Rendez-vous au 1

Version complète : Compte-rendu des soirées jeux de plateaux
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L'abbé : Et bien, mon frère, vous dites avoir une information cruciale à m'apprendre ?

Frère Skarn : En effet, mon père ! Vous n'allez pas regretter de m'avoir fait confiance ! Je peux en effet vous révéler sans le plus petit doute possible que l'infâme meurtrier qui a précipité le frère Adelme du haut de la falaise, le cruel loup parmi les innocentes brebis de votre pieux monastère, le scélérat qui a bafoué tous ses voeux et mérite d'être châtié avec la plus implacable sévérité n'est autre que le novice Andr...

Frère Outremer (à l'extérieur) : Pax vobiscum, les mecs ! Vous saviez que j'ai la preuve incontestable qu'André n'est pas le coupable ?

Frère Skarn : ...Charles ! Le novice Charles ! C'est lui ! Aucun doute llà-dessus !



Découverte de Mystère à l'Abbaye, qu'on pourrait décrire assez exactement comme un Cluedo plus atmosphérique, plus stimulant et beaucoup plus prise de tête.

Ma stratégie au cours du jeu ne s'est pas caractérisée par une grande cohérence. Au début, je posais des questions essentiellement au pif. En milieu de partie, les questions que je posais aux autres joueurs ont quelquefois été ridiculement complexes ("As-tu innocenté des moines qui sont d'un autre ordre que celui du moine dont je viens de te donner la carte, qui ont la même pilosité faciale mais un embonpoint différent ?"), ce qui ne les rendait d'ailleurs pas plus utiles. Vers la fin, la cervelle en ébullition, je me suis rabattu vers des questions aussi simples que possibles ("Est-ce que tu as innocenté le frère Emmanuel ? Oui ? Bon.")

En fin de compte, j'ai découvert le coupable, mais il était trop tard pour le dénoncer.

Salla s'est fait complètement arnaquer. Alors qu'il avait découvert le coupable et qu'il était à deux doigts de le dénoncer, une carte spéciale d'Aragorn l'a renvoyé à l'autre bout du plateau. Et ensuite, une carte que j'avais imprudemment donné à Skarn a empêché in extremis celui-ci de faire une dénonciation erronée.
Sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, je m'étais arrêté ce soir là à la très réputée Abbaye de Saint-Galbert.
Le père Abbé, très chaleureux, m'avait invité à dîner, ainsi que d'autres pèlerins : Frère Romain, Frère Éric, Frère Florent et Frère Adrien. Alors que nous mangions notre plat de lentilles, le sonneur, Frère Martin, vint nous avertir de l'horrible nouvelle : Frère Anselme venait d'être retrouvé mort, en bas de la falaise, visiblement assassiné.
Cette nouvelle me troubla au plus haut point. Non pas à cause de la mort du Frère Anselme : c'était un sale prétentieux fort désagréable que je haïssais depuis que je l'avais aperçu en entrant, mais parce que je savais que l'Abbé déciderait de boucler les portes de l'Abbaye et d'empêcher quiconque de sortir, tant qu'on n'aurait pas trouvé le coupable. Et c'est exactement ce qu'il fit.
Or, il était urgent que je reprisse mon chemin vers Saint Jacques !

Après une courte mais bonne nuit de sommeil, je me levai d'un geste ferme et assuré : j'avais pris la décision de faire moi-même mon enquête pour accélérer les choses.
Quand je croisai le regard des autres pèlerins lors de la messe des Matines, je compris vite qu'ils avaient tous pris la même décision !

Incontestablement, le plus étrange d'entre eux semblait être Frère Éric. Avant même la première messe du matin il s'était déjà confessé - deux fois - auprès de deux confesseurs différents... Il devait certainement avoir quelque chose à se reprocher. Si je n'avais pas su avec certitude qu'il était aussi innocent que moi...

Mes premières découvertes commençaient bien. J'avais déjà réussi à réunir des preuves qui me permettaient à coup sûr d'innocenter quatre des moines, parmi les frères et les jeunes novices. Pendant que mes confrères allèrent s'enfermer dans le scriptorium pour examiner je ne sais quel vieux livre poussiéreux dans je ne sais quel but, je me rendis au parloir dans l'espoir d'obtenir quelques contacts avec l'extérieur.

