17/07/2016, 22:25
SPOILERS toussa *hum*
En référence à ce que j'ai dit sur la critique de "La pierre doit être sculptée", et bien... aussi étonnant que ça puisse l'être je viens de voir en application l'idée que j'évoquais. À savoir, le fait d'évoquer l'héritage comme une transmission de caractère, de personnalité.
(C'est mon avis à moi)-> C'est un peu l'histoire d'une plume habile mise au service de la nature humaine. Pour commencer j'ai dévoré d'une traite. J'ai cassé la gueule au caïd parce que c'était présenté sur un plateau telle une sucrerie. J'ai commencé à croire que les codes n'étaient que des queues de Mickey censés donner l'illusion d'un gameplay consistant, sans bien comprendre leur utilité jusqu'à la remontrance du paragraphe 19, et c'est à se moment que j'ai compris qu'on allait prendre cher...
... dans son estime. Car dans cette aventure au style fort contemporain habillé de banalité, la conclusion ne réside pas dans une quête à remplir, mais se trouve dans le constat de la personnalité perturbée de notre héroïne qui traîne dans l'ombre de sa mère. J'ai accepté qu'il n'y ait rien à gagner dans ce jeu sinon une meilleure estime de soi. Alors, j'ai pu rembobiner le fil de l'histoire et remodeler les entretiens afin de donner un peu plus d'émancipation au personnage principal.
Pour conclure, le paragraphe final donne tout de même une impression de fourre-tout et je comprends parfaitement qu'il a du être difficile de synthétiser proprement sans avoir pu bénéficier de 3 paragraphes supplémentaires pour personnaliser un peu l'expérience. Mais le cheminement m'a fait ressentir un vrai parcours, succin mais suffisamment complet pour que l'on comprenne les enjeux de l'aventure sans que ce soit spécialement redondant. Et la seule "victoire" se situe dans notre tête, lorsqu'on a par nous-même estimé avoir mené à bien notre journée, et affronté verbalement notre double maléfique.
(Et merci de ne pas avoir décrit la scène de déculottée, ce qui rend notre choix encore plus percutant, comme si la deuxième personnalité de Hope avait agi à sa place.)
En référence à ce que j'ai dit sur la critique de "La pierre doit être sculptée", et bien... aussi étonnant que ça puisse l'être je viens de voir en application l'idée que j'évoquais. À savoir, le fait d'évoquer l'héritage comme une transmission de caractère, de personnalité.
(C'est mon avis à moi)-> C'est un peu l'histoire d'une plume habile mise au service de la nature humaine. Pour commencer j'ai dévoré d'une traite. J'ai cassé la gueule au caïd parce que c'était présenté sur un plateau telle une sucrerie. J'ai commencé à croire que les codes n'étaient que des queues de Mickey censés donner l'illusion d'un gameplay consistant, sans bien comprendre leur utilité jusqu'à la remontrance du paragraphe 19, et c'est à se moment que j'ai compris qu'on allait prendre cher...
... dans son estime. Car dans cette aventure au style fort contemporain habillé de banalité, la conclusion ne réside pas dans une quête à remplir, mais se trouve dans le constat de la personnalité perturbée de notre héroïne qui traîne dans l'ombre de sa mère. J'ai accepté qu'il n'y ait rien à gagner dans ce jeu sinon une meilleure estime de soi. Alors, j'ai pu rembobiner le fil de l'histoire et remodeler les entretiens afin de donner un peu plus d'émancipation au personnage principal.
Pour conclure, le paragraphe final donne tout de même une impression de fourre-tout et je comprends parfaitement qu'il a du être difficile de synthétiser proprement sans avoir pu bénéficier de 3 paragraphes supplémentaires pour personnaliser un peu l'expérience. Mais le cheminement m'a fait ressentir un vrai parcours, succin mais suffisamment complet pour que l'on comprenne les enjeux de l'aventure sans que ce soit spécialement redondant. Et la seule "victoire" se situe dans notre tête, lorsqu'on a par nous-même estimé avoir mené à bien notre journée, et affronté verbalement notre double maléfique.
(Et merci de ne pas avoir décrit la scène de déculottée, ce qui rend notre choix encore plus percutant, comme si la deuxième personnalité de Hope avait agi à sa place.)