes

Oh la la ! Je ne vais pas les lister, hein… Mais c’est vraiment dommage : ça te décrédibilise.

Mon parcours

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Une AVH déconcertante, très poétique, avec un ton baroque qui peut faire penser à Lewis Carrol (encore que je n'ai jamais lu Lewis Carrol). Autant le dire: j'ai beaucoup beaucoup aimé le style. L'aspect ludique est moins bien géré mais il est présent. L'idée des devinettes est intéressante et moins artificielle que dans beaucoup de ldvelh, le problème c'est que si on ne trouve pas comme moi on va directement voir la solution... c'est donc une AVH qui ne dépareille pas dans un concours de très haut niveau et qui en appelle d'autres !
Merci pour tous ces généreux retours.
Je suis consciente des défauts de mon AVH, tous les conseils donnés vont être pris en compte . J'ai été surprise de voir Il était une fois à la huitième position ( je m'attendais à plus bas !), merci pour ces quatre points il ne semble pas gros mais pour quelque chose écrit pour faire plus de participation au concours c'est vraiment bien !
Je prépare effectivement quelque chose d'autre, pas vraiment dans la même lignée mais je pense assez intéressant tout de même. Merci encore pour vos retour.
@ Shamutanti Oui, tu as bon !
Je donnerais une réponse à tout le monde quand j'aurais un peu plus de temps. Big Grin
J'ai vraiment du mal à qualifier cette avh tant elle m'a déboussolée donc je serai bref,
Peut être que la confusion est volontaire dans cette avh mais je ne vois pas où Elvebriwen a voulu en venir. Je dirais qu'il y a une alternance de passages réalistes et irréalistes. Cette alternance brutale a empêché mon immersion parce que les deux thèmes sont diamétralement opposés. Cela aurait pu donner une excellente aventure mais cette opposition est tellement marquante qu'on se noie dans la confusion d'autant plus qu'il n'y a aucune ou très peu de transition entre les événements. Et c'est vraiment dommage car on sent vraiment du potentiel dans toute cette œuvre. Le coté onirique et poétique de l'ouvre m'a franchement époustouflé. Et si tu étais resté dans cet univers durant toute cette œuvre, je l'aurais qualifiée d'excellente. Le miroir ou les souvenirs avec la commode sont les passages les plus intéressants dans l’œuvre. Les fins possibles qui montrent le dur retour à la réalité ne m'ont pas plu. De nouveau, ils rompent brutalement avec le charme onirique de l'aventure.
Je trouve que le traitement du thème n'est pas vraiment respecté surtout si on arrive à la fin la plus rapide qui ne nécessite que de parcourir qu'un minimum de paragraphes. Sur les autres fins, on le voit un tout petit peu mais ce n'est pas suffisant ou pas assez marquant.
Enfin, je trouve étrange qu'au paragraphe 5, on ne peut pas ouvrir une commode juste parce qu'on a pas assez d'endurance. L’héroïne est si mal en point ?
Pour les énigmes, que c'est dur.
L'utilisation de l'habileté et de l’endurance est tellement peu présente que tu peux les rayer. Seuls les test de courage suffisent.
Et enfin, relis ton aventure, il y a énormément de fautes.


Pour conclure, bien que l'aventure parte dans tous les sens et que le traitement du thème est limite, il y a un énorme potentiel à exploiter.


Bref pour un premier jet, c'est plutôt sympathique et encourageant.
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