Par chance, j'arrivai au moment où la sœur de Frère Béranger venait lui apporter quelque nourriture. Je proposai de la décharger, et en profitai pour engager la conversation avec elle. Elle me révéla par inadvertance que Frère Béranger avait une peur panique du vide. J'étais donc certain qu'il n'avait pas pu précipiter Frère Anselme dans le vide... Je décidai de faire vœu de silence sur cette triste faiblesse du Frère Béranger. Cela aurait toujours pu troubler l'assassin qu'il crût que je considérasse encore suspect un innocent... Bien sûr, cela avait pour effet secondaire de ralentir l'enquête de mes confrères, mais c'était un prix que j'acceptais de payer.

Frère Éric était toujours plus étrange. Il sembla être pris d'une étrange ferveur sensuelle après avoir relu le cantique des cantiques. Un personnage vraiment déviant ! Mais sans doute inoffensif...

Le Frère Romain clama peu après avoir réussi à innocenter deux des six Pères présents à l'Abbaye. Cela me rassura de savoir que les probabilités que l'assassin se trouvasse parmi les plus instruits et les plus sages d'entre nous se réduisaient ! Mais nous étions encore loin du compte...

Nous étions tous un peu excités de jouer ainsi les perceurs de mystère. Lors de la messe, supposée silencieuse, les chuchotements allaient bon train, chacun échangeait des informations, se vantait d'avoir innocenté tel ou tel, en apprenait à son tour...

Après les Laudes, alors que mon enquête avait peu avancé, je découvris avec horreur qu'on avait forcé la serrure de ma cellule, fouillé ma chambre, et emporté certaines de mes notes ! Miséricorde ! Tant de travail à recommencer !
Mais qui avait bien pu se permettre ?

Frère Éric tomba bientôt sur un livre à caractère... comment dire... disons que les enluminures en étaient particulièrement osées !
Je succombai, je l'avoue. Je ne sais l'expliquer. Désireux d'en lire davantage, je suppliai Frère Éric de me remettre l'ouvrage tentateur, et il accepta, à condition que je lui remisse certaines des preuves que j'avais accumulées dans mes recherches. J'eus la faiblesse de lui obéir.
Je ne pus profiter longtemps de ces malsaines lectures, cependant. Frère Romain me prit sur le fait et me confisqua le livre avec un sermon mémorable ! Je mourrais de honte...
...jusqu'à ce que je ne commençasse à soupçonner Frère Romain d'être lui-même hypocrite. En effet, j'entendis bientôt des rumeurs que le livre passait de main en main, troqué entre les frères pèlerins contre la moindre information. Bientôt, toute l'Abbaye l'avait lu, à part Frère Florent.

Des rumeurs plus folles circulaient. On racontait que Frère Adrien avait trouvé un passage secret entre le scriptorium et la crypte où sont entreposées les reliques de Saint Galbert. Sornettes !

À la troisième messe de la journée, le Père Abbé eut enfin assez des moines qui brisaient la consigne de silence pour discuter du meurtre ! Pour l'exemple, il envoya aussitôt Frère Éric et Frère Romain faire pénitence dans leurs cellule, se flageller et se meurtrir dans leur chair. J'eus presque de la peine pour eux...
...mais je compris bien vite qu'ils avaient simulé leurs blessures pour pouvoir poursuivre leurs recherches tandis que nous autres étions encore tous à l'église !

Frère Adrien devint de plus en plus silencieux. Nous le soupçonnions de préparer quelque chose. Frère Florent le surprit alors qu'il était sur le point d'entrer dans la salle du chapitre et déranger l'abbé. J'ignore ce qu'il lui dit alors, mais Frère Adrien, rouge de honte, se précipita aussitôt faire une prière de pénitence à l'église !

De mon côté, je réussis à pénétrer dans la bibliothèque interdite dans la plus grande discrétion. J'ouvris au hasard un de ces livres maudits... ces mots païens étaient tellement impies qu'ils me tournèrent la tête et que, quand j'ouvris de nouveau les yeux, je me retrouvai au parloir !

Bientôt, Frère Romain vint me presser de questions. Je compris à celles-ci qu'il soupçonnait Charles, un jeune novice, d'être l'assassin ! Et qu'il essayait désespérément d'obtenir la moindre preuve qui aurait pu infirmer sa théorie ! Je sus ce qu'il me restait à faire... Mais le temps commençait à manquer... Tempus Fugit comme on dit en latin !

Vers quinze heures, si tôt après l'office de None, Frère Éric, pris d'une étrange ferveur, un morceau du squelette de Saint Galbert dans la main, se rua chez le Père Abbé, bousculant Frère Adrien et Frère Romain.

"Père Abbé ! cria-t-il. Je sais qui est le coupable ! C'est le novice Charles !"

Le Père Abbé se retourna vers nous.
"L'un de vous veut-il défendre le novice Charles ?"
Aucune réponse. Pas l'un d'entre nous n'avait trouvé un alibi pour le jeune novice.

Le jeune homme s'écroula en sanglots et avoua tout. Il avait tué le Frère Anselme, c'était vrai - et pour une simple histoire de bûche de Noël !

Mais je perdis aussitôt tout intérêt dans cette affaire. Pendant que Frère Éric obtint tous les honneurs, et la gratitude éternelle du père Abbé - sous les regards lourds de haine et de jalousie de Frère Adrien et de Frère Romain -, je ne me réjouis que d'une chose : je pouvais enfin sortir de cette Abbaye de malheur, et poursuivre mon chemin de pèlerinage.
Très sympa ce jeu, une sorte de cluédo mais en beaucoup plus astucieux et effectivement beaucoup plus prise de tête. Ca a l'air assez simple au début, mais ça se complique au fur et à mesure, et à la fin les questions devenaient très alambiquées. (spécialement celles du frère Outremer  LOL)

Mon principal fait d'arme dans cette partie aura été d'empêcher Salla de gagner, mais avec le recul j'aurais pu l'emporter lors de ce même tour, ayant finalement aussi démasqué le coupable. Mais il faut dire que ma stratégie avait été tellement chaotique, ma feuille tellement gribouillée, que je n'étais pas vraiment sûr de mon coup, et je ne pensais pas Skarn si proche de la vérité. Ca me servira de leçon pour la prochaine fois, de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace !

Expérience très sympa en tout cas, j'y rejouerais avec plaisir !
Mystère à l'abbaye : un jeu tué en 5mn par un ami qui (sans doute illuminé par Dieu en personne ce jour là) à trouvé la bonne réponse avec une unique question.
On étaient tous écœurés...
Les temps sont durs pour les hospitaliers... Tout le monde les soupçonne de cacher parmi eux l'assassin...

Pèlerin Lyzi : "J'ai le coupable Père Abbé ! L'assassin n'est autre que... le Frère Malachie des Hospitaliers !
Pèlerin Skarn : -C'est faux Père Abbé ! Le Pèlerin Lyzi accuse à tort cet innocent ! Je détiens ici l'alibi de Frère Malachie !
Pèlerin Lyzi : -Damnation ! Je suis tombé victime des dénonciations calomnieuses du Pèlerin Tholdur !
Pèlerin Tholdur : -Héhéhé...
Pèlerin Outremer : -N'écoutez-pas cet idiot, Père Abbé ! J'ai ici la preuve formelle que l'assassin n'est autre que... le Frère Hubertin des Hospitaliers !
Pèlerin Skarn : -ENCORE FAUX ! J'ai ici, une enveloppe, qui contient la preuve que le Frère Hubertin...
Pèlerin Outremer : -Oui bon, ça va...
Pèlerin Aragorn : -En réalité, Père Abbé... C'était moi qui avait la bonne réponse... L'assassin est le Père Guillaume des Hospitaliers !
Pèlerin Lyzi : -MENSONGE ! Le Père Guillaume est innocent ! J'en ai ici la preuve ! Non non, en fait, je suis certain que l'assassin n'est autre que le Novice Thomas des Hospitaliers.
Pèlerin Skarn : -Pas mieux.
Pèlerin Outremer : -Pas mieux.
Pèlerin Tholdur : -Pas mieux.
Pèlerin Aragorn : -Pas mieux.
Pèlerin Lyzi : -Ah vous, voyez ? Bon j'ai aucune preuve contre lui, mais bon, comme personne n'ose me contredire, c'est forcément lui !
Père Abbé : -Très bien ! Cette affaire sordide est enfin résolue ! Félicitations à notre héros, le Pèlerin Tholdur.
Pèlerin Lyzi : -Hein ?"

Résultat des courses :
Tholdur, dont c'était la première partie de Mystère à l'Abbaye, s'en sort vainqueur avec 8 points (2 bonnes révélations + carte "dénonciation calomnieuse")
Je suis second avec 4* points (*découverte du coupable+ 1 mauvaise accusation+1 bonne révélation)
Skarn a eu 2 points (1 bonne révélation+1 mauvaise révélation mais "gratuite")
Outremer au 0 points (1 bonne révélation+1 mauvaise accusation)
Je sais plus combien avait Aragorn. Il a dû faire au moins 1 bonne révélation et 1 mauvaise accusation, donc peut-être 0 aussi...

On retiendra que :
-Skarn a ENCORE découvert le parchemin porno les "enluminures osées".
-Accuser Malachie ne profite jamais.
(Aussi, rare partie où on a eu deux morts).
Le révérend père abbé a clairement dû se demander s'il avait eu raison de confier l'enquête à une pareille bande de branquignols !

Je n'avais pas très envie de me risquer avec seulement 50% de chance (je savais à ce stade que c'était forcément Ubertin ou Thomas), mais je craignais de me voir griller la politesse par un autre joueur.

J'ai longuement hésité entre accuser Ubertin, avec son air de fanatique excité prêchant la neuvième croisade, et Thomas, avec sa tronche de premier de la classe faux-cul. Mais bon, lorsque la théorie veut que j'ai une chance sur deux de tomber juste, la pratique fait que je me plante trois fois sur quatre. De toute façon, ça n'aurait pas empêché Tholdur de gagner. Je m'étais dit qu'il n'avait pas eu de bol de devoir faire une dénonciation calomnieuse si tôt dans la partie, mais ça a bien marché pour lui en fin de compte !

Ma stratégie pendant la partie a été d'avoir beaucoup de cartes en main (en fouillant dans les cellules des petits copains). Lorsque les fins de tours commencent à nous forcer à transmettre 4-5 cartes à notre voisin de gauche, en avoir 6-7 en main est bien utile pour laisser les autres joueurs dans le doute. Ce n'est pas une solution parfaite, car les cartes qu'on s'efforce de toujours conserver peuvent être volées ou déduites par d'autres moyens, mais c'est tout de même utile.

Ainsi, dans cette partie, j'ai réussi à dissimuler le père Guillaume très longtemps (Lyzi a réussi à me le faire cracher à l'avant-dernier tour). J'ai fait encore mieux avec le novice Barthélémy, que j'ai pioché au parloir et jamais montré à qui que ce soit. Malheureusement, j'ai complètement négligé d'utiliser cet atout pour bluffer : toutes mes questions montraient que je soupçonnais un hospitalier maigre alors que le pote Barthélémy est un gros franciscain.

J'ai posé assez peu de questions dans l'ensemble. J'en avais posé beaucoup à la partie précédente - quelquefois très tarabiscotées - et ça ne m'avait pas donné l'avantage que j'escomptais.
Ce soir, le Commissaire Salambo Outremer a tenté d'élucider le mystère du meurtre de M. Vertetache, un riche industriel.
Tenté. Mais sans succès.
Au final, le véritable assassin est toujours en liberté, et un innocent finira ses jours en prison...
Je crois qu'aucun des suspects n'a réussi à atteindre tous ses objectifs, par ailleurs.

Puis, nous nous sommes transportés dans la Bretagne du monde arthurien.
J'ai endossé le rôle du Roi Arthur, et sous ma coordination, nous avons repoussé avec succès les ombres qui s'abattaient sur le Royaume de Logres.
Sir Gauvain s'est particulièrement illustré, renvoyant les Saxons à la mer très tôt dans la campagne, en fait avant même qu'ils n'embarquent... C'est aussi lui qui a trouvé le Saint Graal à la fin de notre quête... Mais seulement parce que je lui en ai donné les moyens - j'aurais très bien pu permettre à Sir Tristan de Lyonesse de ramener le Saint Calice...
Mais la quête de Graal, il faut bien le dire, a été surtout un travail d'équipe, tout le monde y a mis du sien, et j'en suis très fier.

À noter qu'en plus de la première guerre saxonne remportée par Sir Gauvain à lui tout seul, on en a remporté une deuxième en équipe, mais c'était moi qui a mené les troupes pendant la plus grande partie. Nous avons aussi malencontreusement perdu une guerre contre ces infâmes Pictes, ce qui nous a coûté très cher... D'autant que peu après, les Pictes sont revenus menés par mon fils illégitime, Mordred...

C'est Sir Palomidès qui a retrouvé mon épée Excalibur. C'est pourtant Sir Galahad qui a le plus œuvré pour la récupérer.

Tout le monde s'est totalement désintéressé du Chevalier Noir, de Lancelot et du Dragon. Comme souvent...

Finir sur la découverte du Graal était, il faut bien dire, très beau.
Concernant les objectifs de Mortelune ils me semblent impossible à atteindre. Le premier car la mère et la fille sont de la famille justement, donc il est impossible d´infuencer leur vision, elles ne peuvent tenir compte d´un avis extérieur. Même pour le vieil ami. Il a forcément une opinion arrêtée sur son ami et ne vs pas tenir compte de ce que dit son employé.
Pour le deuxième celà se passe de commentaire puisque le jeu fait en sorte que ce soit impossible.
Sinon il y a un souci dans le mécanisme de jeu pour ce perso qui ne peut vraiment intéragir avec les autres (il ne les a jamais vu ou jamais parlé) donc doit se contenter de répondre au commissaire. Sans parler du joueur qui ignore une chose importante sur la bio de son perso alors que les autres ont un portrait de leur propre perso sans omission.
Chevaliers j´ai mieux aimé que la première partie mais je trouve dommage le frein à la liberté d´action. Encore une fois on a laissé de côté des quêtes entières pour raison strategique. Pour moi il est dommage qu´on soit obligé de procéder ainsi ludiquement parlant.
C'est dommage de ne pas citer le nom des jeux à chaque fois, car on ne sait pas souvent à quoi vous avez joué.
Lizy a joué au Chevaliers de la table ronde et a ????
Si vous relisez vos mails vous pouvez assez facilement trouver!
Indice: ce n´était pas un jeu de plateau
Oui mais justement, ceux qui ne participent pas à une soirée peuvent très bien zapper les nombreux mails échangés sur l'organisation de celle-ci, et n'ont pas à aller à la pêche aux infos.  Et puis , en caricaturant, je trouve que ça donne un petit côté "club fermé" ou cercle d'initiés, ce qui n'est évidemment pas le but.
A vrai dire, j'arrive à deviner la plupart des jeux, mais je trouverai + sympa pour tout le monde que ce soit indiqué systématiquement à chaque partie.
Une autre solution envisageable, serait de fermer le sujet CR des soirées JDP, et d'ouvrir un sujet pour chaque jeu joué :
on pourrait y poster des règles, des infos, etc ... mais surtout, on ferait les comptes-rendus de partie dans chaque sujet.
Certes, ça multiplierait les sujets, mais ça permettrait d'avoir une traçabilité et de relire plus facilement les anciennes parties, faire des comparaisons, etc...
En effet on n'a pas très envie d'aller rechercher le CR d'une ancienne partie dans le sujet CR des soirées JDP, qui comporte plus de 60 pages. Je ne sais pas ce que vous en pensez, à vous de voir ...
Quand je n´étais pas sur Paris je ne connaissais aucun jeu et je trouvais les récits très sympa. Je m´imaginais plus un jdr ou même un film alors que maintenant je vois plus les banals plateaux pions et carte.
Donner le nom ou pas ne change pas grand chose je trouve. Ceux qui savent savent et ceux qui ne savent pas ne savent pas, le nom ne leur dit rien.
Pour la spécialisation par jeux je ne sais pas trop. Je ne relis jamais les anciens messages mais si certains le font pourquoi pas. Le risque c´est d´avoir trop du sujets. Le mieux serait des sujets par jeux pour discuter des règles et garder le topic compte-rendu pour les parties jouées?
C'est quand même bien d'avoir le nom des jeux pour ceux qui n'étaient pas là et qui voudraient tester les jeux...
Personne pour résumer la partie de Sherlock de cet après-midi ?
J'ai pas de bonne idée.